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 { ▊♔ Why the hell I'm here?! Among humans, I'm surely the weirdest one.

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AuteurMessage
Autres Comptes : Kido Tsubomi & Namikawa Reiji
Messages : 109
Date d'inscription : 19/08/2014
Age : 23
Localisation : Quelque part à essayer de ne pas dormir
Couleur : #BCB476
Fiche de Personnage
Cause de mort: Écrasé par un bus.
Relations:
Capacité: Inversing Eyes.

Takamatsu Akio

Takamatsu Akio

Délinquant taciturne

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MessageSujet: { ▊♔ Why the hell I'm here?! Among humans, I'm surely the weirdest one.   { ▊♔ Why the hell I'm here?! Among humans, I'm surely the weirdest one. EmptyMar 21 Oct - 1:35

❝ Yeah, yeah. It's a cool story. Now, can I kill you? ❞
nom ▬ Takamatsu. (位斃; signifiant 'Couronne & mort violente.)
prénom ▬  Akio. (位斃; signifiant 'Couronne & mort violente.)
sexe ▬ Masculin.
surnom ▬ Taka-kun, Aki-chii, la tornade jaune et d'autre sobriquets vulgaire.
âge ▬ 15 ans.
date de naissance ▬ 5 Avril.
orientation sexuelle ▬ Asexual.
groupe sanguin ▬ B-
occupation ▬ Délinquant.
groupe ▬ Akame Dan.
nom de la capacité ▬ Inversing Eyes. La capacité permet à l'utilisateur d'inverser ce qu'il touche (Par exemple le flux sanguin de quelqu'un), ses gestes (Marcher en sens inverse si la capacité est activée.) ainsi que les pensées, mots et émotions.
cause de mort ▬  Fauché par un bus.

__________

prénom/pseudo ▬ Un
âge ▬ Deux
sexe/genre ▬ trois
comment as-tu connu le forum? ▬ Let's go!
comment tu le trouves? ▬ Momo est le thème principal donc je suis contente. ♥
doubles comptes? ▬ Kido Tsubomi & Namikawa Reiji.
faceclaim/avatar ▬ Amatsuki (Utaite) et Momotarou Mikoshiba.
autre ▬ ici

Un bel enfoiré. Voilà ce qui le qualifie. Sans scrupules ni d'empathie envers les autres, c'est limite si il ne franchi pas la ligne d'intolérance-- Quoique c'est certainement déjà fait. Lui, lui & lui. Rien ne compte à part sa petite personne, pire que de l'égoïsme. Pire que de l'orgueil & de l'amour-propre. Parce que compter sur soi-même est largement plus sûr & favorable malgré la bande de 'camarades' qui l'entoure. Ses acolytes ne bénéficient pas du soutien de leur leader, chacun pour sa gueule qu'il hurlerait sur les toits. Être gentil n'est pas dans ses cordes. Le concept de la gentillesse lui est inconnu, il n'adhère pas à ce trait de caractère puisque les gens sympathique le dégoûtent, le répugnent comme pas possible. Violent & vulgaire, rare est de constater que sa langue ne délie pas des mots doux et rassurant, ses tics verbales parsemés d'insultes vexantes en tout genre quel que soit le contexte. Après tout personne n'ose donner une répartie ou se plaindre du niveau de prosaïsme insultant notre belle langue.

La patience est une vertu qu'Akio n'a jamais acquis. Impatient comme pas deux, détestant perdre du temps sur des trivialités c'est outrageusement aisé de le mettre sur les nerfs en quelque mots, Ses pieds frappent tout ce qui se trouve sur leur passages, transmettant son courroux sur des objets ou quelque chose d'animé, juste pour le fun & de contempler la réaction de la victime, si jamais celle-ci se montre vaillant, au moins cela aura le mérite de le divertir un temps soi peu. Buter les faibles & affronter les brutes à grande gueules c'est un hobby, ça fait une pierre deux coups. Il élimine la vermine qui pollue ce monde corrompue & il se fait un nom graduellement sans trop s'épuiser. Éclater les vaisseaux sanguins, fracasser le crâne d'un opposant contre le bitume & essuyer ses chaussures sur le visage d'un soumis sont des plaisirs quotidien qui le met de bonne humeur. Peu de choses lui arrache un sourire et un rire, à l'exception de lui annoncer une bonne nouvelle, ou de lui concéder quelque chose qu'il apprécie, les pâtisseries par exemple. Examiner les gens prier pour sauver leur peau c'est comique deux minutes mais c'est tellement redondant de voir l'humanité gesticuler comme un ver luisant lorsque leur vies sont en danger. Visiblement c'est cliché, ce genre de personnalité. Un délinquant sans cœur et se croyant supérieur, sans profondeur & psychologie. Mieux que quiconque, il sait ce que représente la faiblesse, étant donné qu'il est passé par là, de voir que la réalité n'est pas rose bonbon et salvatrice contrairement à ce que l'on entend de nos jours. Œil pour œil, dent pour dent. Devient miséricordieux & ne devient jamais un sbire de ce monde pathétique, tel est sa devise.

