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 memento mori.

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MessageSujet: memento mori.    memento mori.  EmptyLun 30 Déc - 13:13

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Bernhardt Pisces Halvor

Nom : Bernhardt
Prénom(s) : Pisces, Halvor
Date de naissance : 25 juin
Âge : 19 ans
Sexe: ♂
Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
Groupe Sanguin: AB
Groupe: Solitaire
Capacité : Traveling Eyes ("Yeux voyagant") - Lui permet de revenir dans le passé pendant un très court laps de temps et de modifier le cours des choses.
Cause de mort : Balle dans la tête
Pseudo: Rocky-BL. Appelez moi Rocky, c'est cool.
Âge: 13 ans
Expérience RP: 0/10 je suis nulle bye. (ça fait ~3 ans que je rp btw)
Faceclaim: Minato Arisato - Persona 3
Double Compte?

Caractère


 

« what they can see »

apathique. La première chose qu'on peut dire en voyant Pisces est évidemment qu'il est extrêmement apathique. Rien que dans sa manière de se tenir, ce garçon montre une attitude je-m'en-foutiste tellement grande, la plupart des gens n'ont pas vraiment envie de l'approcher. Et lorsque vous tentez de lancer une discussion, il ne vous répondra que par un « ... J'm'en fous. », sa phrase “fétiche”. Il ne parle que très peu, et lorsqu'il a la force de répondre, il ne fait que mettre fin à la conversation. Parfois même, on pourrait le croire capable de s'endormir debout—bien que ce ne soit pas le cas. Il manque énormément d'énergie et d'intérêt, très peu de choses l'intéressent encore. On se demande même pourquoi il vient en cours.

désintéressé. La seule chose en laquelle il montre encore de l'intérêt serait son lecteur mp3. Et peut-être bien encore les scènes de crimes et les détectives. Lorsque vous lui parlerez de quelque chose, même si vous êtes son meilleur ami, il mettra son casque par dessus les oreilles et lancera n'importe quelle chanson, du moment qu'elle lui permet de vous ignorer. Vous ne réussirez à attirer son attention que si vous parlez de son père—ce qui n'arrivera jamais puisque jamais il ne vous parlera de lui—ou bien de crimes récents. Dans le pire des cas, il s'endormira en écoutant de la musique, dans le meilleur, il baissera le son pour pouvoir vous écouter un peu.

direct. Pisces n'a jamais su mentir, et ce n'est pas maintenant qu'il apprendra à le faire. Quand il ment, il bafouille et ses joues rougissent, ce qui rend ses mensonges difficiles à cacher. Du coup, il dit toujours la vérité, sans aucun sous-entendu. Si vous faites la pire chose du monde, il vous le dira. En revanche, il n'est pas doué pour complimenter, alors s'il trouve quelque chose plutôt bien, il vous dira « Ça passe ». Pas mieux. À vous de le prendre bien ou pas, lui ne dira que ça.

froid. Probablement à cause de ses maladies, Pisces n'est vraiment pas sensible. Vous pourrez lui dire que vous vous êtes fait violé, battu, et que votre père était un criminel qui battait également votre mère, il ne répondra qu'avec un « ... Ah. », d'un air plutôt confus. Depuis tout petit, le garçon a du mal à comprendre comment les émotions et les relations marchent. Du coup, il fait insensible, et les gens ne l'apprécient pas pour son manque d'empathie. Lui, ne répond juste que ce n'est pas sa faute, et que pour lui, les émotions sont vraiment de grands mystères de la vie. Laisser quelqu'un seul, ou bien lui dire quelque chose de blessant... Pour lui, il n'y a rien d'anormal.

intelligent. On ne dirait pas comme ça, mais Pisces est quelqu'un est vraiment intelligent. Bien que son Q.I s'élève à 147, il ne s'en vente plutôt pas, et pratiquement personne ne connaît son Q.I. Il est plutôt du type discret, et parce qu'il ne participe pas à l'oral, seulement ses professeurs savent à quel point il est doué—ne montrant jamais ses copies à qui que soit. Et c'est seulement à cause de ses bonnes notes qu'il a continué l'école, car sa peine purgée en prison lui a donné un immense retard sur le programme, surtout que le programme japonais est assez lourd.

rancunier. Depuis toujours, Pisces a du mal à pardonner, et aura surtout envie de se venger lorsque vous faites quelque chose qui ne lui plait pas. C'est une partie de lui qu'il n'aime pas trop, mais pourtant, il ne peux pas s'en empêcher. Lorsqu'il se sent profondément blesser, physiquement ou mentalement, il ne peut pas s'empêcher de rendre, la plupart du temps deux fois plus fort. Peut-être que c'est à cause de ce que sa mère lui disait quand il était petit; « quand on te frappe, tu frappes deux fois plus fort! ».

silencieux. Comme dit plus haut, Pisces est horriblement silencieux, on pourrait le croire muet. Principalement parce que son japonais n'est pas encore parfait, et qu'il a horreur de son accent anglais, il ne parle que si on lui pose une question, ou son avis—bien qu'il répondra probablement qu'il s'en fout. En plus de ça, il prend un certain temps à répondre, puisqu'il doit d'abord construire sa phrase puis la traduire.

réaliste/négatif. Son intelligence fait aussi de lui quelqu'un de très pessimiste, ramenant toutes personnes trop rêveuse à la réalité. Sa vision du monde est assez négative et il a du mal à voir les choses du bon côté, surtout quand il pense à tous les abrutis qui mettent fin aux vies des autres. C'est une des autres raisons qui font que peu de gens l'apprécient.

« what they can't see »

Pisces n'est pas seulement atteint de psychopathie, mais également d'un trouble de la personnalité multiples, et ceci due à un traumatisme—celui du meurtre de Aries Gumshoes. Ainsi, lorsqu'il se sent en danger, il change complètement pour se protéger, passant de l'étudiant passif à l'assassin sans pitié. Cette partie de lui est probablement comment il se voit depuis qu'il a tué Gumshoes.

arrogant. Contrairement au petit Pisces qui lui se fait tout discret, celui-là se vente d'être le fils du décédé Taurus Bernhardt. Il se vente même d'à peu près tout ce qu'il peut; son intelligence, sa famille, sa “réputation” en Angleterre... Et ce, même s'il ferait mieux de la fermer. Ce côté inédit de lui le met assez souvent dans la merde, car il considère que tous les autres devraient se soumir à lui.

colérique. Il s'énerve assez facilement et pour rien, surtout lorsqu'on l'ignore ou qu'on se moque de lui. Et quand il s'énerve, il devient encore plus méchant que d'habitude, ce qui est en général assez mauvais pour la santé physique de l'autre. Sa voix et bien plus grosse et on l'entend bien plus que lorsqu'il est “normal”, bien que ce soit le cas depuis qu'il est tout petit. Il crie souvent car il pense que c'est seulement comme ça qu'il sera entendu, étant souvent ignoré à cause de sa petite voix.

jaloux, envieux. Là encore, ce trait de personnalité est complètement différent de d'habitude. Il blesse plus violemment quand quelqu'un a quelque chose qu'il n'a pas. Il est très jaloux et possessif, et il peut même tuer pour une fille, s'il est assez amoureux d'elle—bien que c'est pratiquement impossible que cela arrive.

sadique. Voir les autres souffrir... Bien que cela soit complètement faux, Pisces était persuadé qu'il adorait ça, en voyant tout le sang sur ses vêtements de “ce jour là”. Ainsi, très rare seront les fois où il tuera instantanément. Car lorsqu'il part en mode berserk, sa précision devient extrêmement bonne, et lorsqu'il utilisera un pistolet—son arme fétiche, il visera la plupart du temps le cœur ou bien la gorge, et rira de voir sa victime s'étouffer dans son sang.

