Te souviens-tu de cette journée assez chaude ? Non, tu ne veux pas t’en souvenir, tu t’es pourtant effacé toi-même depuis ce jour… C’est aussi simple qu’un claquement de doigts, c’est dommage, tu n’as pas d’histoire banal comme certain… Enfin, tu en avais eu une, mais hélas tu es tombé au mauvais endroit au mauvais moment… Pas de chance, c’est ainsi que ta vie t’a mené à ta fin, veux tu continuer cette partie ?
[Le nom est [censuré] nous allons dire que c'est Nana et le prénom est [censuré] nous allons dire c'est Seiko]
Notre héroïne digne d’un shojo est née dans une famille qui n’avait rien de bien spécial, pas de travail extravagant ou se vanter de richesse qui n’est pas possible pour cette famille. Pas de secret de famille beaucoup trop lourds à porter, c’était une simple famille en fait. La petite est née avec certaines difficultés, mais celle-ci a réussi à prendre la vie qu’on lui tendait. Seiko, c’est le prénom qui lui a été donné les premiers instants du commencement dans ce monde.
Il n’y a rien de particulier dans ces instants, grandissant avec le sourire aux lèvres, vivant au jour le jour comme beaucoup de gamin, disant vouloir être si ou ça, courant innocemment dans les rues poursuivit par ses parents… Il n’y a rien de bien transcendant dans cette vie de gamine.
Puis arrivé dans un lycée normal, la demoiselle se confronte aux difficultés de la vie, l’enfance était finie devant ce portail. Prenant une grande respiration, la femme franchis ce seuil qui la sépare de la petite fille qu’elle est. Bien qu’elle oublie vite et court après ses meilleurs amis en levant le bras comme une fille joyeuse de vivre. Bien sûr elle rencontra différentes personnes qui peuvent bien changer une vie, la peste que tous le admire alors qu’elle a rien dans la tête, Seiko ne comprenait pas bien pourquoi cette fille avait tant de succès. La meilleure amie qui est toujours là avec le sourire, le friendzone comme elle l’appelle, ou plutôt l’ami d’enfance toujours présent et attentionné… Ouais, la fille digne d’un scénario de Shojo. Y a même l’amour du Lycée, Seiko avait beaucoup de mal à parler correctement, faisant des phrase complètements illogiques et aussi stupide les unes que les autres. La retrouver déprimer la tête sur son casier était souvent normal, c’était que la demoiselle tentait désespérément de l’affronter comme elle dit !
Bien sûr c’était une fille qui gardait le sourire même si c’était les échecs qui la touchait. Son amour avait trouvé une autre fille, bien qu’elle n’en pleura pas, elle détourna juste le regard assez triste… C’est ainsi que cela ce fait quand même. Soupirant un peu, ce n’était pas juste certain dirait, mais on y peut rien. Elle resta optimiste ! Mais, pourtant la vie, commença à tourner devant Seiko. Ses parents semblaient commencer à se disputer, sa mère voulait évoluer dans sa carrière, quand à son père, il voulait rester plus posé qu’autre chose… En rentrant chez elle, c’était le même scénario, la mère qui disait qu’il serait beaucoup plus posé avec plus d’argent, et le père qui rétorque en disant que tout allait bien pour le moment… Mais elle garder le sourire quand même, c’est peut être une colère qui passera.
Mais hélas, cette colère passagère, se transforma en dispute encore plus longue que les autres. Seiko se bouchait les oreilles dans son coin en essayant d’oublier cette douleur dans son cœur, plus rien n’allait. Sa vie de famille commencer à s’effondrer, mais elle ne pouvait rien faire car elle n’était qu’une fille trop simple qui à des mots trop simple et qui ne trouve rien d’autre à faire que sourire…
« Pourquoi tu ne vas pas prier dans un temple [censuré]-chan ! »
Disait son ami d’enfance avec un sourire adorable, le sourire de la demoiselle se redessinait sur son visage. Se rendant dans un temple pour prier ensemble pour une quelconque raison pour lui. Seiko pensait très fort à ce que son problème se règle
*faites que la dispute entre papa et maman prend fin*
Jetant des pièces pour que son vœu soit réalisé, la demoiselle suivait son ami pour aller se détendre dans une salle de jeux vidéo, histoire de décompresser ! Mais, quand la femme revenait, c’est sur une autre scène qu’elle arriva. Pas de sourire, pas de joie… Juste un père qui avait une larme qui coulait… Quand elle approcha, la nouvelle arriva comme un fracas en pleine face de l’enfant qu’elle était un peu.