Râleur cependant avisé et très intelligent. Bien qu’il soit grande gueule en cherchant la bagarre un peu partout, son impulsivité lui cause énormément de tracas. Aider les gens c’est pas son passe-temps, si une personne est dans le besoin, il passera simplement son chemin. Mieux vaut ne pas compter sur lui puisque qu'il se la joue solo malgré qu'il soit membre de son propre petit groupe. Malgré ses défauts,et ses crises de colères s'accentuant par des rires démentiels, il n'échappe pas aux humiliations comique frappant son manque de discernement car le garçon est un idiot. S’enflammant et se ridiculisant parfois pour une broutille le mot ‘sang-froid’ n’appartient pas à son vocabulaire peu enrichi et irrévocablement démuni de verbes autre que grossier.

En dépit de son courage et narcissisme, Akio reste quelqu’un de troublé et anxieux si un jour une éventuelle rencontre entre lui et son père se déroule. Bien qu'il ne soit pas l'enfant silencieux et peureux d'autrefois, ses démons le hante toujours, il est perpétuellement piégé dans son angoisse de n'être finalement qu'un faible à la merci de son passé.

Véritablement maladroit envers les formes de sympathies que de rare personnes osent démontrer, être entouré d'un cercle d'amis n'est pas sa tasse de thé. Il est adulé et craint par les membres de son petit groupe d'une banlieue et cette situation le suffit amplement. C'est pour cela que dès qu'une personne est trop proche, il utilise à tort et à travers des prétextes pour s'éloigner, créer de la distance, tout faire pour dissuader des gens de vouloir être son ami. La solitude est plus gérable que l'amitié et tout les détails encombrant qui vont avec ce discours tout droit sorti d'un dessin animé pour gamins. Une forme d'insociabilité coule dans ses veines.

Ses tics de langages sont reconnaissables entre mille. Commençant ses phrases par 'Omae wa'' et les finis par 'teki na'. Il a aussi la drôle habitude de pointer son index vers la paume de son autre main à chaque fois qu'il explique quelque chose ou qu'il ouvre tout simplement la bouche pour s'exprimer.
1m72 ▲ 56 kilos ▲ Dorée ▲ Orangé ▲ Pâle ▲ Odeur de viennoiseries ▲ Acrophobe ▲ 1er DAN : ceinture noire en karaté ▲ Excelle dans les arts-martiaux ▲ Possède une collection de films sur Bruce-Lee ainsi que des documentaires sur la Chine ▲ Adore les films et jeux d'horreurs ▲ Fan incontesté de baseball ▲ Carbure au sucre ▲ Intelligent mais utilise son cerveau à mauvais escient ▲les kanjis de son prénom sont erronés, il a lui même changé involontairement la signification de son prénom qui avait une autre définition

Armé de sa fidèle batte de baseball, Akio est bien protégé par ses diverses armes tel que les cutters, dagues et couteaux planqués dans les recoins de ses fringues ou dans ses bottes lors des rendez-vous important. Ses mains sont souvent bandés mais lorsqu'un combat sérieux est sur le point d'éclater, il revêtit ses poings américains.

Son corps est massivement couvert de blessures. Les côtes confinées dans des compresses ensanglantées changés régulièrement, les blessures de ses jambes sont recousu par du fil à aiguille d'une manière désordonnée et inégale. Les bras sont épargnés (Si on omet les griffures.) cependant le visage est souvent amoché par des bleues ou des hématomes cachés sous les pansements et les vêtements ample qu'il porte.

Compte à rebours avant mort imminente; Quatre ans, trois semaines et huit secondes.

❝ C'est à cette heure-ci que tu rentres, p'tit con?! ❞

Une voix résonne, un bruit de fracas s'écroule contre un mur, les débris de verres autrefois d'une bouteille s'éparpillant dans les cheveux bruns d'un jeune garçon âgé de neuf ans, le regard rivé sur le sol, plus précisément fixant un point imaginaire. Un bon prétexte pour éviter un contact visuel avec le visage rougeâtre d'un père visiblement saoul.. Compte tenu de l'intonation chevauchant quelque hics et toussotement rendant les phrases incompréhensible. Mais ce n'est pas comme si l'enfant prêtait attention à ces reproches maintes fois réitéré, que ce soit dans un état stable ou pendant une crise généré par l'alcool.