« what he knows »

psychopathie. Bien qu'il n'ait été diagnostiqué qu'à quatorze ans, depuis sa petite enfance, Pisces atteint d'une pathologie assez grave: la psychopathie. Et contrairement à ce que vous pouvez penser, la psychopathie n'est pas une maladie qui rend quelqu'un sadomasochiste. Plutôt, c'est une maladie qui rend le malade incapable de ressentir de l'empathie et des regrets. C'est-à-dire que même s'il tue quelqu'un, il ne se sentira pas coupable de ce qu'il a fait... Et aussi qu'il se fiche de vous. C'est probablement pourquoi cette maladie est souvent associée aux meurtriers. Et c'est principalement dû à ça que Pisces montre énormément de difficultés à éprouver n'importe quelle sorte de sentiment, et c'est également à cause de ça que peu de gens l'apprécient, car il peut avoir l'air arrogant, à ne pas se soucier des autres—bien que ce ne soit pas volontaire. Pour lui, ce que ressentent les autres est juste... Comment dire? Il ne comprends pas pourquoi quelqu'un est heureux avec un autre, et pourquoi quelqu'un est triste après le décès d'un proche. Et, aussi étrange que cela puisse paraître, la cause de sa psychopathie aussi, est un mystère. Certains disent que c'est le le meurtre de son père, d'autres, de Gumshoes.

Physique


 
On lui reproche souvent de ne pas se couper sa mèche de cheveux, qui pour certaines, fait bien trop émo pour lui. Il ne répond simplement que par un « Je m'en fous » en général, car il ne veut pas et ne peux pas la couper. Par simple flemme—bien qu'il y a aussi le manque d'argent. Il ne sait pas non plus vraiment se coiffer, et la mettre sur le côté n'est pas quelque chose auquel il pourrait penser un jour. De toute façon, il préférait ses cheveux de cette façon. Ils avaient le même bleu que celui de son père. Pour certaines raisons, il n'aimait pas ce bleu... Et il aurait bien voulu se faire une teinture mais, au vue de sa situation financière assez catastrophique, jamais il n'aurait le luxe de s'offrir quelque chose comme ça. Alors, pour compenser, il mettait cette mèche, que les peu sociables—et clichés—portaient. Cette coupe opposé également les cheveux relevés et brillant que Taurus avait eu. Ainsi, on ne pourrait pas faire le rapprochement entre son père et lui, si ce n'est qu'avec la couleur de cheveux. Alors, à moins qu'un passant soit fan de détectives du monde entier, jamais on ne pourrait savoir qu'il est le fils de Taurus Bernhardt. Surtout qu'il a prit soin de ne pas laisser trop de photos de lui. ...De toute façon, il avait passé la plupart du temps caché des gens, et en prison.

Enfin, ses cheveux ne sont pas vraiment une caractéristique principale, bien que certaines utilisent cette mèche pour le décrire. Mais évidemment, il n'y a pas seulement les cheveux qu'on utilise pour décrire une personne. Certains utilisent la taille mais, Pisces ne se démarque pas vraiment de ce côté là. Ses 170 centimètres font de lui quelqu'un de ni trop grand, ni trop petit, quoiqu'un peu en dessous de la moyenne. Il n'est pas gros et pas assez maigre pour se faire remarquer, même si ses 59 kg prouvent le fait qu'il ne mange pas tant que ça—probablement encore une fois à cause du manque d'argent. Peut-être que son teint pâle malade en revanche fait parti de ses caractéristiques ?

Oh, non. Ce sont ses yeux. Ses yeux bleu ciel qui ne vivent pas. On ne voit rien dans ce bleu. Aucune émotion. On ne sait jamais ce qu'il peut penser. Et sa voix calme non plus, ne semble pas contenir une once d'émotion. De toute façon, en général, l'émotion n'est pas nécessaire. Car en plus d'être silencieux, la plupart du temps, il ne répond qu'avec un « Je m'en fous » nonchalant. Peut(être parce qu'il ne veut pas prolonger la conversation, car son japonais n'est pas parfait. Ou peut-être juste qu'il en a vraiment rien à foutre. Mais ça, personne ne peut le savoir à cause de ses yeux. On ne peut voir que de la fatigue—à cause de légères cernes—et parfois de la confusion, quand il essayait de comprendre ce que son interlocuteur peut ressentir—sans grand succès.

«  Un garçon aux cheveux bleux cachant son œil droit, avec des yeux vides. » Il ne manquerait que des accessoires, s'il en a. Et, oui, Pisces possède un « accessoire ». Un lecteur MP3, allant avec un casque audio, recouvrant la plupart du temps ses oreilles. C'est un objet très précieux pour lui car c'est en écoutant de la musique qu'il tue le temps. Et une des particularités de ce MP3 est le fait qu'il soit attaché sur un collier et donc toujours sur lui. Ainsi, son casque étant sur ses épaules lorsque mon porté, il peut, à n'importe quel moment, se reposer tranquillement en se retirant du monde réel pour quelques minutes ; voire quelques heures.

Pour aller avec ses couleurs bleues, ses vêtements de tous les jours sont principalement bleus, eux aussi. Bien que la plupart du temps, il porte son uniforme d'école, les jours fériés et les dimanches, il porte en périodes de chaleurs un t-shirt blanc dont les manches sont bleues, ainsi qu'un simple baggy de la même couleur, quoique largement plus foncé. Et lorsqu'il fait un peu froid, il porte un simple manteau noir par dessus, fourré de laine à l'intérieur. Il aime bien s'y enfoncer dedans lors des grand froids, car il tient vraiment chaud. On pourrait même en oublier le froid extérieur, si on se concentre assez.

« Un garçon aux cheveux bleus recouvrant son œil droit, avec des yeux vides, un casque sur ses oreilles et l'uniforme de l'université du coin. »
 


Histoire


 

Mon papa à moi, c'est un détective!
Le petit Pisces restait bouche-bée face aux bases que son père lui apprenait du mieux qu'il pouvait. Il n'était pas très adroit et pourtant il essayait quand même de faire son beau. C'était ce charme qui avait en grande partie séduit sa femme et qui faisait aussi partie des raisons qui le rendaient si populaire en Angleterre.  Il lui expliqua comment relever des empruntes, comment reconnaître ce qui a tué les victimes et les coups infligés après sa mort. Ce que le sang pouvait dire, et comment interroger et coincer les meurtriers. Bref, tout ce dont il avait besoin. Il lui montra même son journal où il notait tout ce qu'il trouvait étrange et intéressant dans la scène de crime. Le fils était tellement heureux! Il n'avait que dix ans cependant et, il aimerait vraiment que le temps passe plus vite pour qu'il puisse reprendre le travail de son père, qu'il aimait. Le père écrasa sa cigarette dans le cendrier sur la table, et ébouriffa les cheveux bleus de son successeur. 
♚ - ♚ - ♚
Il pouvait pleurer toute les larmes de son corps, son père ne reviendrait pas à la vie. Il insistait pour pouvoir voir la scène de crime, mais à cause de ses onze ans, les autorités ne voulaient, sous peine de le foudroyer d'un traumatise infantile. Ce qu'ils ne voulaient pas. Il pouvait répéter autant de fois qu'il savait se débrouiller, les policiers, non sans pitié, refusaient. La scène était apparemment bien trop violente pour son âge, et ce, même s'il avait pu être préparé psychologiquement. Alors, Pisces demandait, toujours en pleurant, pourquoi est-ce qu'on l'avait tué. Et les policiers ne répondirent pas, et ce, bien qu'ils connaissaient bien évidemment la réponse. 