« Ta mère est morte dans un accident de voiture. »
La jeune fille qu’elle est, grossis ses yeux de façon à essayer de comprendre ce qui arrive. Elle ne reverra jamais sa mère, cette femme qui l’a porté, cette femme qui l’a toujours poussé pour aller de l’avant… Seiko reculer terrorisé, est-ce de sa faute ? Elle l’a tué ? Son vœu l’a tué ? Les larmes aux yeux, essayant de se persuader que c’était un rêve, mais hélas non, c’était bien la réalité.
Regardant une pierre vide de sentiment, un troue se faire recouvrir de terre avec une boite en bois… Seiko ne pouvait pas arrêter de pleurer encore et encore. Tout ce qu’elle voulait c’était que sa famille aille beaucoup mieux, mais hélas cela n’avait fait que la plomber encore plus qu’autre chose. Le sourire de Seiko s’effaça doucement de son visage, comme si le vent l’avait pris avec lui pour qu’il ne revienne plus jamais sur les lèvres de Nana. Pour des raisons financières, elle avait changé d’école. Fixant son carton qu’elle remplissait doucement, son ami la serre et lui dit de garder contact avec lui !
Seiko arriva dans une école inconnu c’était encore plus dur que l’autre, cette fois il n’y a personne pour l’aider, prendre les cours en plein milieux était trop dur… Résultat c’était en aide qu’elle a fini. Bien sûr, rentrer tard le soir ne la déranger pas du tout, au contraire si c’était pour mieux continuer dans la vie après autant faire de petit sacrifice !
Pourtant, c’était peut être la pire idée de sa vie que d’accepter cela. Rassemblant ses affaires, la demoiselle avance dans la rue, le soleil commence à nous montrer ses plus belles couleurs, pour se féliciter la demoiselle alla s’acheter une petite pâtisserie et une pour son père quand même, pour qu’il se sent mieux quand même. Mais alors, que la queue à la file d’attente était super long, donc la demoiselle après avoir saisit son achat partie en courant. Mais alors qu’elle pensait rentrer plus vite… Par un réflexe stupide, la demoiselle entend un bruit et se stop devant une rue un peu sombre mais on pouvait voir deux hommes avec un troisième en mauvaise posture.
« Alors t’as toujours pas le fric ?
-Je vous en supplie….
- Le délai est passé ! »
Il riait, mais alors que Seiko aller vite passer son chemin… Comme beaucoup trop curieuse, la femme fixait avec beaucoup d’intensité la scène, jusqu'à ce qu’un coup de feu retentit… Ils avaient tué l’homme qui suppliait pour sa vie. Nana gémit de stupeur, ce qui a fait retourner les hommes… Sur le coup elle partie en courant pour rentrer chez elle en fermant paniqué… Quand elle ouvrit le salon elle hurla de peur…
« Eh bah [censuré], tu avais oublié qu’on fête la promotion de ton père ? »
Plein de policier devant elle… Sur le coup, elle hésitait à tout dire, mais elle n’avait que vu rapidement les hommes, et ils ont du partir… Baissant la tête, son père lui caressait les cheveux pour la rassurer, pensant qu’elle avait un peu peur de rentrer chez eux aussi tard… Ce qui était faux.
Bien qu’elle pensa que sa vie allait un peu mieux, Seiko se sentait comme oppressée… Comme si on l’observait, la suivait… Elle voyait souvent des hommes en noirs devant l’école. La boule au ventre, elle évitait de rester trop seule, de peur qu’une personne de ce meurtre vienne… Aujourd’hui la femme doit rester pour les corvées de la classe. Prenant l’éponge pour nettoyer le tableau pour lui rendre sa noirceur.
Pourtant cette impression que tu ne devrais pas être ici se fait sentir dans ta tête… Puis, derrière elle, un drôle de bruit. La peur au ventre, Seiko se retournait doucement jusqu'à voir une silhouette toute vêtue de noire. De gros yeux se dessinaient sur son visage, si seulement la solitude ne la guettait pas. Par pure réflexe, ou simplement instinct de survit, la demoiselle jetait l’éponge sur l’homme et part en courant. Ce n’est peut être pas la meilleure idée du moment ? Peu importe, la lycéenne court jusqu'à perdre haleine. Les pas des deux personnes se confondaient, la femme sort de l’établissement. Fouillant dans sa poche pour appeler, mais comme pur hasard très cruel, son téléphone se trouve dans le bâtiment et non sur elle. Destin cruel ? Peu importe, elle courrait encore comme elle pouvait. La poursuite continue un bon moment, essayant de le semer dans n’importe quelles rues les plus étroites que jamais…. L’espoir de voir un policier ou même son père se faisait de plus en plus faible. D’un coup un autre homme apparait et lui frappa dans le ventre… La fin était là ? Oui, c’est la fin.
