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 Once i was an idiot, but they were there; - Kazuhiro

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Fiche de Personnage
Cause de mort: poignardé à mort
Relations:
Capacité: Fragment Eyes

Osamu Kazuhiro

Osamu Kazuhiro


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MessageSujet: Once i was an idiot, but they were there; - Kazuhiro   Once i was an idiot, but they were there; - Kazuhiro EmptyVen 24 Avr - 19:55


Osamu Kazuhiro
feat. D-suke ㅡ Shuuen no Shiori

nom ▬ Osamu
prénom ▬ Kazuhiro
sexe ▬ homme
âge ▬ 17 ans
orientation sexuelle ▬ pansexuel
occupation ▬ travaille à mi-temps dans le restaurant de sa mère
groupe ▬ Solitaires
Fragment Eyes ▬ permet au possesseur de briser un objet en verre en le fixant une minute.
cause de mort ▬ poignardé à mort
taille ▬ 1m75
poids ▬ 56 kg
couleur des cheveux ▬ bleus
couleur d'yeux ▬ bleus
teint ▬ très pâle
particularités ▬  il aime beaucoup sa frange ▲ mais il voit pas grand-chose du coup▲ a peur de l’eau aussi▲ a souvent des coupures sur les mains ▲ il arrive à se couper en ouvrant un paquet de chips ▲ gaucher▲ flippe beaucoup quand on approche une main ou un objet près de son visage ▲ allergique à la pollution ▲ renifle souvent ▲ a toujours l'air ailleurs comme on voit pas la moitié de son visage ▲ parle lentement ▲ n’aime pas le contact avec le sable ▲ sinon il a des frissons de fou en fait ▲ il aime pas la chaleur aussi, parce que sinon il a vite les mains moites avec la transpiration ▲ très nul en orthographe, on peut l'appeler sans problème "Kazuzero le Roi des fautes d'ortho" frnaje tmtc





personnalité

Kazuhiro, c'est le genre de personne banale, qu'on peut voir à chaque coin de rue; c'est-à-dire qui n'a pas grand-chose qui sort de l'ordinaire, hormis cette frange qui le rend presque mystérieux. Il ne dégage rien, il est un peu vide. Mais c'est bien sûr la façade qu'il garde, pour n'attirer personne, et surtout car il ne sait pas faire autrement. Ce n’est pas la meilleure façon pour attirer les autres, mais le bleuté ne cherche pas non plus à ramener du monde autour de lui. Il a déjà quelques amis, de très bons amis, ce qui lui suffit amplement.
Kazuhiro, il est timide. Il connait que trop peu les relations sociales, alors il ne sait pas toujours quoi dire. Et il sait très bien que c'est embêtant de ne pas savoir réagir comme il le faudrait. C’est pour ça qu’il lui arrive souvent en cas de gêne d’utiliser une parade avec sa frange pour faire comme s’il s’était endormi. C’est intelligent comme technique, surtout qu’on l’apparente de ce fait à une machine en surchauffe. D’ailleurs, il est possessif. S’il voit l’un de ses quatre amis aller vers des inconnus, il fera en sorte de paraître désagréable comme il sait le faire: rester là en faisant du bruit et en tentant de placer des remarques désobligeantes, et ce sans se lasser, non non. Il sera content de continuer jusqu’à ce que l’intrus parte. Il ne veut pas qu’on touche à ses chers amis, comprenez-le.
Il est lent d'esprit, ce garçon. Il lui arrive de mettre deux minutes à comprendre une blague ou même un cours. Le pire étant que Kazuhiro a l'attitude physique qui va avec: il se mouvoit lentement, très lentement. On a l'impression qu'il vit au ralenti parfois. Si vous voulez le voir vivant, il faut lui parler de nourriture, car ce spécimen ne vit que pour la « malbouffe ». Ce qui est impressionnant, c’est qu’il n’est pas dégoûté par la nourriture, alors qu’il passe une bonne partie de son temps dans la cuisine du restaurant de sa mère. Ce n'est donc  pas rare de l'entendre cinq minutes après qu'une blague ait été dite, donc il ne faut pas s'inquiéter.
Kazuhiro est pessimiste. Il connait néanmoins beaucoup de moments de joie. Sauf qu'il est en réalité quelqu'un qui se rabaisse parfois, se sent coupable de tout, et abandonne très vite. Il est seul pour tout supporter, et il doit certainement évacuer le tout par son manque de confiance, sa tristesse perpétuelle. Mais il ne se plaint jamais, car il aurait peur d’ennuyer les autres, et surtout car il déteste inquiéter les autres. L’archétype parfait de la personne qui ne se sent pas forcément bien dans sa peau, et qui ne dit rien. Cela ne veut pourtant pas dire qu’il est un déprimé de la vie, non, il est quand même plus heureux que triste dans sa vie, surtout si il est en présence de personnes qu’il apprécie.
Comme il ne sait pas vraiment comment se comporter avec d'autres personnes, il ne connait pas vraiment la notion d'hypocrisie. Il sait que les autres se moquent de lui, mais Kazuhiro, il est franc. Il sait mentir, mais il ne se cache pas non plus de dire ce qu'il pense quand ça l'agace. Il fait ça pour éviter de s'énerver -ce qui est rare- pour rien. Car il lui arrive de s'enflammer pour des choses sans intérêt, et c'en devient ridicule, avec son ton monotone qui ne colle pas du tout à la situation.