Il continua à pleurer alors que les deux même flics lui barraient la route. Le garçonnet tentait de passer à travers eux, mais rien que les larmes flouant sa vue l'empêchaient de voir correctement. Et sa petite force comparé à celle des adultes était évidemment inutile.  Pourtant, trop têtu pour abandonner, il continua à essayer de passer à travers, alors que plusieurs voitures arrivaient encore. Pourtant, il ne devait pas y avoir plus de deux voitures en tant normal... Le détective en charge de l'enquête n'allait apparemment pas tarder à arriver, mais Pisces, lui, aurait préféré être lui même en charge de cette enquête. Mais évidemment, il était trop jeune. 
Laissez-le passer. Je suis le détective chargé du meurtre.
Son cœur ne fit qu'un bond et il se retourna pour remarquer qu'un vieil homme d'environ quarante ans montrait son badge de détective aux policiers, qui s'écartèrent immédiatement en le saluant. Confus, Pisces regarda le policier puis le détective, avant de re-regarder les policiers, qui semblaient toujours aussi réticent à l'idée de montrer une scène de crime à un gamin. Il remercia le détective et parti en courant vers le lieu de meurtre. Il prit soin de ne déposer aucun de ses doigts sur le poignée. 

Il ne s'attendait pas du tout à voir quelque chose d'aussi grotesque en guise de crime. 

Les yeux de son père étaient toujours ouvert, bien qu'une masse de sang gluante et collante semblait les remplacer. Et son corps était empalé de ce qui pouvait sembler être des sortes de poteaux. Il se mît soudainement à haleter et pourtant, il savait qu'il ne devait pas faire le faible cette fois-ci. Il prit des gants pour pouvoir s'approcher du mieux qu'il pouvait sans rien abîmer, en essuyant ses larmes. Il fit bien attention à tout ce qui pouvait servir d'indice. En se rapprochant, il remarqua que les yeux avaient du être crevé à main nue. Et, aucune source d'eau n'étant à proximité, il avait soit essuyé ses mains quelque part, soit il n'avait pas pu les essuyer et était donc parti le sang coulant sur le sol. Auquel cas, il fallait essayait de trouver du sang qui n'était pas celui qui avait éclaté contre le mur quand son père s'était fait empaler. Il caressa les cheveux de son défunt père, un air triste sur son visage. 

Il allait définitivement trouver l'assassin, et ce, même s'il devait en mourir. 

Et lorsqu'il voulu commencer ses recherches, il senti une piqûre dans le dos, avant de sentir sa conscience le quitter peu à peu. Il voulu se retourner pour voir quelqu'un mais il tomba maladroitement, alors que ses yeux se fermaient. La dernière chose qu'il vit était des chaussures tachées de sang, qu'il tenta d'atteindre avec ses mains frêles.   
♚ - ♚ - ♚
Ses mains tremblaient et son écriture était pratiquement incompréhensible, seulement lui arrivait à comprendre ce qu'il écrivait—et encore... Des noms étaient barrés et des indices reliés  à d'autres noms. De temps à autre, il se frottait les yeux à cause de la fatigue. Et d'autres fois, il enfonçait même sa tête dans ses bras tellement il voulait dormir. Pourtant, il sentait que le criminel n'était aucun des trois noms qui lui restait. L'assassin de son père... Les policiers avaient abandonné cette affaire il y a très longtemps maintenant, mais Pisces, lui, n'arriverait pas à calmer sa rage tant qu'il ne l'aura pas arrêté. Doucement, il ferma les yeux, et repensa au jour où son père était mort. 

Bizarrement, il avait beaucoup de mal à s'en souvenir, alors que pourtant, le choc avait été inoubliable. Il se souvenait de la gentillesse du détective Gumshoes en le laissant aller voir la scène, mais aussi des yeux rouge foncé et liquide de son père. Parfois, Pisces se demandait ce que son père avait bien pu penser, dans ses derniers moments. Certains disent qu'il pensait à son fils, d'autre au criminel. D'autre à son affaire et qui pouvait être le criminel. Pisces, lui; pensait que son père pensait au criminel. Car le criminel était quelqu'un qu'il connaissait . Il ne savait pas pourquoi mais, c'était juste son intuition. 

Il se souvenait aussi—non? Quelqu'un lui avait fait quelque chose... Ses souvenirs étaient très confus. Il sentait un énorme brouillard dans ses pensées, et plusieurs noms se mélangeaient. Dès qu'il essayait de penser à ce jour, un horrible mal de crâne se créait. Mais pourquoi...? Ça n'était pas son genre, vraiment. 
De tout ce qu'il pût, il essaya de se remémorer ses derniers souvenirs de cette scène. Sa fatigue ne l'aidait pas, et rien qu'essayer d'y penser l'assoupissait. Ses yeux se fermèrent à moitié, mais il se convaincu à ne pas dormir. D'une certaine manière, il pensait que s'il se souvenait seulement de ça, il pourrait arrêter le criminel. Et il pourrait enfin dormir sans cauchemars et hallucinations. Il tapa son stylo contre le cahier à plusieurs reprises, et regarda dans sa chambre où une seule lampe de bureau permettait de voir quelque chose.  

—Des chaussures ensanglantée accompagnée d'une vision floue. 

On l'avait drogué. Il ne savait pas pourquoi, mais on l'avait drogué. Et la personne qui l'avait drogué était le meurtrier. Mais là encore, une question se posait: pourquoi est-ce qu'on essaierai de le droguer? Cette idée était idiote, et seul un esprit court tenterait se genre de folie. 

