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 « Paralleli mundi porta apeuit, aeri potentia timetis. Pugna initiat ! »

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MessageSujet: « Paralleli mundi porta apeuit, aeri potentia timetis. Pugna initiat ! »   « Paralleli mundi porta apeuit, aeri potentia timetis. Pugna initiat ! » EmptySam 11 Oct - 20:43

aria wa chuunibyou desu.
nom ▬ Fujimiya
prénom ▬ Ayuka
sexe ▬ elle
surnomAria • Ayu
âge ▬ 14 ans
date de naissance ▬ 18 juillet
orientation sexuelle ▬ bisexuelle
groupe sanguin ▬ ab
occupation ▬ collégienne • chasseuse de démons
groupe ▬ sans-capacité
nom de la capacité ▬ o
cause de mort ▬ o

•••••••••

prénom/pseudo ▬ emilia • cristal-lullaby
âge ▬ bientôt quatorze wiii
sexe/genre ▬ mais genre tu m'demandes mon genre
comment as-tu connu le forum? ▬ c'est toi que je regarde, Vincent.
comment tu le trouves? ▬ très orange • momooo • euh je suis admin maintenant - je ne peux plus dire des mauvaises choses dessus
doubles comptes? ▬ norikawa kaori • hara emiko
faceclaim/avatar ▬ shichimiya satone de chuunibyou demo koi ga shitai
autre ▬ ici
Ayuka est une fille très sociable et énergique. Malgré son chuunibyou, elle arrive à se faire un nombre incroyable d'amis étant très joyeuse et différant surement des autres avec ce syndrome. En effet, à première vue elle a tout d'une collégienne normale ; ce n'est qu'à l'écoute qu'elle peut paraître étrange. Très bavarde, elle n'arrive pas à éviter le sujet de ses combats ou pouvoirs, mais cela la rend marrante, de ce que disent ses ami(e)s. Elle aime être entourée d'autres personnes et ne supporte que difficilement la solitude. Néanmoins, elle travaille individuellement et non pas en groupe – pour l'instant en tout cas. Elle sait être sérieuse, mais quand on évoque un quelconque combat, elle ne sait ni refuser, ni parler « normalement ». Lors de ces batailles, elle devient encore plus sûre d'elle-même et peut aller jusqu'à paraître ironique ou moqueuse. Elle semble accepter ses défaites, mais ceci n'est qu'une partie de sa façade extérieure qui cache sa sensibilité et désespoir. Elle essaye tant bien que mal de ne pas pleurer, surtout en public, ce qui n'est pas toujours évident. Elle apporte souvent son aide aux amis et donne d'habitude des bons conseils. Elle est aussi très affective envers les personnes à qui elle s'attache très fort. Tout ceci est considéré comme ses plus grands défauts quand il lui arrive de déprimer, ce qui se remarque très facilement. C'est clair qu'avoir son comportement naturel en étant de mauvaise humeur, ce n'est pas possible – du moins pour cette jeune fille. Elle ne se considère pas comme spécialement forte ou douée, mais montre le contraire – un moyen d'auto-protection peut-être ? Elle est tout de même assez douée pour cacher ses sentiments qu'elle ne souhaite pas montrer – la tristesse, la faiblesse, la jalousie, l'amour même – il est donc difficile de la mettre dans un état de dépression.

Incapable de rester en place, elle a besoin de courir et faire des nouvelles connaissances. Ayuka possède aussi une très bonne intuition et analyse presque toujours les situations dans lesquelles elle se trouve. Elle paraît facilement s'adapter aux nouveautés ce qui n'est pas vraiment le cas. Facilement gênée en remarquant qu'elle a mal agit, elle a le tic de se gratter la joue ou le nez. En vérité, elle déteste les rapports tendus ou l'ambiance tendue, ce qu'elle ne montre pas, à cause de « sa deuxième elle », Aria, l'ange combattant les démons et les méchantes sorcières. Sa personnalité de chuunibyou lui interdit de montrer ses faiblesses et est une personne forte aux grandes capacités.
149,5 cm ▲ 45 kg ▲ cheveux roses ▲ yeux verts ▲ ni trop pâle, ni trop bronzée ▲ parfums à la fraise habituellement ▲ cicatrice sur le cou ▲ bandage autour de la hanche ▲ porte des lunettes chez elle ▲ oreilles percées mais ne porte des bijoux qu'à des occasions exceptionnelles