Seiko reprend conscience doucement attaché dans un bateau, il n’était pas partie… Ils allaient la noyer ?! Tremblante de peur, suppliant comme elle pouvait. Personne n’était là pour l’aider… Dommage, c’est la fin qui la touche, la femme pleurait de peur, ne voulant pas mourir… Trop de chose à vivre pour elle. Ce n’était qu’un hasard, un pas de chance… La chaleur était si lourde comme son cœur, tremblante, essayant de ramper pour vivre, c’était impossible pour elle d’aller plus loin. Puis des pas approchaient, ce n’était pas un sauveur bien au contraire. Mais, il n’était pas seul, deux hommes aux visages peu distinct, Seiko ne voulait pas mourir de cette façon… Ils parlaient en regardant la fille, puis d’un coup, peut être un pas de chance pour l’un d’eux. L’un d’entre eux frappe l’autre en souriant… C’est quoi le délire ? Il verse du liquide transparent sur le sol, c’est pourquoi ? Puis une Allumette, et le feu prenait vite. Elle faisait de gros yeux, suppliant de ne pas la laisser, mais il ne fait que la regarder avec un sourire avant de partir au loin, laissant le bateau dans le feu. Ses liens commençaient à se consumer, mais ça n’aidait pas beaucoup. L’homme se réveilla, bien sûr il s’en fichait de Seiko, sa vie l’importait plus qu’autre chose. La demoiselle bougeait les mains, les liens ne se défaisaient pas du tout. L’inconnu courrait partout, mais les flammes l’empêchent de sortir… Une explosion à lui, l’homme n’a surement pas survécut, la prisonnière roulait à cause du choc par chance elle était loin. Se retrouvant au sol, la tête tourné vers le ciel un peu sonné. Un bruit sourd au dessus d’elle et quand elle se rendit compte de ce qui lui arrivait dessus, elle n’eut pas le temps de réagir… Un container lui tomba sur la tête rapidement à cause de son poids et du fait qu'il était suspendu au dessus d'elle, ne laissant plus rien de celle-ci, à part un corps sans tête.
Elle n’a pas souffert, c’était direct. Mais, alors que ce cauchemar se terminait, Seiko rouvre les yeux dans la salle de classe. Drôle de rêve… La femme secouait la tête, et commence à nettoyer le tableau comme dit, travaillait par ce cauchemar impossible à se retirait de la tête… Elle entendu un bruit derrière elle, se retournant… C’est l’homme qui l’a capturé…..Faisant de gros yeux, c’est ainsi que ça recommença… Une boucle qui ne semblait pas vouloir se finir, morte encore une fois écrasé, une autre fois noyée, une autre fois dans l’explosion… Seiko n’en pouvait plus du tout. Fuir pour sauver sa vie, cette fois écrasé avec l’homme par un camion… Pourquoi cette souffrance ne pouvait pas seulement se terminer d’un coup ? Sans cesse, la femme se réveillait dans la classe même heure, même temps… Quand cela va se terminer? En fait peut être que c'était un retour après sauvegarde, peut être qu'elle doit réussir à fuir comme elle le fait souvent, fuir tout... Si seulement elle avait un moyen de s'évader de cette course poursuite, trouver un refuge, mais a chaque fois les portes ne s'ouvrait pas... Tout ce qu'il y avait c'était des écran qui la fixait comme s'ils se moquaient d'elle... Pourquoi ne peut elle pas fuir !