Malgré l'heure tardive, le garçon se jeta sur son téléphone pour appeler le lieutenant qui avait tenu à cette affaire, pour lui demander un rendez-vous urgent—en précisant bien qu'il était urgent. 
-
Il ne se sentait pas vraiment à l'aise dans ce bureau. Plusieurs tableaux avec ce qui semblait être des tâches de sang étaient accroché au mur, et un homme ayant la quarantaine et assez enrobé se tenait sur une chaise en cuir, les coudes posés sur un bureau en verre tout à fait remarquable, où une tasse de café à moitié bue était posée sur une tonne de papiers. 
Bon bon, qu'est-ce qu'il y a cette fois-ci, petit? Cela faisait une petite semaine que tu ne m'avais rien demandé! Je commençais à m'inquiéter! (en s'esclaffant)
— Je suis désolé... Je pense que cette fois-ci, ce sera la dernière fois. (il marque une pauseJ'aurais besoin d'une fausse carte de policier, d'un pistolet et des deux policiers qui menaient la garde le jour du meurtre.
— Hm... Ça fait beaucoup. Ce sera assez difficile de te procurer la carte, tu ne l'auras que dans une semaine si tu me donnes une photo maintenant. 
— Je m'en passerai dans ce cas là. J'aimerai éviter que le meurtrier s'échappe.
— ... Ça fait déjà trois ans, tu sais.
— ... (il se tortille une mèche de cheveux)Est-ce que ce serai possible d'avoir des menottes? J'aimerai éviter la manière brutale...
(Il jette des menottes et un flingue sur la table) — Je peux te convoquer les flics pour 9h, ça te va?
 — Bien sûr. Merci.
Il se leva de sa chaise en fermant ses yeux à moitié, tout en regardant sa montre. 5h37... Il n'aurait pas le temps de dormir... Qu'allait-il faire pendant tout ce temps? Il n'avait aucun loisirs particuliers, et sa mère dormait... Il passa sa main sur sa mèche pendante pour essayait d'éloigner la fatigue pendant un petit bout de temps, et posa sa main sur la poignée, rentrant l'autre dans sa poche. Il ne sentait même plus la force d'ouvrir une porte... Quand est-ce qu'il s'était épuisé autant? Avait-il été obsédé à ce point par cette affaire? Et pourquoi, d'ailleurs? Il ne savait que trop bien que ça n'allait pas ramener son père, loin de là. 

Mais, une fois qu'il en aurait fini avec ça, que comptait-il faire? Il était trop tard pour se faire une autre réputation dans son collège, et se faire des amis. Trop tard pour relier avec sa mère. Finalement, il avait gâché trois ans de sa vie juste pour son père... Peut-être que, depuis le ciel, il n'était pas content et aurait préféré qu'il vive sa vie sans se soucier du meurtrier. Pris d'une douleur à la poitrine, Pisces serra son poing contre son torse, tout en ouvrant la porte, après avoir fait une révérence au lieutenant. 
-
Baillant et se frottant les yeux, Pisces n'avait même pas remarqué que les deux policiers étaient arrivé, et se reposait la tête entre ses bras posés sur une table en bois.  Les fonctionnaire  n'étaient pas sûr de pourquoi cet enfant somnolant avait eu une soudaine envie de leur parler à propos de quelque chose de désagréable s'étant produit il y a trois ans. Ils préfèrent ne pas le déranger, en pensant que c'était agréable de le voir montrer ses faiblesses, de temps à autre. Pourtant, rien que leurs chuchotements parviennent à relâcher l'adolescent des bras de Morphée, et il leva la tête pour se frotter les yeux et apercevoir deux personnes familière. 
Ah—J-Je suis désolé...
 
Ses joues rougirent en pensant qu'ils l'avaient vu dans un tel état, et il se dépêcha de s'assoir correctement, avec quelques bâillements par ci par là. Un silence de marbre s'installa, et Pisces lui, ne voulait pas demander directement les questions, bien qu'il savait qu'il devait faire vite pour ne pas s'endormir que la chaise cette fois-ci. Quand est-ce qu'il s'était endormi...? Après s'être frotté l'œil, le garçon de frotta une dernière fois l'œil, avant de se mettre sérieusement à poser ses questions. 
Euhm... Premièrement... Je veux savoir si vous vous en souvenez encore... (marque une pause) De ce jour là...
 
Ils hochèrent tous les deux là tête, bien sûr qu'ils s'en souvenaient! Jamais ils n'auraient pu oublier un tel massacre... Le détective Bernhardt avait toujours eu de très bonne relation avec tout le monde... Et pourtant, le voilà qu'il avait été torturé de la plus affreuse des manières possible. Quel choc pour tout le monde... Et ne parlons pas de toute la pitié que Pisces avait pu recevoir. Eux aussi, n'avaient pu de retenir de ressentir de la pitié envers lui, qui idolâtrait tellement son père... Mais tout le monde savait que le meurtre d'un détective était inévitable, surtout des détectives doués. Tout comme en même temps, ils n'auraient pas pu lui dire quelque chose comme « ton père va finir assassiner, deal with it! » surtout qu'il n'avait que sept ans, quand il a commencé à s'intéresser au boulot de détective... 

Les coudes posés sur la table, Pisces posa nonchalamment sa tête dans le creux de sa main, en regardant les deux adultes. Il détestait recevoir de la pitié, et, on pouvait voir de la pitié dans leurs yeux. Il n'avait pas particulièrement aimé le mois suivant la mort de son père pour cette seule raison. 
Vous pouvez me confirmer que vous bloquiez la seule entrée possible à la scène?
Sa froideur le choqua à lui-même. Sa politesse aussi... On aurait dit les policiers l'interrogeant sur le meurtre, trois ans plus tôt. Il avait pourtant l'habitude d'être assez familier avec ces deux adultes, qu'il connaissait depuis sa petite enfance. Apparemment, les deux en face de lui semblaient aussi choqué que lui. Ne le réalisant pas tout de suite, il sorti un tout petit « d-désolé... » juste après, auquel les interrogés ne répondirent qu'en hochant la tête à nouveau.  Ce n'était encore qu'un « débutant » et ce, malgré tous les conseils de son père. Et contrairement à son père, Pisces avait assez de mal à être social. Pour la simple et bonne raison qu'il ne ressentait aucune empathie maintenant. Un cas qui pourrait ressembler à de la psychopathie...  Le peu de psychologues auquel il avait été assigné n'avaient conclus que ce trouble et pourtant... Quelque chose ne semblait pas clair. Bien que son apathie soit plus présente aujourd'hui, son père, dans ses notes, et avec des collègues, avait aussi déclaré être assez inquiet pour la santé mentale de son fils... Car il était clair, qu'être obsédé par des scènes de crimes à huit ans n'était pas normal. Certains disaient juste qu'il était spécial. Lui-même ne pensait rien de lui... Enfin, il n'y avait jamais réfléchi. ... Ce qu'il pensait de lui? ... « Je ne sais pas. » Cette réponse lui servait à esquiver la plupart des questions un peu trop dure pour lui. Peut-être était-il un trouillard. Il ne saurait jamais. Il ne savait pas.
... Alors... Qui est venu juste après moi, sur la scène?
Il ne voulait pas savoir. Il ne voulait pas savoir qui avait tué son père. Il ne voulait plus. Il sentait que le meurtrier était quelqu'un de spécial. Et que ses raisons... Ses raisons étaient obscures. Papa... Son air d'habitude indescriptible avait l'air d'une tristesse infinie maintenant, alors qu'il se mordait la lèvre inférieure. Il se demandait ce que son père pensait de lui, de ce qu'il voyait de là haut. ... Il devait probablement être déçu de voir son fils fini dans un tel état. Et triste de le voir aussi vindicatif. ... Lui aussi, était désolé envers lui-même, avait pitié envers lui-même. Peut-être aurait dû-t-il continuer à vivre sa vie normalement, à changer d'ambition. ... Mais... Son père...

Gumshoes.

... Euh? Ah, cela semblait logique.

...