❝ Répond quand je te parle espèce de porc, bon à rien! ❞ Encore des représailles tombant dans l'oreille d'un sourd. Répondre ne ferait qu'aggraver la situation, Akio le savait. Et franchement, se prendre des coups gratuits ce n'est pas sa tasse de thé. Fuir la réalité, prétendre que ce n'est qu'un mauvais rêve, un cauchemar se vaporisant comme un insecticide-- Tout mais ne pas admettre que cette violente vision est la réalité. Répondre par politesse est une question de courtoisie, mais dans ce cas, c'est plus une mise à mort qu'un principe. Les lèvres nouées, un hochement de tête s'incline, les mots restent silencieux, tombant dans l'oubli. Qu'est ce qui voulait dire, de toute manière? Qu'il est resté plus longtemps à l'école primaire parce que sa maîtresse l'a gardé plus longtemps que prévu? Si seulement il savait ce qu'aujourd'hui lui réserve, jamais l'idée de rentrer a la 'maison' n'aurait effleuré son esprit. La peur le tétanisait, les muscles n'obéissaient pas aux commandements. Fuir, dégager d'ici, avant que la haine de son paternel ne se déverse sur lui, encore une fois. Et un bruit de pas lourd s'approche, réduisant la distance instauré entre le fils et le père. Regard hagard, langue claquant le palais, Akio n'osait pas relever la tête, craignant que ce simple mouvement rotatif ait un mauvais impact sur le comportement abusif de l'adulte, le visage masqué par la pénombre de la pièce mal alimenté en clarté.

Un soupir s'éternisa deux secondes, le temps de comprendre ce qu'il vient de se passer. Pieds lévitant au dessus du sol, dos calé contre le mur crasseux le gosse demeurait neutre, silencieux tandis que l'autre homme arpentait les cheveux de sa progéniture, agrippant ses doigts s'agrippant férocement dans la tignasse en inclinant la tête vers le côté opposé. Dieu que ça fait mal. Est-ce de la méchanceté gratuite? Avait-t'il mérité de vivre une vie de chien jusqu’à ce que mort s'ensuive? Cependant avant de crever, étaler sur le sol, ce serait fantastique de vider son sac au moins une fois, d'exprimer toute les pensées accumulés après sa naissance, histoire de dévoiler ses vrais sentiments et de ne plus être surnommé 'tapette' par sa seule famille, comme si ça ne suffisait pas avec les regards indiscret du voisinage rabaissant jour après jour un enfant maltraité.

Le moment fatidique arrive. Bouche entrouverte, il contemple radicalement son opposant, prenant les devants en débutant une phrase de quelque lettres. Articuler, ce n'est pas compliqué mais avec la gorge nouée, il y'a de quoi être inquiet.

❝ M-Me... ❞ Murmure t'il, incertain du timbre qu'il devait adopter pour imposer son jugement et solliciter l'attention de son interlocuteur.

❝ Quoi? J'tentend pas! ❞ L'adulte braille. Trop fort, trop brutalement. Cette menace ne présageait rien de bon. Néanmoins cet ordre apporta le dernier ingrédient poussant le courage dans ses derniers retranchement, si bien que le premier geste entra en collision contre le front du plus âgé, tête contre tête, un face à face frénétique engendrant l'ardente animosité libérant une vague de mots poignardant le coupable. ❝ Me touche pas, connard! ❞ Dieu que ça fait du bien de s'affirmer, au moins une fois. Et malgré l'insulte lancée, il n'y avait pas une once de regret titubant sur le comportement immodéré du châtain submergé par l'angoisse. Depuis combien de secondes, de jours et d'années il rêvait d'imposer son propre jugement, au détriment de ne plus pouvoir vivre sous un toit? C'était effrayant, de se dresser contre son propre père. C'était scandaleux de s'avachir au sol une fois que l'adulte lâcha sa prise, essayant de faire passer la douleur et d'éponger le sang ruisselant le long d'une tempe à l'inverse de réprimander l'audace du gosse secouant vaguement son visage, secoué par l'impact du choc. La peur au ventre, les jambes tremblantes comme ceux d'un nouveau-né, une de ses mains l'aida à reprendre ses esprits et de s'adosser correctement, dos contre une paroi un pas béni l'approche sauvage réduisant l'espace entre sa propre personne et la porte d'entrée. Sans hésitation le corps maigrichon s'élance indubitablement à l'extérieur de la bâtisse sans jeter un dernier coup d’œil en arrière. Tout ce qui appartient au passé est derrière, comme une ombre. Ce ne sont que des vestiges s'alliant aux souvenirs hantant désormais leur hôtes. Marcher à grand pas vers un avenir incertain est tétanisant.

Finalement loin de l'enfer qu'est son domicile, pouvoir éventuellement s'écrouler et laisser le stress s'apaiser ne se fait pas prier. Se dissimulant à l'intérieur d'une ruelle ombragé, respirant de grande bouffées d'air, les pensées orbitaient autour d'une même question. Comment survivre seul, à travers les rues malfamés? Honnêtement ce détail est certainement le dernier de ses soucis, malin comme il est, se débrouiller en solitaire est simple avec un peu d'astuce et de débrouillardise.

Un sourire mal assuré balaye les commissures de ses lèvres tandis que les irises dorées fixèrent farouchement l'horizon. Être un enfant, c'est parfait pour soutirer n'importe quoi venant des adultes? Et ce n'est pas la première fois qu'il se paye la tête de tout le monde, que ce soit à l'école et avec les copains. Oui, il se payait la tête du monde entier car personne n'avait la volonté de l'aider, plein de gens était témoins des abus d'un père alcoolique sur son enfant. Voisinage, camarades, autres parents versant leur comères dans le dos du gosse.. Leur regards indifférent ne fait qu'empirer la haine d'Akio envers un peuple entier.