Ses cheveux sont coiffés en couettes de eux côtés de la tête avant d'être attachés à l'élastique du haut de ces mêmes couettes pour former des boucles. Le matin, elle n'oublie pas de mettre ses lentilles – pas de couleur, pour préciser, transparentes – et met une écharpe même en été, ayant une cicatrice sur le cou. À part l'uniforme de son collège, elle porte souvent des robes ou jupes dans des couleurs qui varient de la journée, mais quasi-jamais sombres. L'exception est un assez ancien costume composé d'une blouse grise à manches longues, une cravate rose et jupe rouge foncé à dentelle tenue sur des brettelles d'une même couleur. Elle met souvent des chaussettes longues et ne se sépare pas de son sac en forme de chat – comme les décorations de ses élastiques d'ailleurs. Le dernier élément important à préciser est qu'elle colle un autocollant en forme de cœur sous son œil gauche – c'est pour elle le signe montrant qu'elle a une force surnaturelle.
Je regardais par la grande fenêtre à côté de moi et mon banc. La professeur expliquait encore des cas particuliers de la langue japonaise et sa voix résonnait dans toute la pièce. Si elle me verrait, en train de jouer avec mon crayon et de rêvasser, elle me collerait un moins trois à coup sûr. C'était elle, la prof' que notre classe craignait le plus, et cela non pas sans raison ! Mais aujourd'hui, ça n'avait pas d'importance. Tout ce qui importait était la date de ce jour. Un 25 mai, jour rempli de tristesse. Ça faisait deux ans, maintenant. Deux longues années d'une certaine solitude partielle. D'un côté, j'avais plein d'amis, mais une partie de mon cœur ne se réchauffait jamais à leur rencontre. Elle restait droite, gelée, scellée d'un cadenas dont la seule clef a été détruite. Je fermai mes yeux pour me rappeler de tous ces souvenirs qui hantaient mon esprit depuis le début. Ou la fin... difficile de le dire.

Tout a commencé un jour pluvieux, en primaire, j'avais à peine neuf ans. Il était l'heure de la récré, mais je suis retournée dans la classe, ayant oublié mon goûter. Je suis passée à côté de la porte de devant et j'entendis des bruits. Un cri aigu mais léger, des rires, quelque chose tomba par terre. J'ouvris la porte arrière et vis des garçons plus âgés entourant un de mes camarades de classe, Mahiro. C'était le plus intelligent de ma classe. Il portait des lunettes qui, souvent sales, cachaient ses yeux bruns et avait les meilleures notes, mais personne ne voulait lui parler. Ils disaient que « il n'en vaut pas la peine » et que lui parler est « une perte de temps ». Mes amies me répétaient que je ne devrai pas faire attention à lui car ça pourrait nous apporter des problèmes, alors, j'ai reculé. En voyant cela, les autres garçons se sont retournés vers Mahiro, ne faisant guère attention à moi. Le plus grand, Jun, le plus rebelle, l'attrapa par ses cheveux noirs et le souleva, acclamé par des rires pas très discrets de la part de ses compagnons. Je ne savais pas trop quoi faire, mais j'ai couru vers eux et ai poussé Jun avec toutes mes forces. Il ne tomba même pas, recula juste. Son regard haineux m'effrayait mais je restai devant Mahiro, essayant d'empêcher le plus âgé de s'en approcher.

    - Pousse-toi d'là, j'préfère ne pas taper les filles. – dit-il.
    - Pas question ! On ne tape pas les plus jeunes, c'est pas bien ! – ai-je crié, secouant ma tête et déployant mes bras, de façon à ''agrandir la barrière''.
    - Tché. Tu l'auras voulu.