Mais, c'était lui...? Non. Non, non, non. Peut-être que c'était quelqu'un d'autre. Peut-être que quelqu'un était rentré avant—Ah, non. Pisces était arrivé premier sur les lieux du crime après les policiers, donc personne n'avait pu entrer avant. Ses mains tremblaient. Sa dernière question allait être décisive... Ses lèvres se mirent aussi à trembler et il fit de son mieux pour articuler.

... Et qui vous a prévenu quand j'ai perdu connaissance...?
— ... Gumshoes aussi.

...

Il se contenta de faire un signe aux policiers pour les laisser reprendre leurs activités, ses yeux caché par l'ombre que pouvait faire ses cheveux. Peu après qu'ils aient quitté la salle, il enfonça la tête dans ses bras, serrant les poings et pleurant des larmes de colère, et ce, pendant une trentaine de minutes. Il succomba aux bras de Morphée quelques minutes après, dormant sur un bureau qui n'avait pourtant rien de confortable.

♚ - ♚ - ♚

Le pistolet tremblait dans les mains tremblantes et frêles du collégien, qui pointait son arme  à quelqu'un à qu'il ne ressentait plus aucune empathie, ou sympathie. On pouvait pourtant le sentir sur le point d'exploser en larmes et son expression était, contrairement à son habitude, troublée. Le détective en face de lui imitait un air choqué, télépatisant quelque chose qui pourrait ressembler à un "Qu'est-ce que tu fais...?". Le garçon aux cheveux bleutés sortit ses menottes, ne voulant pas appuyer sur la gachette juste pour l'arrêter. Il avait, déjà de base, voulu éviter de blesser quelqu'un, mais blesser cette personne... Semblait juste impossible, pour lui.

D—Detective Aries Gumshoes... J—Je vous arrête pour homicide volontaire...!

Jamais il n'aurait cru un jour avoir un ton aussi hésitant. Des perles de stresse coulaient le long du front pâle du faux policier, et l'adulte en face de lui ne pu s'empêcher de lâcher un rire, qui semblait, un quelques sortes, triste...?

Cette mèche qui couvre ton oeil... Ça ne te va pas, tu sais.
-- ... !

Ne te déconcentre pas, Pisces... C'est lui, qui a tué papa... Il ne mérite plus ta sympathie... Pas vrai?

M-Ma sympathie... (sa respiration se fait difficile) J-Je n'hési—Je n'hésiterai pas à tirer...!

Ses phrases avaieent du mal à tenir en un seul souffle, et on pourrait croire qu'il faisait une crise d'asthme, s'il était asthmatique. Posant sa main droite sur sa poitrine, il tenta, du mieux qu'il pouvait, de se calmer, et ce, même s'il avait toujours eu du mal à contrôler son propre corps.

P-Pourquoi... Pourquoi—vous avez f-fait ça? Je—Je croyais que étiez très proche... De pa---de mon père...

De l'hyperventilation... Putain, Pisces, agis comme un pro! Qu'est-ce que papa aurait fait, à ta place? Pourtant, il n'arrivait pas à garder son calme habituel. Gumshoes, lui, ne répondit qu'avec un silence. ... Et il ne pouvait pas lui mettre les menottes, car il savait très bien qu'il pourrait le contrer et mettre les menottes au justicier. Il ne s'attendait pas à ça...

Le stresse lui fit faire tomber ses menottes sur le sol et l'arme, elle, finit sous son pied. Il la rattrapa la plus rapidement possible, mais les menottes, elles... Finirent sous le pied du plus âgé, qui lui aussi, sorti son flingue, pour empêcher le plus jeune d'essayer d'approcher. Et par réflexe, il appuya sur la gâchette de son pistolet pour se défendre. Sauf que l'autre aussi, avait tiré, pour se protéger. ... Il moururent instantanément, en essayant tout deux reçu une balle dans le crâne. Peu après, les deux corps s'écroulèrent sur le sol, sous les cris effrayés de plusieurs passants. J'aurais tellement voulu... Pouvoir inverser le cours des choses... Papa...

♚ - ♚ - ♚

Le pistolet tremblait dans les mains tremblantes et frêles du collégien, qui pointait son arme  à quelqu'un à qu'il ne ressentait plus aucune empathie, ou sympathie. On pouvait pourtant le sentir sur le point d'exploser en larmes et son expression était, contrairement à son habitude, troublée. Le détective en face de lui imitait un air choqué, télépatisant quelque chose qui pourrait ressembler à un "Qu'est-ce que tu fais...?". Le garçon aux cheveux bleutés sortit ses menottes, ne voulant pas appuyer sur la gachette juste pour l'arrêter. Il avait, déjà de base, voulu éviter de blesser quelqu'un, mais blesser cette personne... Semblait juste impossible, pour lui.

D—Detective Aries Gumshoes... J—Je vous arrête pour homicide volontaire...!

Jamais il n'aurait cru un jour avoir un ton aussi hésitant. Des perles de stresse coulaient le long du front pâle du faux policier, et l'adulte en face de lui ne pu s'empêcher de lâcher un rire, qui semblait, un quelques sortes, triste...?

Cette mèche qui couvre ton oeil... Ça ne te va pas, tu sais.
-- ... !

Ne te déconcentre pas, Pisces... C'est lui, qui a tué papa... Il ne mérite plus ta sympathie... Pas vrai?

M-Ma sympathie... (sa respiration se fait difficile) J-Je n'hési—Je n'hésiterai pas à tirer...!

Ses phrases avaieent du mal à tenir en un seul souffle, et on pourrait croire qu'il faisait une crise d'asthme, s'il était asthmatique. Posant sa main droite sur sa poitrine, il tenta, du mieux qu'il pouvait, de se calmer, et ce, même s'il avait toujours eu du mal à contrôler son propre corps.

P-Pourquoi... Pourquoi—vous avez f-fait ça? Je—Je croyais que étiez très proche... De pa---de mon père...

De l'hyperventilation... Putain, Pisces, agis comme un pro! Qu'est-ce que papa aurait fait, à ta place? Pourtant, il n'arrivait pas à garder son calme habituel. Gumshoes, lui, ne répondit qu'avec un silence. ... Et il ne pouvait pas lui mettre les menottes, car il savait très bien qu'il pourrait le contrer et mettre les menottes au justicier. Il ne s'attendait pas à ça...

Le stresse lui fit faire tomber ses menottes sur le sol et l'arme, elle, finit sous son pied. Il la rattrapa la plus rapidement possible, mais les menottes, elles... Finirent sous le pied du plus âgé, qui lui aussi, sorti son flingue, pour empêcher le plus jeune d'essayer d'approcher. Et par réflexe, il appuya sur la gâchette de son pistolet pour se défendre. Sauf que l'autre aussi, avait tiré, pour se protéger. ... Il moururent instantanément, en essayant tout deux reçu une balle dans le crâne. Peu après, les deux corps s'écroulèrent sur le sol, sous les cris effrayés de plusieurs passants.

♚ - ♚ - ♚

Le pistolet tremblait dans les mains tremblantes et frêles du collégien, qui pointait son arme  à quelqu'un à qu'il ne ressentait plus aucune empathie, ou sympathie. On pouvait pourtant le sentir sur le point d'exploser en larmes et son expression était, contrairement à son habitude, troublée. Le détective en face de lui imitait un air choqué, télépatisant quelque chose qui pourrait ressembler à un "Qu'est-ce que tu fais...?". Le garçon aux cheveux bleutés sortit ses menottes, ne voulant pas appuyer sur la gachette juste pour l'arrêter. Il avait, déjà de base, voulu éviter de blesser quelqu'un, mais blesser cette personne... Semblait juste impossible, pour lui.

