The gleam in yours eyes - Hikari Miru

« - Maman, j’ai froid. Maman où tu es ? Maman, j’ai peur… Maman je ne vois rien sans ta main qui me tient. Maman je ne t’entends pas…
   - Ta mère n’est plus là on dirait. Viens, je vais t’aider »

L’inconnu posa son manteau de fourrure sur mes épaules, c’était la première fois que j’en touchais un. Je ne connaissais pas cette matière, si douce et si chaude, ressemblant à la personne qui me sauva de cette tempête de neige. Je n’avais alors que 5 ans.

J’ai été recueillie et sauvée par l’inconnu. L’inconnu est devenu mon frère, Hikari Shizun, s’appelait-il ; héritier d’une famille aisée. Depuis cette rencontre, nous nous considérons comme frères et sœurs. Si nous sommes devenus si proches, en si peu de temps, c’est parce que nous avons tous deux perdu nos parents et n’avons que 5 ans d’écart. C’est pour cette raison que Shizun se trouvait dans cette tempête ; il avait fugué, par l’annonce, de la mort de ses parents.
En résumé, ma mère m’avait abandonné, certainement dû au fait que je sois aveugle, et les parents de Shizun avaient été assassinés, pour une raison, à ce jour, encore inconnue.


Quelques années plus tard…

Nous avons été éduqués par l’oncle de Shizun. Je ne l’aimais pas trop, et je croix que lui non plus car il ne me considérait pas comme un membre de sa famille.

Depuis quelque temps je suis très complexé par ma cécité, les personnes qui viennent à la maisons répètent toujours la même chose à Shizun :

« Tu deviens un très beau jeune homme »

Mais moi je ne peux pas le voir. Mon frère me réconforte du mieux qu’il peut mais que peut-il faire contre ça ?
Il a donc décidé de me faire une petite surprise. Grâce à sa fortune, et à mes autres sens, qui, d’après les médecins seraient très développés, j’ai pu entrer dans une école, vers l’âge de 7 ans. Je ne pouvais écrire, mais je pouvais toujours entendre les cours et les apprendre une fois rentré à la maison, écouter, me faire des amis comme tout le monde … et ça me suffisais pour être heureuse, car la seule chose que je souhaitais c’était de ressembler à toutes les autres petites filles de mon âge. J’ai pu me faire des amis, malheureusement il y a toujours eu des crétins pour se moquer de moi, mais ne croyez pas que je me laissais marcher sur les pieds.


Un arbre a besoin d'eau pour vivre…


A mes dix ans, les ennuis ont commencé.

L’oncle de Shizun dû quitter le manoir, à cause de son travail il nous confia donc à la seule domestique qui y travaillait encore. Je n’aimais pas du tout cette idée, et pour moi ils nous abandonnaient car nous étions un trop gros fardeaux et je pense que Shizun pensait la même chose, mais il ne pouvait rien dire.

Quelques jours après son départ, on découvrit que les parents de Shizun avaient été assassinés car ils devaient, d’énormes dettes à un homme d’affaires. Shizun dû, alors, travailler pour lui, afin de finir ce que devaient ses parents. On a dû déménager dans une maison plus petite et sans domestiques… mon frère avait donc un fardeaux qu’il portait tout seul désormais, moi.
Il réussit à  me protéger de toute cette histoire pendant plusieurs années…
Mais un jour… Shizun n’est pas venue dans le repaire de l’homme, il découvrit alors mon existence et voilà la lettre qu’il laissa à Shizun :

J’ai ta charmante sœur en otage, je te propose un marché, sa vie contre la tienne et ta fortune. Tu devais travailler pour moi seulement pour quelques années, mais puisque tu t’es amusé à manquer une journée, tu devras me rembourser cette journée en travaillant pour moi à vie, bien entendu je t’interdirais de voir cette fille, que tu appelles « sœur ».

L’homme n’était en réalité intéressé que par une chose, la fortune de Shizun et était donc prêt à tout pour avoir cette richesse.


Et moi...


Cette « échange » devait se passer dans un endroit abandonné, à l’abri de tous les regards, rien de mieux qu’un entrepôt désaffecté pour faire ça, n’est pas ? Là, il n’y avait que 2 personnes moi et cet homme.
Quand Shizun arriva au rendez-vous, je reconnus le bruit de ses pas. J’étais attachée, debout, à un poteau en bois, en plein milieu de la pièce, avec, à mes pieds, une… un objet qui n’a que des matériaux froids comme la mort, comment est que cela s’appel déjà ? A oui ! Une lampe à huile. Shizun se précipita vers moi. L’homme se trouvait à côté de moi, avec un autre objet froid, qui, d’après mon frère, était très dangereux, mais j’ignore ce que c’était, je savais juste qu’il était pointé sur moi. Mon frère ralenti le pas et stoppa sa marche devant moi et l’homme.
L’homme se déplaça et se mit entre Shizun et moi.