Il avança d'un pas, tendant une main vers moi. Voulait-il me pousser ou m'attraper ? Je commençais à trembler de peur, mais ne bougeais pas. Un coup venait, son arrivée à moi n'était qu'une question d'une ou deux secondes. Je fermai mes yeux et mordis mes lèvres, baissant ma tête.

    - On touche pas aux filles !


On entendit tous une voix, et je sentis une autre présence, autre créateur de chaleur juste devant moi. J'ouvris mes yeux terrifiés et fixai le nouveau arrivé tenant le poignet de Jun. C'était Kazuya, âgé d'un an de plus que moi, et donc d'un an de moins que les agresseurs de Mahiro. Il avait une bonne réputation, notamment grâce à son talent dans le domaine sportif et son aide précieuse lors des événements de toute sorte. Jun essaya de le menacer, en vain, avant de laisser tomber et partir avec les autres. Je restai comme j'étais, émue, en quelque sorte. Le garçon se tourna vers moi et sourit. Il se présenta en me demandant si je vais bien, à quoi je répondis assez timidement qu'en effet et qu'il est arrivé juste au bon moment. Puis, je me rappelai de Mahiro et me tournai rapidement pour l'aider à se relever. Au même moment, la sonnerie retentit et Kazuya disparut aussi vite qu'il est venu.

Une fois rentrées en classe, mes amies m'ont entourée pour savoir pourquoi prendre des biscuits m'a pris autant de temps, mais je n'ai fait qu'inventer un mensonge, gardant pour moi tout ce qui s'est véritablement passé. C'était mieux comme ça, elles ne savaient pas que j'ai aidé un type comme Mahiro... et que j'ai été aidée par Kazuya.

Depuis cet incident, je l'observais. En cachette, bien sûr ! Certains pouvait croire à un stalkage mais ce n'était absolument pas ça ! Enfin... si, en quelque sorte. Mais je ne lui voulais aucun mal, je l'admirais juste. Je n'avais que neuf ans, je n'arrivais pas à comprendre ce qui était en train de m'arriver. Mais, plus tard, je m'en rendis compte. Que trop bien. Et que trop tard.

Tant bien que mal, je réussis à lui parler plus souvent. Je le rejoignais aux casiers, pendant la récréation, dans la rue ; dès que je pouvais, je venais bavarder. Mes amies n'y prêtèrent aucune attention, ce qui n'était pas pour me déplaire, à l'époque. Et, un jour, il utilisa le mot « amie » envers moi. C'était, évidemment !, le grand choc. J'étais à la fois contente et gênée. Après tout, lui ne considérait pas cela comme une chose extraordinaire, mais pour moi, c'en était une. Il sembla lire dans mes pensées car à ce moment, il rit.

Mais il rit différemment de son habitude. Ma mémoire ne me laissait pas oublier cet instant précieux, quand le temps s'est arrêté. Même maintenant, quand plusieurs années se sont écoulées depuis, je m'en souviens parfaitement. C'était un rire clair et heureux, sincère et chaud. Ses lèvres formèrent un grand sourire adorable et, avouons-le, craquant. Je crois bien qu'à cet instant, j'ai rougi. Était-ce car des étoiles brillantes l'entouraient ? Car je le voyais différemment de mon habitude ?

Les jours suivants quelque chose m'empêchait de lui parler. J'essayais de bavarder, mais je n'y arrivais pas, je bégayai, rougissais, tournais le regard, toute ma tête, avais envie de m'enfuir. J'ai fini par ne plus l'approcher, et même l'éviter. Il en sembla triste, inquiété. Je ne pouvais pas lui expliquer, cela faisait mal. Ce n'est qu'en parlant à mes amies de cet étrange phénomène que j'ai compris. J'étais amoureuse. D'un côté, ça me réjouissait énormément, mais, d'un autre, je ne souhaitais pas ressentir cela envers lui. C'était, après tout, mon ami. Mon cher et précieux ami... Il n'acceptera jamais mes sentiments s'ils sont pareils !