histoire

Kazuhiro, ou la personne la plus banale du monde. Il n’a rien de spécial, en soi. Il est né dans une famille normale, une mère restauratrice, un père médecin. Il vit dans un petit quartier rempli de pavillons à Mekakucity. Un petit coin tranquille avec ce qu’il faut pas trop loin: l’école primaire, des commerces de proximité, et le restaurant de sa mère. Il fonctionne très bien ce restaurant, avec ses spécialités italiennes. Sa mère avait fait ce stage de presque un an en Italie, et en rentrant, elle a décidé d’ouvrir ce restaurant. Kazuhiro est devenu par la même occasion d’un fou de nourriture, et malgré la quantité incroyable de nourriture ingurgitée, il ne prenait pas plus de poids.
Enfin, le bleuté c’était un élève intelligent, mais très effacé. Du genre à savoir plein de trucs et parfois être le seul à savoir mais qui, pour rien au monde, ne dirait la réponse, sauf en chuchotant avec exaspération –puis les autres ayant entendu le répètent fort. Depuis petit, il est comme ça. En regardant tout le temps la chaîne de documentaires, il a amassé plein de connaissances plus ou moins utiles et comprises, mais il ne sait pas quoi en faire. Mais passons.
Solitaire, il passait ses récréations  seul, car c’était ennuyeux, ces jeux. Parfois il jouait à chat quand on lui demandait, mais il n’aimait pas trop courir partout. Et pour le goûter, sa mère lui faisait toujours quelques pâtisseries italiennes ou d’autres pays suivant l’humeur. En fait, il mangeait tout sauf de la nourriture japonaise, donc jamais de poisson, et c’est marrant parce que les japonais—
Ce jour-là, c’était des cannolis, des pâtisseries qu’il n’aimait pas trop, mais la faim prenait le dessus. Les yeux rivés sur la boîte, il n’arrivait cependant pas à se lancer. Manger quelque chose que l’on aime pas, c’est toujours un moment désagréable. Il voyait dans ces gâteaux la même chose que des ordures, étrangement. C’était pas appétissant, mais pas du tout. Il hésita même à ne rien avaler, jusqu’à ce qu’il comprenne qu’il était observé.  Trois personnes de son âge qui observaient la nourriture. Et Kazuhiro était perdu, ne sachant pas quoi dire ou faire. Le brun qui était là demanda ce qu’il mangeait avant de vouloir goûter.  Les deux filles avec lui firent de même, même si l’une des deux émit plus de réserve à vouloir en manger. « Ah bah je suis pas le seul au moins », il pensa. Mais trop faible pour refuser, il présenta la boîte et laissa les trois curieux prendre une pâtisserie. Il pourra toujours manger à sa faim chez lui.. D’ailleurs le garçon s’attendait à des réactions négatives comme il aurait fait si c’était lui qui découvrait. Mais celle qui avait peur de ne pas aimer trouva les cannolis plutôt bons, comme l’autre fille. Le garçon lui, trouvait ça bizarre. Donc c’était lui qui était comme lui! S’ils aimaient la nourriture italienne, alors il pourrait les emmener au restaurant de sa mère..-

_Venez ici après les cours, je vous emmènerai au restaurant de ma mère.