D—Detective Aries Gumshoes... J—Je vous arrête pour homicide volontaire...!

Jamais il n'aurait cru un jour avoir un ton aussi hésitant. Des perles de stresse coulaient le long du front pâle du faux policier, et l'adulte en face de lui ne pu s'empêcher de lâcher un rire, qui semblait, un quelques sortes, triste...?

Cette mèche qui couvre ton oeil... Ça ne te va pas, tu sais.
-- ... !

Ne te déconcentre pas, Pisces... C'est lui, qui a tué papa... Il ne mérite plus ta sympathie... Pas vrai?

M-Ma sympathie... (sa respiration se fait difficile) J-Je n'hési—Je n'hésiterai pas à tirer...!

Ses phrases avaieent du mal à tenir en un seul souffle, et on pourrait croire qu'il faisait une crise d'asthme, s'il était asthmatique. Posant sa main droite sur sa poitrine, il tenta, du mieux qu'il pouvait, de se calmer, et ce, même s'il avait toujours eu du mal à contrôler son propre corps.

P-Pourquoi... Pourquoi—vous avez f-fait ça? Je—Je croyais que étiez très proche... De pa---de mon père...

De l'hyperventilation... Putain, Pisces, agis comme un pro! Qu'est-ce que papa aurait fait, à ta place? Pourtant, il n'arrivait pas à garder son calme habituel. Gumshoes, lui, ne répondit qu'avec un silence. ... Et il ne pouvait pas lui mettre les menottes, car il savait très bien qu'il pourrait le contrer et mettre les menottes au justicier. Il ne s'attendait pas à ça...

Le stresse lui fit faire tomber ses menottes sur le sol et l'arme, elle, finit sous son pied. Il la rattrapa la plus rapidement possible, mais les menottes, elles... Finirent sous le pied du plus âgé, qui lui aussi, sorti son flingue, pour empêcher le plus jeune d'essayer d'approcher. Et par réflexe, il appuya sur la gâchette de son pistolet pour se défendre. Sauf que l'autre aussi, avait tiré, pour se protéger. ... Il moururent instantanément, en essayant tout deux reçu une balle dans le crâne. Peu après, les deux corps s'écroulèrent sur le sol, sous les cris effrayés de plusieurs passants.

[après une centaine d'essais...]

Le pistolet tremblait dans les mains tremblantes et frêles du collégien, qui pointait son arme  à quelqu'un à qu'il ne ressentait plus aucune empathie, ou sympathie. On pouvait pourtant le sentir sur le point d'exploser en larmes et son expression était, contrairement à son habitude, troublée. Le détective en face de lui imitait un air choqué, télépatisant quelque chose qui pourrait ressembler à un "Qu'est-ce que tu fais...?". Le garçon aux cheveux bleutés sortit ses menottes, ne voulant pas appuyer sur la gachette juste pour l'arrêter. Il avait, déjà de base, voulu éviter de blesser quelqu'un, mais blesser cette personne... Semblait juste impossible, pour lui.

D—Detective Aries Gumshoes... J—Je vous arrête pour homicide volontaire...!

Jamais il n'aurait cru un jour avoir un ton aussi hésitant. Des perles de stresse coulaient le long du front pâle du faux policier, et l'adulte en face de lui ne pu s'empêcher de lâcher un rire, qui semblait, un quelques sortes, triste...?

Cette mèche qui couvre ton oeil... Ça ne te va pas, tu sais.
-- ... !

Ne te déconcentre pas, Pisces... C'est lui, qui a tué papa... Il ne mérite plus ta sympathie... Pas vrai?

M-Ma sympathie... (sa respiration se fait difficile) J-Je n'hési—Je n'hésiterai pas à tirer...!

Ses phrases avaieent du mal à tenir en un seul souffle, et on pourrait croire qu'il faisait une crise d'asthme, s'il était asthmatique. Posant sa main droite sur sa poitrine, il tenta, du mieux qu'il pouvait, de se calmer, et ce, même s'il avait toujours eu du mal à contrôler son propre corps.

P-Pourquoi... Pourquoi—vous avez f-fait ça? Je—Je croyais que étiez très proche... De pa---de mon père...

De l'hyperventilation... Putain, Pisces, agis comme un pro! Qu'est-ce que papa aurait fait, à ta place? Pourtant, il n'arrivait pas à garder son calme habituel. Gumshoes, lui, ne répondit qu'avec un silence. ... Et il ne pouvait pas lui mettre les menottes, car il savait très bien qu'il pourrait le contrer et mettre les menottes au justicier. Il ne s'attendait pas à ça...

Le stresse lui fit faire tomber ses menottes sur le sol et l'arme, elle, finit sous son pied. Il la rattrapa la plus rapidement possible, mais les menottes, elles... Finirent sous le pied du plus âgé, qui lui aussi, sorti son flingue, pour empêcher le plus jeune d'essayer d'approcher. Et par réflexe, il appuya sur la gâchette de son pistolet pour se défendre. Sauf que l'autre aussi, avait tiré, pour se protéger. Et par un certain miracle, Pisces réussi à esquiver la balle, qui ne fit que frôler sa joue. ... Mais Gumshoes, lui, avait reçu la balle. En plein dans le crâne, encore une fois. Encore des cris effrayés, qui semblaient familier? Mais ce qui choquait le plus l'adolescent, était les tâches de sangs partout sur ses vêtements et son visage, ainsi que les bouts d'organes qui avaient explosés à cause de la balle. Et quand il remarqua tout ça, il perdit connaissance.

♚ - ♚ - ♚

Sa vision était encore assez floue, et il pouvait entendre quelques murmures, venant d'en face de lui. Il leva la tête et cligna des yeux, avant de sentir un horrible mal de crâne. Il sentait un énorme brouillard dans son crâne, et avait extrêmement de mal à se souvenir de tout ce qu'il s'était passé. Certains souvenirs mit côte à côté, l'histoire qu'ils formaient été bien différente de l'originale. De ce qu'il pouvait se souvenir, il avait interrogé Gumshoes, et avait découvert que les deux policiers étaient coupables...? Et ensuite... Il les avait tué. Il avait tué les deux criminels coupables du meurtre de son père... Quelque chose semblait faux dans cette histoire, mais il ne savait pas quoi. Il voulu se frotter les yeux pour essayer de voir plus clair, mais ses menottes étaient attachées à la chaise sur laquelle il était assez, l'empêchant ainsi tout mouvement dangereux. ... Était-ce vraiment nécessaire? Ah, certes. Il avait tué quelqu'un, non? Les deux policiers... Pour essayer de se réveiller, il cligna des yeux et regarda les alentours. Une salle grise, avec seulement une table et deux chaises, ainsi qu'un policier, lui, et deux gardes du corps. Sur la table, un dossier avec plusieurs feuilles et photos. De ce qu'il pouvait voir, à l'intérieur était une photo de Gumshoes, de lui, et d'inconnus—probablement des témoins. À sa gauche et sa droite était deux grandes fenêtres, montrant plusieurs policiers l'examinant comme s'il était une bête de foire.