« J’en ai ASSEZ ! »
Dit-elle en courant pour fuir son kidnappeur, ce n’est pas encore le bon moment… Morte encore une fois. Seiko ne trouvait aucune idée pour mettre fin à une boucle, était-elle encore vivante ? C’est bien une question qu’elle se demandait encore… Cette fois, la revoilà en position attaché dans ce bateau quelque part… Le feu revient… Regardant l’homme évanouit, elle remarque le couteau qu’il porte et le saisit pour se couper les liens… Mais, la dernière fois, l’homme la vu et l’avait poussé dans l’explosion avec lui… Ce qui arrive peut être encore, l’homme se lève et la voit se libérer…. Il se jette sur elle…
« CA SUFFIT ! »
Énervée, la demoiselle saisit le couteau et poignarde l’homme en plein cœur dans toute la rage…. Voyant ce qu’elle venait de faire… La femme court, se jetant dans les flammes qui l’empêchent de fuir du bateau…Roulant avec une affreuse douleur au visage…. La femme perdit doucement connaissance en dehors du bateau…
Les yeux s’ouvrent doucement, un plafond blanc ? Où se-trouvait-elle ? S’asseyant plein de bandages aux visages… La demoiselle souffre… Une infirmière ? Dans un hôpital…. ? Saisissant la tenue d’une en lui serrant…
« C’est finis… ?»
Dit-elle d’une voix faible. L’infirmière a pris peur sur le coup, mais hoche mécaniquement de la tête comme pour la rassurer. Bien que la douleur au visage soit affreuse, la femme ne se sent pas bien. Après peut être une heure passé, ou même plus... Enfin, peu importe, un médecin approche la jeune femme. D’un ton professionnel, même si on sent bien que l’annonce ne semble pas facile à dire.
« Madame, lors de votre sauvetage, il y a eu un problème… Votre visage a totalement était brulé... Il va falloir vous le refaire, bien sûr les coûts risque d’être élevé, de plus nous cherchons qui vous êtes tout a brulé. »
Sur le coup, la femme avait peur pour son père… Déjà qu’elle n’était pas dans son hôpital habituel… Puis l’idée que les hommes en noirs reviennent la terrifiait beaucoup… Elle ne pouvait pas payer les frais d’hôpital, elle est seule devant la dureté de la vie. Tremblante et effrayé, encore une fois, c’est trop dur.
Sur le coup peut être pensait trop rapidement, la femme voulait mettre fin à ses jours… La main qui tremblait encore une fois, elle essaie de s’ouvrir les veines, peu importe la douleur, la demoiselle voulait que tout cela soit finit. Quand tout à coup une main se pose sur son poignet, elle était très grande, c’était une main d’un homme. Pensant que c’était le médecin ses yeux ce sont levé choqué de voir que ce n’était même pas une personne du service de l’hôpital… C’était une personne qu’elle n’a jamais vu pour dire. Il lui serrait le poignet très fortement, on croirait qu’il voulait juste lui casser.
« Non mais, tu te rends compte de la chance que t’a, et tu veux en mettre fin ? Tu es qu’une fille faible qui n’a même pas le droit de choisir comment tu dois mourir ! »
Sa voix était assez choquante comme violente… Sur le coup, toute notion de raison était quand même partie, après tout… Pourquoi il est là ? C’est qui ? Les questions normaux c’étaient enfuit de l’esprit de la fille d’un coup. Baissant juste la tête, lui faisant lâcher son membre blessé.
« Tu peux pas comprendre. »
Dit-elle d’un ton froid et rapide, ce n’est plus la Seiko qu’on a connu… Cette personne, elle l’a déjà vu dans les magazines, oui elle le connait en fait… C’est un Seiyu-chanteur très connu… Que faisait-il-la ? Peu importe en fait… C’est bien la seule visite qu’elle a dans cette chambre froide. Les médecins l’ont fait sortir, il c’était juste trompé de chambre pour aller voir un ami. Hasard stupide, tout était ridiculement stupide. Se retenant de pleurer comme une gamine, tous ce qu’elle voulait c’est savoir où aller. Les jours avançaient comme pour la narguer que son temps réduit. Puis revoilà ce type. Un sourire narquois sur le visage juste pour lui dire « tu n’es pas encore morte, c’est un miracle. » Sur le coup, elle voulait juste lui envoyer son bouquin en pleine face. C’est une personne énervante, qui pourtant le public adore… pourquoi ? C’est énervant, c’est rageant…. Serrant les draps, la sans visage voulait juste être toute seule… enfin c’est déjà le cas. Le pire c’est qu’il venait juste pour se moquer, mais pourquoi ?! Cela en était assez…
« Tu vas arrêter de venir me voir juste pour signifier mon erreur !
-Bah quoi c’est drôle ?
-NON ! TU crois qu’avec tes grands airs tu as droit à tout ! Tu ne peux rien comprendre !
-Ah ouais ?
-Arrête !
-Pourtant, je comprends cet état.