Il ferma ensuite sa boîte en soupirant avant de partir en courant. Il était trop gêné, le pauvre.
Et donc après la classe, il courut au point de rendez-vous, et ils étaient là. Il était content, mais il tenta de rester le plus stoïque possible, parce que bon, il ne les connaissait pas non plus, donc il fallait tempérer l’enthousiasme naissant. Il les guida donc à travers les rues de Mekakucity pour les emmener chez lui, où se trouvait l’emplacement du restaurant.  Tout avait été pensé chez lui, c’est-à-dire le restaurant au rez-de-chaussée et l’endroit à vivre se trouvait à l’étage supérieur. Par contre, il n’y avait pas vraiment de place du coup, il devait dormir sur le clic-clac dans le salon. Ça ne l’avait jamais gêné, il préférait que ses parents aient leur intimité après de dures journées de travail. Et au moins, il était plus proche du frigo pour grignoter en pleine nuit.
Il poussa la porte en verre et annonça qu’il rentrait, comme à l’habitude. Sa mère vint alors, surprise de le voir avec trois autres enfants. Et le regard de Kazuhiro à travers sa frange lui fit comprendre qu’il fallait de la nourriture, maintenant. Il est expressif quand ça parle de manger un morceau, et bien sûr sa génitrice le sait bien. Donc pendant qu’elle se hâtait de rapporter des choses sucrées, Kazuhiro invita ses « amis » à une table pour discuter en attendant. Puis en discutant, il apprit qu’ils étaient tous voisins, mais il n’avait jamais vraiment fait attention! Ça l’amusait de voir qu’eux non plus n’avaient pas réalisé avant. Et donc en mangeant, il a fait la connaissance d’Akaru, Arisa et Natsukage. Tous différents, même aussi jeunes, il les aimait déjà, et il se disait que finalement, avoir des amis c’est pas plus mal.

Ils étaient presque  inséparables depuis, Kazuhiro ne pouvait plus se passer de ses amis. C’était la première fois qu’il trouvait l’amitié cool, ils avaient tous un caractère différent, et c’était plus que plaisant. C’était impossible pour lui de retourner à la solitude, et il faisait presque en sorte de les amadouer en les emmenant souvent au restaurant de sa mère. Il était doué le bleuté, car ça devait certainement marcher pour qu’encore aujourd’hui il soit ami avec sa bande. Enfin, les quatre enfants se retrouvaient dans l’arbre du jardin de Natsukage, c’était devenu leur base presque secrète. Il était beau cet arbre, et Kazuhiro adorait jouer au chimpanzé dessus, et parfois imiter les paresseux, ce qui faisait qu’il se retrouvait souvent le visage rouge à force d’avoir le visage retourné. Mais il avait remarqué qu’Arisa avait beaucoup de mal à apprivoiser la chose. Et un certain jour, elle manqua de tomber. Héros qu’il était, il s’est précipité vers elle pour la réceptionner.. sur le dos, il la portait. Quelle adresse! Et comment dire qu’il se sentait assez génial, jusqu’à ce que le poids de la brune l’emporte en avant, le faisant s’écraser lamentablement sur le ventre. Le menton enfoncé dans le sol, il était quand même content de lui. « Ça aurait pu être pire, c’est mieux comme ça », oui, c’était le plus important, alors que le poids d’Arisa lui faisait si mal au dos qu’il ne pouvait presque plus respirer. Il toussa quelques fois pour tenter d’inspirer de l’air.

_Tu vas bien? J’espère que tu n’as rien de cassé..