Compte à rebours avant mort imminente; Deux ans, 8 semaines et 42 secondes.

Fuir rapidement les flics coursant un gosse des rues s'appuyant sur les semelles usées s’engouffrant dans les profondeurs de la nuit noyant les alentours dans une piscine de noirceur. Vivre au jour le jour sans compter sur personne est devenue une habitude, une sorte de pèlerinage et d'adaptation dans l'autonomie. Âgé de dix ans n'est guère un âge propice, c'est surtout un âge assez embêtant. Tout les adultes croient bien faire en donnant des signalements à l'assistance sociale ou même guider les policiers là où Akio séjourne. Evidemment, les gens adorent foutre le bazar partout où ils passent. Reprenant son souffle quelque minutes plus tard après s'être correctement assuré d'avoir semé les flics, un soupir meurt sous ses lèvres, les bras étreignant deux lourds sacs plastifiés nichant au creux ses doigts frigorifiés. Saccager une épicerie pendant que le vendeur avait détourné son attention ailleurs ne fut pas une mince affaire. C'est un pari risqué. Quitte ou double, la seconde chance n'a pas sa place dans le milieu. Toutefois l’ingéniosité acquise, s'emparer de quelque bricoles et de la nourriture pas trop ragoûtante le sauve de la famine d'une durée de plusieurs jours, si les sandwiches bas de gamme sauront satisfaire son appétit sans faire la fine bouche.

Il déballe lentement un sandwich au jambon et emmental de son emballage, prenant garde à ne pas faire trop de bruit si les policiers sont encore à ses trousses. C'est trop dangereux de traîner à proximité d'un parc, même de nuit. Doucement, les dents ivoirine arrachent abruptement un morceau de nourriture, mâchouillant lentement la texture, savourant le goût neuf et non discount d'un casse-croûte malgré le manque évident de réel gastronomie.

Une ombre s'approche doucement, glissant un morceau de papier gribouillée collé sur une boite en carton contenant des gâteaux, ladite ombre tourne les talons, faisant demi-tour aussi vite qu'elle est arrivée. Ne prenant pas la peine de s'accroupir et de la lire scrupuleusement, il tire d'un geste simple le papier, yeux plissés sautant quelques phrases afin d'y venir au but.

« Espèce de gros salaud. J'ai les keufs au fesses à cause de tes conneries, enfoiré! Prend ta bouffe que tu m'as demandé et ne m'parle plus, va crever. »

Rien de surprenant. Ce message rédigé par une connaissance se nommant Shade, une gars plus vieux et qui galère pour vivre une vie paisible lorsque les chiens du gouvernement sont cloués à ses fesses. Le comment et pourquoi de leur rencontre s'est déroulé un peu par hasard, sans grande signification au début (Une relation basée sur du chantage après qu'Akio fut le témoin d'un gros cambriolage commit par Shade.). Enquiquiner les autres, plus particulièrement ses connaissances est tellement jouissif, surtout lorsque les cibles sont des personnes au tempérament de feu. Ce charmant message lui chatouille un gloussement sec, rempli d'amusement. C'est comique de voir qu’un gamin âgé de 11 ans soit apte à faire tourner en bourrique n'importe qui avec son espièglerie. En y repensant, c'est grâce à l'aide des jeunes délinquants assez laxiste pour partager leur savoirs qu'Akio survivait, force d'avouer que sans expériences on n'arrive à rien.

La bouffe est toujours meilleure lorsqu'elle est gratuite.

Compte à rebours avant mort imminente; Deux heures et 24 secondes.

Dix heures du matin, un banal vendredi 15 Août. Rien à signaler dans Mekakucity, enfin pour le moment.

Le soleil agressant les pupilles dilatés d'Akio, maintenant âgé de treize ans, s'aventure nonchalamment au milieu d'une grande place, proche du centre-commercial le plus réputé du coin. Commencer la matinée par une petite balade est un bon moyen pour le distraire avant que la pause midi ne tombe, quand bien même  . Mains creusant les extrémités des poches tandis qu'une chaussure vint taper un cailloux ricochant contre le rebord d'un trottoir. L'attente se prolonge derrière une queue de fou patientant chacun leur tour devant une petite cafétéria peu expansive, l'attente ne s'éternisa pas plus qu'escompté avant d'avoir l'occasion de se payer un bon casse dalle avec l'argent gagné précédemment.

Compte à rebours avant mort imminente; 45 minutes et 11 secondes.

Chaud. La chaleur devait sournoise, elle se moquait délibérément de ses pauvres victimes haletant sous l'effet de la canicule. Bouche privée d'hydratation, visage croulant sous les gouttes de la sueur, le regard n'arrive pas à suivre la même cadence que le corps entier suivait, s’acharnant à esquiver vainement plusieurs coups de pieds et de poings frappant ses points faibles-- Et le peu d'endurance lui servant ne servait presque a rien, si ce n'est que bouger horizontalement. Merde, c'est mauvais. C'est fatalement mauvais de chercher des noises à un type plus fort que soi, et ce foutu orgueil à deux cents lui creuse son cercueil de seconde en seconde. Ravalant le reste de salive dégoulinant de ses lèvres aride, le corps cambré et les jambes plié, un dernier essoufflement résonne, à peine audible, signalement le début du premier et dernier round.