Il était, sans aucun doutes, dans une salle d'interrogation.

... Pourquoi vous m'interrogez? Je le savais... Vous aussi. Ils sont coupable.
— ... Ils?
— ... Les deux policiers ... C'est eux que j'ai tué... Non?

Tuer quelqu'un... Cette simple pensée lui donnait envie de pleurer. Le policier semblait triste, mais pas un deuil. Puisqu'il voyait clairement que Pisces était troublé et que son acte n'avait pas été volontaire. ... Bien qu'il ait vécu au côté d'un détective, il n'en restait pas un adolescent, vulnérable en plus de ça. La mort de son père l'avait effectivement affecté, plus que cela le devait normalement.

J—Je ne sais même pas...


Des gouttes d'eau salées commencèrent à tomber sur la table en fer, l'adolescent baissant la tête. Il n'avait jamais rien su, de toute façon. Pourquoi devait-il savoir? On lui imposait tellement de choses... Bientôt, le nombre de larmes augmentèrent et accélérèrent, le garçon dans un état de confusion tel qu'il avait du mal à se souvenir de son propre nom, plusieurs prénoms défilant dans son brouillard mental.

Mon nom est Pisces Halvor Bernhardt... Et je ne sais même pas quel jour nous sommes...—Je m'appelle bien Pisces, non?

Pisces? Aries? Taurus? John? Quel prénom semblait être le sien? Aucun. Car il n'était qu'un meurtrier. Pisces n'était pas un meurtrier. Taurus était une victime. Aries—Aries était un meurtrier.

A-Ah... Je vois... Mon nom, c'est Aries, c'est ça? Parce que Aries, c'est un meurtrier, et que moi, j'ai tué des gens!


Une certaine joie pouvait être sentie, bien qu'il pleurait toujours. Le lieutenant, quant-à lui, ne savait plus quoi faire du tout. ... Peut-être qu'il devait juste le mettre en cellule quelques jours en attendant.

C—C'est pas moi! ... C'est pas ma faute... Je voulais pas le tuer... Il m'a forcé... J—Je vou-voulais pas...!

Ses pleurs se firent plus intenses, et le lieutenant, confus dans ce chaos mental qu'était le pauvre enfant, décida de le calmer en prison, contre sa volonté.

♚ - ♚ - ♚

Les barreaux sur lesquels il s'était appuyé commençait sérieusement à lui faire mal. Pourtant, c'était le seul moyen qu'il avait pour pouvoir voir la personne à qu'il « parlait ». Car bien que lui lui racontait tout et n'importe quoi, le garde qui veillait sur les cellules lui, faisait son travail et l'ignorait. Et bien que Pisces comprenait son acte, il ne pouvait pas s'empêcher de se sentir triste en voyant qu'on ne lui répondait pas. Et c'était sans compter des prisonniers dans les cellules d'à-côté. Eux avaient fait des choses pires que ce que l'adolescent avait fait. Viol, homicide volontaire, braquages... Tous étaient atteint d'un trouble mental. Donc le garçonnet lui, ne savait pas pourquoi on l'avait placé dans une prison pour fous. ... Il était normal, non? Parfois, d'une voix de fumeur, son voisin lui ordonnait de fermer sa gueule, parce qu'il l'empêchait de dormir en paix. Les seules interactions « sociales » que le petit prisonnier avait. Un peu triste, la prison. On ne lui disait jamais quel jour on était. Et il ne voulait plus compter les nuits, le nombre était devenu trop grand. Et ce n'avait été qu'approximatif, selon ce qu'ils faisaient. Car il n'y avait aucune fenêtre aux alentours, et c'était normal! De peur qu'un condamné s'échappe. Pisces, lui, n'avait jamais songé à s'échapper. Étrange, non? Peut-être parce qu'il était fils d'un détective, et qu'il comprenait à peu près tout ce qu'il se passait dans cette prison, à son grand malheur. Et puis, s'il s'échappait, tout le monde serait à ses trousses, et il voulait vivre une vie en paix, après ça.

Il soupira, voyant que le garde ne bougerait pas d'un millimètre, même s'il était sur le point de mourir. Peut-être devait-il vraiment mourir, après tout. Cela abrégerait sa peine, et il n'aurait pas à être mal regardé quand il serait sorti de prison. Il avait imaginé des titres, quand il avait été mit en prison. « Le fils Bernhardt en prison pour homicide », « Pisces Bernhardt, la honte de son père. » Ce genre de choses... Qu'il avait été malchanceux. En plus, il pourrait voir son père, s'il mourrait. Il avait tellement de choses à lui dire... Tout comme son père serait sûrement en colère de le voir là-haut à un si jeune âge. ... Pourtant, voir son père en colère ne le gênerait pas plus que ça... Tout ce qu'il voulait, c'était voir son père. Il lâcha quelques larmes en pensant à lui, mais fit tout son possible pour ne pas gêner son voisin. Ça ne lui arrivait pas souvent, de pleurer. Mais depuis quelques temps maintenant, ses pleurs se firent plus récurant, pour une raison que lui même ne comprenait pas. Peut-être que c'était les regrets, ou bien juste la prison.    Il se sentait tellement seul, avec personne à qui parler...

Vous n'allez pas mettre quelqu'un avec moi? Je me fais chier, tout seul...

Sa voix tremblante parvint à peine à atteindre le garde qui, comme d'habitude, l'ignora. Allez quoi, répond moi... pensa-t-il très fort. Il se frotta les yeux, et baissa la tête pour cacher ses sanglots. Il avait sorti l'excuse de la solitude mais, il savait très bien que si quelqu'un devait venir avec lui, ce serait lui aussi, un malade mental. Et donc, Pisces voulait quelqu'un dans sa cellule pour qu'on puisse l'achever. Avec son corps frêle et ses muscles de rien du tout, aucun doute que l'adulte fou ne prendrait que quelques minutes à le tuer. Peut-être était-ce aussi précisément pour ça qu'ils ne mettaient personne avec lui. Parce que si deux adultes se battaient, ils auraient le temps d'avertir la sécurité, mais s'il se battait contre quelqu'un, à moins d'être armé, le petit Pisces n'aurait aucune chance de s'en sortir.

... Et quand il s'était battu armé, il avait tué quelqu'un.

Il se leva pour aller vers le lit en fer, tout en reniflant légèrement. Ce n'était pas la peine de demander pour des mouchoirs, le garde ne répondrait pas.

♚ - ♚ - ♚

Tenant un pistolet dans ses mains et conduisant une moto dans l'autre, il se demandait quand est-ce que la personne en face de lui allait s'arrêter. On pouvait clairement voir des sacs de billets sous ses pieds, et la cagoule l'empêchait d'identifier le personne qui conduisait, elle aussi, une bécane. Jetant un coup d'œil furtif, il remarqua qu'il allait finir par tomber en panne d'essence, si ça continuait comme ça. Malheureusement, le but premier du policier en herbe avait été d'attendre la panne de l'autre. Et puisqu'apparemment l'autre ne de décidait pas à s'arrêter—ce qui dans un sens était normal—et qu'il n'était pas assez précis pour viser la roue du véhicule, il prit son courage à deux mains et tira la balle qui restait dans son pistolet dans la main qui conduisait, cachant le picotement que cela causait. Le bruit avait réussi à être étouffé et c'était ce qui comptait. Et doucement, il pressa son pistolet contre sa tempe, et interpella le voleur d'un « Eh! ». Le cambrioleur se retourna et ne pu s'empêcher de rire. Qu'est-ce qu'il comptait faire, là? Se suicider sur sa bécane?