Il jouait au héros, ça lui plaisait beaucoup, surtout pour Arisa. C’est peut-être ça qui a fait ce « déclic » qui l’a rendu si protecteur envers elle. Il était devenu une sorte d’ange gardien, mais il ne se considérait pas réellement comme un être divin. Non, il se voyait comme le grand-frère, et Arisa était la petite-sœur qu’il n’a jamais eu. Il aurait pu être vraiment flippant à jouer au stalker, mais il a préféré être la personne la plus insistante pour qu’elle lui dise tout. Kazuhiro n’était pas non plus doué pour régler les problèmes, ça non, mais il aimait cependant s’occuper de son bien-être. C’est donc ainsi qu’il a commencé à devenir le Kazuhiro d’aujourd’hui, grâce à Arisa et ses deux autres amis.

* * * * * * *

C’était littéralement un conte de fée, tout allait bien, il avait ses amis, jamais il n’avait le temps d’être réellement triste. Kazuhiro a aussi découvert sa passion pour la nourriture de fast-food en allant manger avec ses parents ailleurs un soir. C’était la révélation, après avoir mangé presque toute son existence de la nourriture italienne. Les hamburgers, c’était un régal, et au moins, il n’avait plus faim facilement. Et donc  depuis, son placard est rempli de chips et de soda, et il se trimbale avec trois paquets dans son sac. Et c’est aussi à partir de là qu’il s’est retrouvé avec plus de coupures sur les doigts comme nous avons là un garçon bien doué qui se coupe toujours en ne faisant rien.
Le bleuté parlait manga avec Akaru –qui aime les shoujos, il en a vu dans sa chambre alors qu’elle disait ne pas aimer ça, avec Natsukage c’était une belle amitié entre gars, comme on en voit souvent, mais Natsukage, il le voit comme « l’incarnation de la gentillesse », alors Kazuhiro ne manquait jamais de lui rendre la pareille avec des sourires super flippants par moments. Et il y a toujours Arisa. Il continuait sans se lasser à l’aider pour pas grand-chose. « Et de toute manière, elle n’arriverait certainement pas à le faire sans moi », il se le répétait. Il devait se rendre utile, toujours et encore, sinon il se sentait nul, comme le poids du groupe. Mais il voyait, il savait qu’elle pouvait très bien se débrouiller seule, et le garçon en devenait triste.

« Arisa est dans le coma. »

Un message qu’il a reçu et qui l’a détruit. Il s’amusait jusque-là, c’était un bel été et– Il avait arrêté de manger ses chips, il était figé. Inutile, complètement inutile le Kazuhiro. Il avait honte, il avait peur, il était détruit de l’intérieur, et il se réjouissait qu’on ne voit pas ses yeux qui traduisaient pourtant ce sentiment qu’il éprouvait avec intensité: l’horreur. Il était seul, il avait vu les dangers de très près, si ça peut arriver à Arisa, celle qui devait apprendre à se débrouiller seule, alors lui qui n’est rien à part une ombre difforme sur un sol cabossé, que va-t-il lui arriver? Et si c’était une malédiction sur le groupe? Il en serait la cause, puisqu’il ne sert à rien. Il s’en veut, il est triste, il est perdu ; et c’est précisément là que Kazuhiro est devenu un paranoïaque dépressif.

* * * * * * *

Kazuhiro était constamment craintif. Kazuhiro était seul, il ne voulait plus voir Natsukage et Akaru. Kazuhiro ne voulait pas leur faire du mal si il était la cause du malheur d’Arisa. Kazuhiro voyait ses notes baisser, il passait ses soirées devant la télé à ne rien faire, il faisait des insomnies trois à quatre fois par semaine, il dormait en cours. Il s’est même endormi soudainement sur sa feuille de test  de mathématiques. Il était envoyé souvent à l’infirmerie pour dormir. Forcément qu’il inquiétait les autres.

_Osamu, je m’inquiète assez à te voir ici souvent. As-tu des problèmes personnels? Je suis tenue au secret professionnel tu sais?
_Ah, ben vous savez… Non, rien. C’est un coup de fatigue, je crois que je suis un peu stressé avec tous les examens qui tombent..
_Je sais très bien que c’est faux, mais si tu as envie d’en parler, n’hésite pas!
_C’est ce que vous répétez tous, mais vous vous en foutez, j’ai bien compris depuis le temps. Et puis quoi, vous allez sortir Arisa du coma? Arrêtez de faire la figure gentille alors que vous savez vous-même que ça ne changera rien.  Ça me rend malade de voir les idiots qui croient ces hypocrites… Et ça finit comment après? En suicide! C’est bien efficace.. Et dites-moi, vous avez tué combien de personnes par votre incompétence? Je ne le dirais à personne.