Tout ces cours intensif de karaté ne vont pas servir pour faire décoration en plein milieu de l'action! Ce genre d'entraînement intensif est censé renforcer la défense physique et l'attaque, booster les capacités de l'apprenti. Et rien n'est négligeable, Akio en est conscient, il le sait. Il sait qu'il doit demeurer calme et ne pas foncer tête baissé mais sa véhémence est indomptable, ce malus est sa propre perte.

Si seulement il n'était pas buté. Il avait considéré la possibilité de fermer sa bouche et passer son chemin sans prêter attention à homme qui est le principal coupable, celui qui avait dérobé de la nourriture à celui qui l'avait acheté, donc Akio lui-même. Ah, il ne peut se plaindre en criant à plein poumons 'Injustice', ce serait vraiment le comble. Prétendre que rien n'est arrivé est encore plus désobligeant et lâche, uniquement les mauviettes s'apitoient sur leur sorts.

Rien que cette raison le poussa à s'avancer et détourner la direction du jeune homme en s'interposant entre lui et la destination visée. Excessivement ridicule mais il n'y a pas une once de regret laissant transparaître un goût amer découlant au sommet de sa langue maintenant noyé sous des vagues de liquide métallique, du sang à l'état pur, extirpé sous la violence de la douleur se propageant à travers les vaisseaux sanguins éclaté sous chaque esquive manquée, les pas s'accordant ensemble pour orchestrer une marche titubante reculant à tatons.

Compte à rebours avant mort imminente; Deux minutes.

Penché contre les barres d'un pont construit au dessus d'une autoroute, au bout d'un moment l'apogée de la confrontation vint, sous un vent tempétueux dissimulé entre les bruits de véhicules circulant bruyamment sous la plate-forme. Traquer ce mec jusqu'ici fût épuisant, le pire étant d'ajuster un équilibre stable sur un jeu de jambes amochés. Zut, le soleil tape vraiment fort, cet été. Continuer n'est que de la pure folie et de l'entêtement superflu.En dépit de tout, la tête penchée en biais, les yeux s'immergeant dans les vagues bleuâtre des cieux, un dernier pas rotatif s'enclenche, transportant le préadolescent à la renverse puisque le dernier seuil d'équilibre se détériora à la suite du choc occasionnel déboussolant ses sens-- Contre un adulte, c'est peine perdu, abandonne. Se dit-t'il, chancelant de plus belle vers un voyage sans retour dans les abysses d'une mort certaine. Mais si c'est aujourd'hui qu'il doit crever, autant emporter quelqu'un dans sa tombe, de préférence le bel enfoiré étirant un sourire glorieux sur ses lèvres, son regard néfaste riant face à la perte d'un sale gosse se croyant trop bien, plus puissant que le monde entier.

Quelle utopie. Une croyance éphémère.

❝ Q--?! Lâche moi, enculé! ❞ Avant de choper le bras de l'autre pour l'emmener dans l'autre monde, un réflexe frappa le brun. Survivre avant tout. Tant pis si cette tentative est vouée à l'échec, sa main gauche s'emparant de la manche appartenant à la veste de l'homme se débattant de son mieux. Tout le monde a peur de la mort, une fois qu'elle vous pend au nez. Même les gros durs commencent à suer une fois que la vie échappe à leur contrôles.

Autrefois le seul valsant avec le trépas, son désir de vivre un peu plus longtemps amena un autre concurrent également effrayé de tomber du haut de ce pont, soixante-dix mètres au dessus d'une route démuni de chances de survivre en restant entier. Et la chute se produit d'emblée, les deux mâles chutant tête la première vers la route cémentée. Inutile de dire combien c'est effrayant d'imaginer ses derniers moments s'écraser contre le sol, une marmite de liquide écarlate repeignant la circulation, mettant en évidence les deux causes de ce désagrément. Oui, c'est un raisonnement parfaitement logique. La tête s'éclatera la première, la cervelle pourrissant sous les coups de becs des corbeaux affamés.

Compte à rebours avant mort imminente; Zéro minutes.
.

Os fracturés, genoux brisés. Compte rendu; Impossible de bouger, de remuer ne serait-ce qu'un petit doigt. Ça fait trop mal de respirer, ça fait trop mal de tourner la tête. La vision se brouille, le paysage devient brumeux et le cœur s'enfouit sous le brouillard qu'est la douleur. Vite, dégager d'ici, tant que c'est possible! D'abord, restons calme. Être encore capable d'inspirer et d'expirer, c'est un miracle. Cependant, enterré sous le poids mort du plus vieux ne réagissant pas, la lutte devenait futile. Ramper comme une limace ne sera jamais suffisant, déjà par manque de temps et d'énergie, mais les paumes moites gisant en dessous du ventre aplati ne pouvaient pas agir comme appui.