La peur me montait à la gorge, mais je savais que je ne devrai pas l'inquiéter tellement. Il fallait que je lui reparle. Et que je lui donne une excuse, une raison. Et je ne pouvais mentir. Pas à lui, il aurait tout de suite remarqué mon mensonge. J'étais en quelque sorte dans une impasse, je ne savais pas quoi faire...

    - Miss Fujimiya, arrêtez de rêvasser et répondez à la question !
    - Quoi ? Quoi ? A-Ah... – je me levai et souris d'une façon... étrange. – Pardonnez moi, mais j'étais en train de sauver l'humanité en combattant les monstres dans le monde parallèle, délaissant mon corps ici présent ! – j'entendis quelques rires.
    - Peu importe, venez au tableau corriger les fautes de ce texte.


Je me tus, avant d'avancer vers le tableau, commençant à rigoler, un peu inquiète.

    - J-Je suis trop occupée pour travailler sur des choses si peu importantes--...


La professeur, en colère, me renvoya à mon banc, accompagnée d'un long et haut bruit de rires. Je me grattai la tête, en m'asseyant à ma place et replongeant dans mes souvenirs, fixant le ciel bleu de mon regard. Deux années... Il y a deux ans et deux jours, tout, absolument tout a changé. Vie bouleversée. Rythme changé. Pleurs garantis.

Je lui ai demandé de m'attendre après les cours, que je voulais rentrer avec lui. Après la sonnerie, je fonçai vers les casiers pour m'assurer de sa présence. Il était là, souriant – alors qu'il pouvait déjà partir, finissant avant moi ce jour –, il m'attendait. Mon courage disparut en apercevant la joie de mon ami. Je serrai mon sac contre moi, baissai ma tête et avançai ver mon casier. Je changeai mes chaussures en saluant Kazuya et nous partîmes.

Il me parlait, je l'écoutais, essayant de calmer mon cœur battant. Il vit que ça n'allait pas, il a pris ma main et me regarda d'un air interrogatif. Je sautai en arrière, par réflexe, sentant mon cœur battre encore plus vite. Certainement toute rouge, je le fixai 'discrètement', ne savant pas trop par où commencer. Kazuya baissa le regard.

    - Pardon. – murmura-t-il.


Il semblait être vraiment... triste ? Déçu ? Non, ce ne sont pas les bons mots. Mais je sentis que je n'aurai pas du reculer. Je me rapprochai de suite, m'excusant à mon tour. Mais il sembla ne pas écouter.

    - Kazuya ? Hé, Kazuya !!


Il ne répondait pas. Il tomba par terre, m'effrayant par la même occasion. Je me baissai et le secouait par le épaules. Je criais son prénom, hystérique. Des passant se sont arrêtés autour de nous, sortant leurs téléphones portables. Je commençai à pleurer. Pourquoi ça nous arrivait maintenant ? Je n'arrêtais pas de l'appeller, même quand l'ambulance arriva et le prit. J'insistais pour aller avec eux et restai près du garçon. Je murmurais des choses incompréhensibles pour les autres. À cause des pleurs et de mon effrayamment je n'étais pas en mesure de dire quoi que ce soit. Les personnes présentes dans l'ambulance s'éloignèrent un peu de lui pendant un moment, il a ouvert les yeux et...

    - Pardon. – chuchota-t-il. – Je ne t'ai pas encore dit que je suis malade.
    - C-Comment ça ? Tu n'en avais pas l'air, et, et...
    - Excuse-moi... Je n'avais pas spécialement le temps de te le dire. Mais ça va aller... – il gémit de douleur, à ce moment de la phrase. Comment le croire dans ce cas ? – Mais je sortirai bientôt de l'hôpital et alors, tu me diras ton secret, d'accord ?


Il se força à sourire. Je me rappelle de a douleur qui se cachait dans son regard, de ses mots prononcés avec une difficulté évidente. Et je savais qu'il devinerait que je cache quelque chose. C'était bien le cas, il parlait de mon secret après tout. Dommage que je n'ai pas pu le lui dire...