Il était effrayant avec son air de psychopathe naissant, et ses cernes violacées qui étaient nettement dessinées. L’infirmière lui ordonna de s’éloigner, ce qu’il fit, reprenant ses esprits. Il a failli agresser une infirmière, il était vraiment à bout. Au lieu de retourner en cours, il devrait rester chez lui et dormir, et c’est certainement ce qu’il allait faire. Certes sa mère allait encore s’inquiéter, mais elle devrait avoir l’habitude depuis ce temps. Et honnêtement, Kazuhiro, il ne sait pas ce qu’il ferait si Arisa ne se réveillait jamais. En regardant le beau ciel d’après-midi d’un été approchant, il se demandait légitimement: « Est-ce que je devrais mourir si elle partait? ». Le soleil était trop fort pour qu’il puisse obtenir une quelconque réponse du ciel.

* * * 11/08 * * *

Il allait retourner chez lui encore, faible au possible, alors il passait par les couloirs, des couloirs propres et normaux. Mais l’ambiance était différente.  Le garcon sentait cette pointe de malsaineté, quelque chose n’allait pas. Et pour preuve, il entendant des cris venant de la classe 2-E, des cris étouffés, des halètements, des pleurs, ces bruits qui le répugne… Trop curieux, il s’arrêta devant la salle et écouta un moment les bruits venant de la porte. « Arrête..!! », « Pourquoi?! », « Ça fait mal, Uchiko..! ». Kazuhiro ouvrit lentement la porte et vit, dans un établissement scolaire.. un viol. Mais ce n’était pas la femme la victime, non non, c’était l’homme. Cette fille nommée Uchiko violait un garçon, et elle était visiblement plus âgée que les deux garçons. Il était fasciné, dégoûté. Il ferma cette porte lentement et repartit comme si de rien n’était. « Ah-ah, c’est merveilleux ».

* * * 13/08 * * *

_Donc vous auriez vu Komaeda Uchiko violer Chizuka Aro? Vous êtes sûr des noms et de vos accusations? C’est très grave.
_Oui j’ai vu et reconnu ces deux personnes.
_Très bien, je convoquerai mademoiselle Komaeda.

Kazuhiro parlait de l’inutilité du personnel scolaire, mais son premier réflexe fut d’en parler au proviseur. Ce n’était pas la meilleure idée qu’il ait eue. C’était même la pire.

* * * 15/08 * * *

Son téléphone vibre sur la table basse du salon, et à peine il ouvre ses yeux, il se fait éblouir par le soleil. Son portable affiche « 10:27 a.m » et un message d’un numéro non enregistré, mais pas inscrit inconnu. En tout cas, il est sûr d’une chose: il sèche les cours, et peut-être est-ce un message— c’est le week-end, ça ne peut pas être ça. Non, ses parents sont sortis en ville pour la journée, comme sa mère avait décidé de fermer pour quelques jours le restaurant. Il était seul pour la journée, et pourtant. Alors il lit le message:

« Je vais te faire regretter d’avoir vu et vécu »

Il n’avait pas vraiment peur, mais il se doutait bien que c’était la fille qu’il avait accusée. Mais est-ce que ça voudrait dire que le proviseur a fait une gaffe en disant que c’était sa plainte? Il n’aurait pas dû, il n’aurait pas dû… Le bleuté se lève et part boire un verre d’eau, prendre un petit-déjeuner normal pour oublier. Il prend un couteau, coupe une pomme en deux et s’érafle le pouce comme à l’habitude. « Bordel je saigne en plus… Bonne journée en perspective, comme toujours », et donc il se dirige vers la salle de bain pour trouver un pansement et de quoi désinfecter, car il est très prudent, le garçon. Il trouve après quelques minutes des pansements, mais trop petits, et apparemment, c’est tout ce qu’il reste. Il manquait plus qu’une autre merde et ce serait définitivement une mauvaise journée—
Quand il entend une vitre de la maison se briser dans un énorme fracas. Le bruit vient du salon? Kazuhiro se tire les cheveux, croyant que c’était une très mauvaise blague, qu’une journée pareille n’existait pas, c’était un rêve.. Il allait se faire un plaisir d’engueuler les mômes qui devaient encore jouer au foot devant la maison! Le bleuté retourne vers le salon pour d’abord constater les dégâts et se fige. Uchiko était là, entrée par la fenêtre.