« -   Comme tu peux le voir je suis là, donc libère ma sœur ! » Ordonna Shizun.
   -   Je ne pensais pas que tu viendrais, je te croyais plus malin que ça… » Dit l’homme.

Lorsqu’il finit sa phrase un bruit aigüe retenti. Je sentis une vive douleur au niveau de ma poitrine j’ignore pourquoi il m’a fait ça, mais il l’a fait… encore des chose que j’ignore…
Tout se bouscula dans ma tête, j’entendais les cris de mon frère, des coups de feus mais qui avait tiré ? Je commençais à perdre connaissance, puis soudain tous devins calmes. Que se passe-t-il ? Comment va mon frère ? Je ne peux… pas… l’a-ban…

Miru était morte un 15 Aout.

Bienvenue dans cette boucle infinis mes enfants, Le Never-Ending World.


Jour 1 :

Aujourd’hui je me suis réveillée, comme tous les matins. Comme tous les matins, je suis allée prendre mon petit déjeuné. Comme tous les matins, la télévision était allumée, même si pour moi, elle ne servait à pas grand chose. Comme tous les matins, on parlait de ce groupe étrange qui faisait des ravages dans la ville.

Mais le reste de la journée ne ressemblait à aucuns autres jours. Je me suis fait kidnapper, j’ai était trainée de force dans un endroit fermé, je me suis fait ligoter à un poteau, mon frère a réussit à me retrouvé et est arrivé en courant, celui qui m’avait kidnapper pointa quelque chose de froid vers moi, ils ont parlé comme si ils se connaissaient, soudain un bruit assourdissant retentît, à se moment la j’ai eu une grosse douleur dans ma poitrine, mon frère se mit à hurler, il y eu des coups de feus. Puis, plus rien ….

Miru était morte,... une nouvelle fois.


Jour XXX :

Shizun commençait à devenir fou à voir sa sœur mourir. Que devait-il faire pour se sauver ?
Ce soir là dans l’entrepôt, il savait ce qu’il devait faire.
Cette « échange » devait se passer dans un endroit abandonné, à l’abri de tous les regards, rien de mieux qu’un entrepôt désaffecté pour faire ça. Là, il n’y avait que 2 personnes moi et cet homme.
Quand Shizun arriva au rendez-vous, je reconnus le bruit de ses pas. J’étais attachée, debout, à un poteau en bois, en plein milieu de la pièce, avec, à mes pieds, une… un objet qui n’a que des matériaux froids comme la mort, comment est que cela s’appel déjà ? A oui ! Une lampe à huile. Shizun se précipita vers moi. L’homme se trouvait à côté de moi, avec un autre objet froid, qui, d’après mon frère, était très dangereux, mais j’ignore ce que c’était, je savais juste qu’il était pointé sur moi. Mon frère ralenti le pas et stoppa sa marche devant l’homme, puis se mit entre lui et moi. J’ai entendu qu’il sortait quelque chose de sa poche, soudain la corde qui me retenait ce coupa, mon frère me dit alors :

«  -  Pars sœurette, reste en vie il y a des chances pour que l’on ne se revoit plus. »

Je commençais à me diriger vers la sortit grâce au courant d’air, que la porte laissait s’échapper. L’homme commença alors à rire mais il ne ressemblait pas au rire de mon frère celui-ci était froid et inquiétant… je ne sais pas ce qui c’est passé. Il y a eu plusieurs coups de feus puis… plus rien… je voulais me diriger vers mon frère mais je n’ai pas eu le courage…




Ce matin je me suis réveillée comme si je sortais d’un cauchemar. Je n’arrivais pas à me rappeler qu’es que c’était. Je suis allée prendre mon petit déjeuné avec Shizun, mais il n’était pas rentré hier soir et ce matin non plus à parement et cela faisait déjà plusieurs jours que ça durée.
Puis la sonnette retentit et résonna dans toute la maison, je pu me diriger grâce au son produit par celle ci. Quand j’ouvris la porte des hommes ont commencé à me parler, mais au fur et à mesure qu’il me parler je les écoutaient de moins en moins :

«  - Mademoiselle Hikari nous sommes venus pour vous dire que votre frère est porté disparue nous ignorons si il est encore en vie si vous avez la moindre information il faudra nous contacter »

Une fois la porte fermée, je me suis écroulée et j’ai commencé à pleurer, je pensais à tellement de chose en même temps que j’en avais mal à la tête.
M’a-il abandonné comme ma mère ? Où est-il ? Est-il mort ? Qu’est que je vais faire sans lui ? Et comment ce fait il que je pouvait voir ces types ? … Je suis aveugle… Je ne peux pas rester dans cette maison, elle apporte trop de malheur… Je sais, j’ai entendu parler de ce groupe, je suis pas sur qu’il soit au top des groupes les plus calmes mais où est que je pourrais aller, je ne peux aller que là, peut être seront-ils gentil comme mon frère… je crois qu’il se nomme Ake… Ako… Aka… oui ! Akame Dan !

Je crois que j'ai besoin de toi…