❝ B-Bor-del... ❞ Articuler chaque syllabes lui ôte un grognement de douleur. Il fit une grimace, avant de cracher du sang mélanger à sa salive. Son attention devrait inévitablement se fixer devant lui, qu'importe si un 'bouclier' le protège en cas de pépin. Le peu de lucidité disparaissait au fur et à mesure que le vent soufflait contre ses traits physique, couverts derrière les franges poisseuses collées contre la peau. Le train conduisant les pensées jusqu'au système nerveux s'étant arrêté, la coutume de simplement réfléchir devint peinant, laissant la moralité remplacée par inexactitude. Ne sachant qu’obéir à ses instincts, tel une bête entre la vie et la mort, le dernier assaut prolongea par un grincement de dents avant de redresser fièrement la figure, histoire d'examiner les alentours d'un nouvel œil.

Un bruit l'interpelle. Un bruit de bagnole-- Non, le chahut est trop lourd, trop sourd.. C'est probablement un engin d'un autre calibre, et pour en avoir le cœur net, autant jeter un d’œil vers la circulation. D'autant plus qu'aucune voitures ne circulaient, alors que dix minutes auparavant le moindre petit bruit était dissimulé facilement sous les dérapages des automobiles. C'est pourquoi lorsqu'il observe minutieusement le terrain, une vision apocalyptique s'abat en plein milieu de ses yeux, à seulement quelque mètres de distance, soit environ quinze-vingt mètres. Un bus, un unique bus roulant à grande vitesse se dirige en ligne droite, indiquant clairement son objectif.

Merde, bouge, bouge! Akio s’efforçait de penser, d'essayer par n'importe quel moyen de rouler sur le côté. Un silence de plomb s'installa. Les souvenirs évocateur refirent surface. Se remémorant la fois où il avait la première et dernière fugue de toute sa vie en finissant le trajet par plusieurs moments de gloire et des moments difficile à supporter, jusqu'à une dernière vision d'une certaine journée ensoleillé. Un 15 Août. Juste avant le commencement du festival estival. Pas de bol.

Vraiment un manque de chance. Une gifle du destin.

Et le choc s'ensuivit, passant sous les larges pneus un corps démembrés, vidé de son sang accompagné par une autre carcasse tout aussi bien défigurée. Bien sûr la collision n'eut aucune véritable conséquence concernant la douleur-- Les deux hommes sont évidemment décédés sans ressentir un fragment de souffrance, la seule réaction étant la peur, l'angoisse paralysant toute logique rationnelle. Ces sentiments qui confirment que ce sont des preuves rassemblant les critères faisant une créature humaine. Personne n'est susceptible d'échapper à la mort.

Et encore moins si la date tombe sur un malheureux 15 Août.

Compte à rebours avant mort imminente; Temps écoulé.

❝ W-Whaa?! ❞ Un rêve? Juste un cauchemar pour lui flancher les pétoches? C'est franchement une plaisanterie de mauvais goût, et ça a le don de ruiner l'ambiance d'une bonne matinée. Fouillant dans les poches de sa veste, les doigts entrant rapidement en contact avec le téléphone portable, la paire d'yeux dorées scruta l'heure et la date d'aujourd'hui, une simple coutume mais qui se révèle glauque.

15 Août.

Donc toute la scène de combat se finissant au milieu d'un tragique incident ne fut qu'un funeste rêve? Difficile de distinguer l’irréel et la réalité dans un état pareil. Toutefois, fermement décidé à passer le plus clair de son temps à l'extérieur, c'est avec un manque flagrant d'entrain que l'adolescent trimbale son corps affaissé en direction de la cafétéria du centre-commercial le plus proche.

Encore et encore, toujours le résultat exacte, toujours la même fin orchestrée, en harmonie avec les routes précédentes. Tête collée contre le ciment bouillant, cheveux ternit par une flaque de sang. Malencontreusement la même erreur naît presque simultanément dès lors Akio fût confronté au vide, séparé par des barres en ferrailles.

Une fois, deux fois... Puis d’innombrable tentatives pour entreprendre d'autre actions, de changer la donne, d'espérer obtenir un résultat meilleur, favorable. A chaque échec, retour à la case départ. La souffrance est toujours logée à l'intérieur des endroits déjà touchés. La fureur de s'être fait piéger dans un espèce de petit jeu l'énervait au plus au point, particulièrement l'appréhension de ressentir la torture imprimé dans sa mémoire, et aussi sur son cadavre, si bien sûr il peut encore se considérer comme vivant. Si il a encore le droit d'accepter ses faiblesses et la fatalité de ne plus être en vie. Quoique, c'est extrêmement plus abordable de se contenter d'atteindre la même voie. Se laisser frapper, esquiver et ensuite reculer un maximum pour alourdir son poids et de se laisser transporter par le vent, tout en emportant avec soi son seul lot de consolation. La mort de quelqu'un d'autre.