_Pourquoi tu –
_Je suis venue faire ce que j’ai dit sur mon message, c’est pas logique? ~
_E-écoute, j’ai fait ce que je devais faire, mais imagine je me suis trompé…
_C’est bien dommage, mais tu as vu la vérité, et je ne veux pas tout foirer à cause de toi!
_Je peux écrire une lettre d’excuse, ok? Et fais ce que tu veux de moi –
_J’ai pas cassé une vitre juste pour une lettre d’excuse.. Ca serait très triste, tout ces préparatifs pour rien…
_Des quoi? Qu’est-ce que tu vas tenter?!

Kazuhiro recule, recule, alors qu’Uchiko avance et fait tomber le verre qui était toujours sur la table. Elle ramasse un gros morceau en faisant attention à ce qu’on ne voit pas sa culotte sous sa jupe courte, et avance encore, encore. « Elle va me tuer— Elle va— », il se répète inlassablement cette phrase dans l’espoir que son corps paralysé par la peur trouve la force de fuir, par n’importe quel moyen. Mais comment? Par où? Ce serait trop lent d’ouvrir la porte et de descendre… Mais enfin, ses jambes sont prêtes à bouger, alors il commence à courir à travers le salon pour rejoindre un placard.

_Attrape!

Elle envoie le morceau de verre dans son épaule. « C’est qu’elle est douée pour le lancer en plus.. ! », et la vue du sang l’arrête immédiatement. Il tente d’enlever ce morceau, mais il souffre dès qu’il touche l’objet. Et pendant ce temps, Uchiko était déjà là avec d’autres morceaux de verre dans les mains. A coup de pied elle renverse Kazuhiro et s’assoit sur lui.

_Eh, je sais que je devrais être rapide, mais j’ai envie de m’amuser. J’ai envie de te crever les yeux.
_N-Non.. !!
_Bah quoi? Tu as vu ta frange? Ils te servent à rien tes yeux si tu les cache..

Et elle enfonce violemment un morceau assez gros dans son œil gauche. Le hurlement que pousse Kazuhiro à ce moment-là est si fort qu’il sembla à Uchiko que les murs bougèrent très légèrement. Le garçon a l’œil qui brûle, il sent quelque chose de dégoutant qui coule sur son visage, il doit être laid, très laid, et il souffre. Elle ne laisse pas le temps au borgne de se remettre car elle réitère l’action avec l’œil droit. Même douleur intense, il ne peut plus pleurer, juste hurler à la mort. « Kazuhiro, tu dois appeler quelqu’un, n’importe qui— », alors même dans le noir complet, agonisant et certainement dans un état déplorable, il donne un coup de pied désespéré à Uchiko, et se met à ramper, tâtonnant chaque mur et manquant de se couper avec du verre qui trainait toujours sur le sol.

_Eh, tu fais quoi? En rampant tu ne peux pas faire grand-chose.

« C’est pas une personne humaine, elle est tarée!! », il cherche toujours, caressant l’espoir d’atteindre la table basse où se trouvait son portable. Elle le laissait ramper, et il atteignit finalement ce qu’il cherchait. Vite, il fallait un numéro— Il faut qu’il trouve l’interface d’appel à l’aveugle, et avec la peur qui le prend depuis une dizaine de minutes, il n’y arrivera jamais…

_Bon, ça suffit. Tu m’énerves, sale con.

Elle le pousse violemment, et il ne bouge plus, sonné. Puis encore une douleur, au ventre cette fois. Uchiko plante un objet plusieurs fois dans son ventre. Rapidement, elle le tua, puis fondu au noir.