-….Et puis quoi encore…
-Cet état d’abandon, car on est seul sans rien, et toujours à se demander comment notre vie va finir, si on va pouvoir tenir demain, et si en fait la vie se fout de nous. Je l’ai connu idiote.
-…. Alors laisse-moi.
-C’est la même réaction, vouloir être seule pour pas vouloir avancer !
- LAISSE-MOI !
Il approcha encore plus d’elle… La femme voulait lui donner une claque, mais il lui saisit le bras et la tire de l’avant vers lui pour la tenir. Sur le coup, Seiko était choquée de ce qui vient de lui arriver quand même, c’est quoi le délire ? Clignant plusieurs fois des yeux, la femme se demandait ce qu’il fait…
« Au lieux de t’apitoyer sur ton sort, tend la main vers l’avant ! Ca te fera faire un pas ! Et puis continue de la tendre ! De façon à ce qu’on te remarque ! A ce moment là on te la saisira pour que tu ne tombe pas de l’avant ! Fais-toi remarquer de cette vie pourris aux lieux de te faire bouffer par cette c*nnasse! »
Faisant de gros yeux, elle voulait lui dire qu’il avait faux, qu’il était dans l’erreur totale… Se mordant douloureusement la lèvre… Les larmes coulaient et pleurait comme une enfant qui avait trouvé un réconfort auprès d’une personne de sa famille, ça coulait tout seul. Son cœur avait l’impression de s’essorer de toute la douleur de ce jour. Peut être que cette personne était juste un envoyé de dieu ? Peu importe ça faisait du bien…
Peu de temps après, son opération a était financier, on lui demande de dessiner son ancien visage… Seiko trop effrayé dessina un visage au hasard… Affirmant que c’était son ancien visage. Chirurgie douloureuse pendant quelques jours, le jour de sa libération, on enlève doucement les bandages qui couvrent son visage. Un mois qu’elle n’a plus vu ce visage sans bandage. De nouveau cheveux implanté un à un, une peau sans impureté… Ce visage bien inconnu était le sien. Clignant des yeux, un court instant elle vu des yeux rouge dans le miroir…C’était quoi ce délire ? Peut être que l’opération la fait encore délirer.
Quand elle sortie doucement de l’hôpital avec le peu d’affaires qu’elle avait, avant cela, la demoiselle devait écrire son nom sur la feuille, enfin le nom… Elle avait peur de l’écrire. D’un coup une main écrit à sa place.
« Elle s’appel Nana Seiko ! »
Un moment d’interrogation se dessina sur son visage, c’est quoi le délire ? Le revoilà lui ?! Reculant de peur la femme eu un instant de peur après tout c’est pas tout le temps qu’un homme apparait comme ça derrière elle, écrivant pour elle.
« Merci monsieur Nana.
-De rien !
-Mais tu fous quoi ici toi ?!
-Bah je suis venu chercher ma petite sœur ~ »
Petite…quoi ?! Seiko voulait reculer de peur, il lui saisit le bras et se fait emmener sur la moto de l’homme… En ce jour elle n’était plus [censuré] mais Nana Seiko, petite sœur de Nana Gintaro une personne qui est connu… Pourquoi ? Pourquoi cet homme a fait tous ça ? Le secret était comme bien tenue, chaque fois qu’elle lui demandé… il changeait de conversation. Boudant souvent à cause de cet idiot, la femme s’enfermait vite dans sa chambre, passant son temps sur son ordinateur ou devant sa télé. Pendant une bonne année, la femme ne faisait que ça, ne voulant pas sortir, ne trouvant rien à faire dans sa petite vie bien misérable. Leur premier noël était assez bizarre, déjà le sapin avait des têtes de mort sur les boules… Original, mais quand elle ouvra son paquet, elle trouva une gerbille dedans qui lui tendait une noisette….
« Que… ?
-J’ai trop kiffé comme elle tendait des noisettes à tout le monde ! Joyeux noël Seiko.
La femme la prend doucement, clignant plusieurs fois des yeux, jusqu'à lui trouver un nom. Gamix, cela sera son prénom. Bien que pourtant ce n’est pas très rechercher, la demoiselle était très contente de ce petit nom. Au fond elle voulait tout dire à Gintaro sur sa vraie vie, mais lui-même ne voulait pas le savoir… et aussi le don qu’elle a découvert en elle…. Tant de secret, en fait, dans cette pseudo famille pourtant uni on peut dire… de lourds secret lie cette famille, c’est étrange comme vie… Enfin peu importe… La vie sera comme ça et c’est tout. Tu veux tout recommencer ?