S–Si vous vous arrêtez pas, je tire!

Évidemment, il ne s'arrêta pas. Les policiers cachés aux alentours semblaient plutôt confus. Peut-être que son état mental n'était pas encore trop stable. Mais, une tentative de suicide... À moins que ce soit du bluff... Non, ça ne l'était pas. Il savait bien que cela ne marcherait pas... Mais à quoi pensait-il alors? Ce garçon était vraiment impossible à comprendre.

Bon... C'est pas grave... Je tire, alors.

Sa main droite lui picotait encore, mais il ignora la douleur, se disant que bientôt, elle disparaîtrait. Il pressa la gâchette alors que les policiers paniquaient, pensant déjà aux funérailles du gamin, donc le véhicule s'était arrêté. Il resta immobile un certain moment, comme mort, pendant une dizaine de secondes remplies de stresse pour les policiers. Puis, Pisces, semblant bel et bien vivant, descendit de sa moto pour remarquer la balle dans sa main. Cette « blessure » déclencha un fou rire des plus étranges, arrêtant pour une demi-minute le criminel, se demandent ce qui avait bien plus de passer. L'arme déchargée dans sa main gauche, se rit stoppa net et il se souvenu qu'il avait tout de même quelqu'un à arrêter. Ah, mais il est vide, hein... pensa-t-il, ne pouvant s'empêcher de rire, en voyant sa main pisser le sang. Son talkie-walkies pour adultes dans la mail, il ordonna, d'un air énervé, aux policiers qui remettaient en question son état mental de fermer leur putain de gueule car ils étaient bruyant. Ensuite, il regarda fixement le voleur, qui semblait plus effrayé qu'effrayer maintenant. Puis, naturellement, il jeta l'arme vide sur le crâne de l'homme adulte, qui tomba immédiatement sur le sol. Parce que putain, cette arme était lourde! Avançant les mains dans les poches, le lycéen prit le voleur par le col, un sourire sur des lèvres.

Yo! Alors, quoi de neuf depuis le dernier braquage? T'as l'air en forme... Mais t'sais, les braqueurs, y'en a qui les foutent au chômage.

Il marqua une longue pause; le son de son talkie-walkie résonnant dans les tympans du garçon, qui ne pu s'empêcher de rire à nouveau, d'un air incroyablement sadique. p***ain, on le ******** plus,  il va le *****, c'est sûr! – Vos gueules putain, vous êtes particulièrement chiant avec moi, qui ne suis qu'un nouveau...[/i]

Et tu vois, moi, je fais parti de ce genre de personnes. Alors, tu vas devoir me promette de ne plus voler, d'accord? Très bien. Alors, adieu, hein?

Et il éclata le crâne déjà gravement endommagé contre la moto remplies de sacs de billets, un air anormalement joyeux sur son visage. Après ça, il vérifia le pouls et plaça son émetteur devant ses lèvres.

C'est~ bon~ Il est hors d'état de nuire ☆  
— T'peux pas reprendre le boulot putain, faut q—

Il explosa violemment l'objet contre le sol et parti seul, laissant le cadavre devant la vue de plusieurs personnes effrayées. Pff... Les gens en veulent toujours plus. Je croyais qu'on devait juste faire en sorte qu'il ne puisse plus commettre de crimes... Et après une petite dizaine de mètres, il tomba naturellement contre le sol.

T-Tu peux pas me laisser toute seule... Qu'est-ce que je vais faire sans toi?!

Une adulte d'environ cinquante ans quoiqu'un peu moins, et au traits faibles et laids suppliait en pleurant un adolescent—bientôt adulte!—plus grand qu'elle, et aux yeux identiques aux siens; bien qu'aucune expression semblait visible dans son bleu clair. N'était-ce pas étrange? Qu'il ne ressente aucune empathie et aucun remords en laissant sa mère seule? Elle peut toujours inviter ma tante... Ou mes cousins et cousines... pensait-il. Mais lui, il partait pour le Japon, quoiqu'il arrivait. C'était un des seuls pays habitable où on ne connaissait pas vraiment le nom de Bernhardt. Et puis, la culture japonaise était quelque chose qu'il appréciait. La politesse, l'art japonais, les mangas, ce genre de chose. Comme ça en plus, il n'aurait pas trop à apprendre le vocabulaire familier—car il détestait ça. De toute façon, l'anglais étant sa langue maternelle, s'il n'arrivait pas à s'exprimer, il le fera en anglais. Comme quoi, ça pouvait être pratique, de parler la langue la langue la plus parlée du monde...

Ses yeux froids se posèrent sur sa mère, toujours sans montrer aucun signe d'émotion quelconque. Elle aussi, était devenue assez instable après la mort de son père. Pas autant que lui, certes. Une sorte d'hystérie, quelque chose comme ça... Il ne s'en souvenait pas exactement. Premièrement car il s'en foutait. Et deuxièmement... Parce qu'il ne voulait pas s'en souvenir. Qu'elle chance, de n'avoir rien de trop grave. Parce que lui, il était "la honte de la famille", le "fils-à-papa meurtrier", et ce genre de choses. Alors qu'elle n'était que la pauvre veuve. ... Il l'enviait terriblement. Lui, ne pouvait pas sortir sans que les gens aient peur ou pitié de lui.

Je pense que tu es assez intelligente pour te servir d'un ordinateur. Démerde toi avec ça, envoie moi des mails si tu y tiens vraiment.

Bien qu'il n'y répondra jamais.

Quand avait-il commencé à être dans un tel froid avec sa mère? Lui-même n'avait pas remarqué. Cependant, d'après les psychologues, ce n'était pas seulement avec sa mère qu'il agissait ainsi, mais tout le monde. De la psychopathie. Le manque de regrets, d'empathie, ce genre de choses... Comment pouvait-il pouvoir s'intéresser aux criminels, si lui même était un psychopathe? ... Peut-être devait-il abandonner l'idée de faire détective. Contrairement à son père, lui, ne peut pas comprendre ce que les autres ressentent... Qui sait pourquoi. Certain parlent d'un traumatisme. Mais quel genre de traumatisme, eh.

... Ah, mais. Ce n'était pas pour sa psychopathie qu'on le rejetait.

Pour son "trouble de la personnalité multiples", dont lui-même ne savait que très peu de choses. Juste que de temps à autres, il "changeait" de personnalité, et devenait l'exact opposé de ce qu'il est vraiment.  

Mais qui sait qu'il est vraiment.

Bien. Porte toi bien, et à bientôt.





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MessageSujet: Re: memento mori.    memento mori.  EmptyJeu 2 Jan - 15:08


[15:05:56] MAKOTO YUKI : au fait, je peux m'auto valider ou pas?  *trop hâte de rp /pan*
[15:06:58] Nhiza: ouais

Donc je le fais >8D *a le pouvoir*
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