* * * XX/08 * * *

Son téléphone vibre sur la table basse du salon, et à peine il ouvre ses yeux, il se fait éblouir par le soleil. Son portable affiche « 10:27 a.m » et un message d’un numéro non enregistré, mais pas inscrit inconnu. En tout cas, il est sûr d’une chose: il sèche les cours, et peut-être est-ce un message— c’est le week-end, ça ne peut pas être ça. Non, ses parents sont sortis en ville pour la journée, comme sa mère avait décidé de fermer pour quelques jours le restaurant. Il était seul pour la journée, et pourtant. Alors il lit le message:

« Je vais te faire regretter d’avoir vu et vécu »

« Je déteste cette impression de déjà-vu.. » , il n’avait pas vraiment peur, mais il se doutait bien que c’était la fille qu’il avait accusée. Mais est-ce que ça voudrait dire que le proviseur a fait une gaffe en disant que c’était sa plainte? Il n’aurait pas dû, il n’aurait pas dû… Le bleuté se lève et part boire un verre d’eau, prendre un petit-déjeuner normal pour oublier. Il prend un couteau, coupe une pomme en deux et s’érafle le pouce comme à l’habitude. « Bordel je saigne en plus… Bonne journée en perspective, comme toujours », et donc il se dirige vers la salle de bain pour trouver un pansement et de quoi désinfecter, car il est très prudent, le garçon. Il trouve après quelques minutes des pansements, mais trop petits, et apparemment, c’est tout ce qu’il reste. Il manquait plus qu’une autre merde et ce serait définitivement une mauvaise journée—
Quand il entend une vitre de la maison se briser dans un énorme fracas. Le bruit vient du salon? Kazuhiro se tire les cheveux, croyant que c’était une très mauvaise blague, qu’une journée pareille n’existait pas, c’était un rêve.. Il allait se faire un plaisir d’engueuler les mômes qui devaient encore jouer au foot devant la maison! Le bleuté retourne vers le salon pour d’abord constater les dégâts et se fige. Uchiko était là, entrée par la fenêtre.

_Pourquoi tu –
_Je suis venue faire ce que j’ai dit sur mon message, c’est pas logique? ~
_E-écoute, j’ai fait ce que je devais faire, mais imagine je me suis trompé…
_C’est bien dommage, mais tu as vu la vérité, et je ne veux pas tout foirer à cause de toi!
_Je peux écrire une lettre d’excuse, ok? Et fais ce que tu veux de moi –
_J’ai pas cassé une vitre juste pour une lettre d’excuse.. Ca serait très triste, tout ces préparatifs pour rien…
_Des quoi? Qu’est-ce que tu vas tenter?!

Kazuhiro recule, recule, alors qu’Uchiko avance et fait tomber le verre qui était toujours sur la table. Elle ramasse un gros morceau en faisant attention à ce qu’on ne voit pas sa culotte sous sa jupe courte, et avance encore, encore. « Elle va me tuer— Elle va— », il se répète inlassablement cette phrase dans l’espoir que son corps paralysé par la peur trouve la force de fuir, par n’importe quel moyen. Mais comment? Par où? Ce serait trop lent d’ouvrir la porte et de descendre… Mais enfin, ses jambes sont prêtes à bouger, alors il commence à courir à travers le salon pour rejoindre un placard.

_Attrape!

Elle envoie le morceau de verre dans son épaule. « C’est qu’elle est douée pour le lancer en plus.. ! », et la vue du sang l’arrête immédiatement. Il tente d’enlever ce morceau, mais il souffre dès qu’il touche l’objet. Et pendant ce temps, Uchiko était déjà là avec d’autres morceaux de verre dans les mains. A coup de pied elle renverse Kazuhiro et s’assoit sur lui.

_Eh, je sais que je devrais être rapide, mais j’ai envie de m’amuser. J’ai envie de te crever les yeux.
_N-Non.. !!
_Bah quoi? Tu as vu ta frange? Ils te servent à rien tes yeux si tu les cache..