Mais aujourd'hui-- Cette fois-ci, consentir à une boucle sans fin pour s'amuser et tortiller la vie d'autrui pour le plaisir est terminé. Inverser cette loi, la retourner contre elle-même, contorsionner cette règle barbaresque oppressant la vie d'un gosse confiné dans un monde gouvernée par un règlement implacable.

Ce moment crucial tombe enfin. Menant toujours sa présence vers les endroits fréquenté couramment par le peuple, le trajet prend fin dans la cafétéria. La même embrouille recommence comme si une cassette avait été rembobiné. La poursuite continue jusqu'au pont, jusqu'ici, rien d'anormal alertant un éventuel retournement de situation. La différence s'accentue à l'instant où un croche-pied se promène en douce, sous le pied de l'adulte prêt à envoyer un crochet du droit. Parfois c'était plus austère d'abandonner, et d'accepter son triste sort sans rechigner. Mais revivre encore ce genre d'expérience foudroyante soustrait toute envie de succomber à l'échec le plus frustrant, le plus humiliant. Le désire de s'accrocher, de ramper tel un insecte à la vie ne l'amusait plus. Juste vivre, est-ce trop demandé? Sortir de cette mascarade, tout bonnement revenir à une existence 'normale', sans encombres.

Dégringolant de la plate-forme juste après s'être assuré que son opposent tombe le premier malgré la difficulté du plan, il usa le corps du garçon plus âgé pour s'en servir en temps amortisseur, limitant les dégâts sur son propre organisme. Le plus dure, c'est de trouver la porte de secours. S'enfuir est inutile puisqu'il sait qu'il mourra d'une autre manière, guère attendrissante.

❝ Tch! Comme si j'allais encore me faire avoir! ❞ Être prit pour un imbécile heureux porte atteinte à son ego. Et dieu sait que le brun est chargé de vanité. Il est capable de tenter tout et n'importe quoi pour résister, pour provoquer un coup d'Etat. Tout est bon à prendre pour dégager et de faire ses preuves à l'extérieur de cette bulle. C'en est presque devenu une vocation.

❝ Ramène ton cul, enfoiré d'bus! Je sais que tu m'attends, alors te fait pas prier! ❞ Il riait. Il éclatait de rire en public, sans honte ni restriction, peu importe si quelqu'un pouvait entendre son monologue. Et comme promis, pile à l'heure, à quatorze heure, celui qui devint la cause de ce chaos fit son apparition au loin, la vitesse de circulation n'ayant pas changé d'un poil.

Si il faut concéder la perte de sa propre vie et accepter la vérité, soit. Mais pas avant de s'être correctement affirmer et de symboliser la clôture du spectacle.  S'approchant vivement du bus, les bruits de pas camouflés sous les bruitages de klaxon, une main s'extirpe de la poche du baggy, s'élançant frénétiquement vers le véhicule, trop pressé d'atteindre ce fichu moyen de transport et de lui donner une bonne raclée, quand bien même cette acte n'est que dérisoire.

Un vaste contact établi entre la consistance du bus et la paume du jeûne, l'unique bruit qu'il entendit avant d'être plongé encore une fois dans l'inconscience fut un léger sifflement caressant ses oreilles, un son digne d'un reptile.

Un coup d’œil époussetait le périmètre, fortement éclairé sous la lumière du jour. Par déduction, ce n'est rien de comparable à une chambre d'hôpital. Et certainement pas sa maison non plus. Ah, ça y'est, la réponse n'est pas compliquée puisque c'est tout bêtement l'autoroute. Le sol est chaud, et l'air y est respirable, mais trop sec. Un manque d'hydratation? Non, peut-être que 'se réveiller de ce cauchemar' est trop abrupte, pour tout dire, le détail qui le préoccupait est la vision sereine de l'arène. Pas d’ambulanciers, ni d'autre voitures ou n'importe qui s'arrêtant afin d'inspecter cet endroit. Comme si rien n'est arrivé, toute cette mise en scène n'est que le fruit de son imagination. Il n'est pas devenu fou, tout de même? Cette éventualité s'assied quelque part dans un recoin de sa tête tandis qu'il se lève, doucement, vérifiant qu'aucune blessure n'est visible. Avant de déclarer une absurdité, il est préférable de dégager sans plus attendre.