On annonça sa mort deux jours après, à 16h36. Sa mère m’appela quatre minutes après pour tout me dire. Je me rappelle de notre chagrin, du désespoir régnant sur nous. Je ne venais plus à l'école. Je passais mon temps à pleurer dans ma chambre, je mangeais moins. Je préfère, d'ailleurs, ne pas me rappeler de cette période de ma vie, je slalomais entre quelques images de ces temps qui apparaissaient dans mon esprit. C'était là que je regardais le joli autocollant en forme de petit cœur rose qu'il m'a donné quelques minutes avant sa perte de conscience. C'était la seule chose qui me restait de lui, de mon premier – et seul – amour.

Mes parents comprenaient, mais ne pouvaient supporter très longtemps mes absences abondantes. Au début, ils voulaient essayer de me calmer en m’amenant chez des psychologues – je n'étais jamais d'accord et je ne sortais pas de ma chambre, fermée à clef de l'intérieur. Ce qui suivit était le changement d'école à la fin du trimestre. Alors que je m'étais plus ou moins calmée, je changeai de maison, d'environnement, d'amis, d'établissement. J'étais une fille avec des grands trous dans le programme scolaire, la tête toujours en bas, le regard attristé. Plusieurs vinrent me parler, mais personne ne resta longtemps, me jugeant peu intéressante.

Et un jour, je la vis, elle.

C'était une fille qui courait dehors pendant les pauses. Elle tenait un bâton magique et s'habillait d'une façon assez spéciale. Du cosplay sur son uniforme, on pouvait dire. Elle avait du bandage sur son index. Elle m'intriguait énormément, avec son comportement. Elle m'attirait. Je voulais lui parler – et je le fis, peu de temps après.

On discuta beaucoup. Elle se présenta en tant que la Gardienne des Portes des Mondes. Ça m'aurait fait rire, si je n'étais pas si déprimée. Elle m'expliqua son délire et, étrangement, je la compris, en quelque sorte. Elle me demanda des détails sur moi, et je sentais que les mots sortaient par eux mêmes de ma bouche. Elle sût absolument tout sur mon passé, même si je ne voulais rien raconter. Elle vit une boîte dans mes mains. Je lui expliquai que l'autocollant se trouvait dedans. Elle s'approcha de moi et posa sa main sur ma joue. Je me sentais gênée par ce geste, mais je ne bougeai pas. Elle semblait se concentrer sr quelque chose et, bientôt, elle m'annonça qu'elle sent un grand potentiel en moi.

Me posant beaucoup de questions, comme veux-tu qu'il revienne ?, elle m'expliqua qu'il existe un moyen de le rappeler à la vie. Elle me dit aussi que je possédais un pouvoir, un peu comme elle. J'avais une magie. La magie puissante de l'air.

C'est là qu'elle m'appela Aria. Aria, comme l'air en italien. Elle connaissait bien les langues latines – c'est aussi elle qui me donna plusieurs court de latin, cette langue morte que j'adore particulièrement. La gardienne des Portes des Mondes me dit que l'esprit de Kazuya se trouvait dans ce beau autocollant que je porte sous mon œil, depuis. On forma une équipe pour vaincre tout le mal de ce monde – et des mondes parallèles aussi – ce qui m'a permis d'en savoir plus sur les anges, les démons, mon pouvoir, les possesseurs des autres forces et sur la façon dont je pourrai récupérer Kazuya. C'étaient des années riches en loisirs, très joyeuses, quand je me liais d'amitié avec beaucoup de personnes. Certains m'évitaient, appelant mes pouvoirs un simple exemple de chuunibyou. Mais qu'est-ce qu'ils savaient de moi !

Depuis, j'ai du encore changer d'habitation. J'ai perdu contact avec la Gardienne des Portes des Mondes peu après, elle ne me parlait plus, ne répondait pas aux appels. Elle ne voulais plus de moi. Ni de ses pouvoirs, d'ailleurs. Elle me manquait, mais j'habitais Mekakucity à présent, une ville tout aussi intéressante et pleine de démons. Et ce qui importait le plus était de trouver les autres éléments...
code © perry sur apple-spring ▬ 2014


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