Éloigné de tout regards indiscret, prenant une pause proche d'une fontaine établie dans une place publique où il fait bon vivre, un soupir se fit ressentir, écorché sous les halètements, les poumons se réhabituant à respirer l'oxygène frais mais anhydre. Avant de se remettre dans le bain et de recommencer la vie banale d'autrefois (Si cela reste encore possible.), il devait s'éclaircir les idées, de retrouver ses repères. Inutile de se questionner sur l'absence de sa présence, lui qui est resté des jours, des mois et années piégé dans un monde sans fin,  c'était un peu trop a accepter, aussi ludique que cela puisse paraître, étant fan d'action. Bref,une fois conscient de ses actes et plus vigilent, il se dissimule parmi les la population formant une foule bondée. Ils marchent de manière trop éparpillés et après ils s'étonnent d'entrer en collision avec n'importe qui, ce genre de remarque déplacé agaçait le jeune, plus petit mais hélas en proie d'être emporté malencontreusement vers une direction contraire. Marcher proprement, ça devrait être simple, non? Et non. Alors qu'il est à deux doigts de laisser éclater sa rage, d'expulser ce trop plein de colère, ses yeux clignèrent et anéantissait la couleur mielleuse de ses yeux. La magie opère, le courroux s'évanouit sous une douceur étrangère, un calme olympien surprenant le gamin qui était pourtant certain de la véracité de ses sentiments, lui qui déteste être trop proche de la populace. Au final, ses pensées renversés d'un revers de table,Akio commençait à paniquer et à se demander si les dégâts de "l'accident" n'aurait pas laissé des séquelles dans son cerveau, ou une partie de son corps. Hélas la douleur n'existait pas, du moins rien ne le faisait souffrir. Il se sentait lourd et oppressé mais d’extrêmement alarmant et susceptible de le faire paniquer réellement.

D'un pas titubant le jeune s'extirpe de la horde de passants, sa destination étant la vitrine d'un magasin. Une main époussetant la longue mèche jaunâtre, son front est à découvert, les mirettes rivés sur le reflet dessiné par la fenêtre transparent de la structure. Prenant quelque secondes pour se calmer, le regard se relève et fixe posément ledit reflet, les lèvres laissées bouche-bée se recourbe, les dents pinçant un morceau de peau à l'intérieur d'une joue. Rouge. Rouge comme une pomme, rouge comme le sang. La vue se détériore? Est-ce une illusion d'optique? Au moins, la seule chose d'encore certaine est que le choc est présent, surprenant et déconcertant.

Irises rouges se profilant discrètement, la frayeur d'être encore dupé lui joue encore des tours. N'a t'il pas des yeux d'une autre couleur, toute aussi étrange soit-t'elle? Un doigt s'aventurant sous une paupière, étirant celle-ci verticalement, l'adolescent observe incrédule la radicale altération, si il n'y croyait pas, jamais il ne se poserait autant de questions sans queue ni tête. De la magie? Ou en employant d'autre mots, un phénomène surnaturel? Ce qui explique qu'a moitié l'incident de tout t'a l'heure, sans véritablement éclaircir le mystère. Un mystère qu'il ne se souvient pas, il n'en garde aucun souvenir et c'est peut-être mieux ainsi. Des pupilles d'un vermeil déconcertant, des agissements suspects.. Tout concorde avec cette journée qu'est le 15 Août. Une journée apparemment banale en dehors du fait qu'un garçon se réveille au milieu d'une autoroute déserte, vidé de ses derniers souvenirs et mots.

Maintenant, le problème reste à découvrir comment il a survécu à une telle mésaventure, et pourquoi des événements inquiétant adviennent subséquemment à des réflexions sans véridique cohésion? C'est épouvantable de se retrouver vraiment seul, démuni d'indices au sujet de son périple. Une aventure insensée.

Chouette, ça me plaît de tout comprendre. ❞ Phrase dépourvue de sens et d'intention puisque rien n'a été prévu pour que sa langue délie un tel mensonge. Fermant un œil imprégné de mécontentement, plusieurs marmonnements échappèrent à son contrôle, une main recouvrant le vaste continent qu'est sa bouche. Merde, c'est quoi ce bordel? Depuis quand sa langue délie des mots courtois? Inquiétude est son échappatoire, passant le reste de la journée à se cloîtrer quelque part, évitant tout contact physique ou carrément se taire devant la bande de 'potes' l'entourant, d'habitude son caractère adapté pour être très loquace et expressif dans n'importe quelle circonstances. Aujourd'hui, c'est un peu optionnel, débiter des stupidités ne l'enchantait guère, il se terrait derrière un comportement silencieux.

Au cœur de Mekakucity, la théorie d'être la seule personne bizarre ne fit pas long feu. Peu après des exploits enchaînées et une réputation dépassant celle des idoles du moment, une organisation particulière le contact. L'Akame Dan. Il ne savait rien de ce groupe si ce n'est que les graffitis dessinés un peu partout sur les murs des ruelles. Mais le Leader de ce clan a été clair. Akio n'est pas le seul à avoir ce don, il n'est pas le seul à être catalogué de monstre. Envieux de connaître les raisons en rapport avec sa compétence et comment ses semblables réagissent à leur singularités, l'invitation est répondue par un oui, signant une place de choix dans un gang servant le mal. Une équipe opposée aux règles du Mekakushi Dan, une alliance entre les humains prêts à briser la paix dans Mekakucity. Désormais, l'Akame Dan ouvre ses portes à un nouveau allié décidant de mettre en pause son statut de leader et de se faire gouverner par un chef remplie d'ambitions, quelqu'un désireux de faire autre chose que de se planquer dans l'ombre. Et ça, c'est un point de vue qu'Akio partage.

Personnage(s) secondaire(s):

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