Et elle enfonce violemment un morceau assez gros dans son œil gauche. Le hurlement que pousse Kazuhiro à ce moment-là est si fort qu’il sembla à Uchiko que les murs bougèrent très légèrement. Le garçon a l’œil qui brûle, il sent quelque chose de dégoutant qui coule sur son visage, il doit être laid, très laid, et il souffre. Elle ne laisse pas le temps au borgne de se remettre car elle réitère l’action avec l’œil droit. Même douleur intense, il ne peut plus pleurer, juste hurler à la mort. « Kazuhiro, tu dois appeler quelqu’un, n’importe qui— », alors même dans le noir complet, agonisant et certainement dans un état déplorable, il donne un coup de pied désespéré à Uchiko, et se met à ramper, tâtonnant chaque mur et manquant de se couper avec du verre qui trainait toujours sur le sol.

_Eh, tu fais quoi? En rampant tu ne peux pas faire grand-chose.

« C’est pas une personne humaine, elle est tarée!! », il cherche toujours, caressant l’espoir d’atteindre la table basse où se trouvait son portable. Elle le laissait ramper, et il atteignit finalement ce qu’il cherchait. Vite, il fallait un numéro— Il faut qu’il trouve l’interface d’appel à l’aveugle, et avec la peur qui le prend depuis une dizaine de minutes, il n’y arrivera jamais…

_Bon, ça suffit. Tu m’énerves, sale con.

Elle le pousse violemment, et il ne bouge plus, sonné.
« Et là, elle me tue. »
Puis encore une douleur, au ventre cette fois. Uchiko plante un objet plusieurs fois dans son ventre. Rapidement, elle le tua, puis fondu au noir.

* * * X̧̻̩̱̖̣̩̙̟X̧͚͈̹̘̩̩̱̕/҉͕̲͈̝̟͇͍0̤̠̖͙̻̮͠8͓͍̯͎̭̩͉* * *

Son téléphone vibre sur la table basse du salon, et à peine il ouvre ses yeux, il se fait éblouir par le soleil. Son portable affiche « 10:27 a.m » et un message d’un numéro non enregistré, mais pas inscrit inconnu. Combien de fois lui a-t-il semblé vivre ce cauchemar? La malédiction, c’est de vivre sa mort des milliers de fois? Kazuhiro cache son visage cerné avec ses mains. Y a-t-il un moyen de survivre? Arisa est toujours en vie, et lui ne fait que mourir, quel idiot, il ne sait rien faire sans elle. Il se ressaisit rapidement et accomplit le rituel matinal qu’il fait depuis presque cent fois. « Je bois, je me coupe…  Je vais dans la salle de bain, pas de pansements, et… » la fenêtre se brise. Kazuhiro est pris de tremblements mais inspire et expire calmement. Il devrait tenter de la tuer, même si c’est pire. Mais comment? Avec le couteau? C’est trop imprudent, et elle pourrait retourner l’arme contre lui. Non, il devrait la pousser dans le vide. Alors le bleuté prend un bocal qui contenait des cotons-tiges, les retire et se met à courir à travers la maison.

_Eh, par ici!!

La brune se tourne vers lui, surprise et il lui envoie le bocal dans le crâne. Elle hurle, et c’est le bon moment pour lui de la pousser. Il l’attrape par les vêtements, avant de la faire passer par-dessus la fenêtre. Un deuxième hurlement, puis le silence. Un silence qui finit en acouphène insupportable.

* * * * * * *

Depuis ce jour, Kazuhiro, il a peur. C’est le flou total concernant la mort d’Uchiko. Il s’était retrouvé en face de la police, sans réellement comprendre, et au final, cela avait fini en « accident après dispute ». De toute manière, il ne sait pas, il ne se souvient pas, alors il a accepté le fait qu’on ne l’envoie pas en prison – et la scène larmoyante qu’il a faite aux autorités a dû les mettre très mal-à-l’aise. Il pouvait quand même se vanter d'avoir un beau dossier dans son casier judiciaire; pour avoir un travail il se savait déjà foutu dans la vie. Néanmoins, il fait de son mieux pour se faire oublier, et il a été reconnu qu’Uchiko a bien violé Aro. Au final, c’était un mal pour un bien. Le concerné le remerciait mais il ne pouvait pas s'empêcher d'être gêné quand il le lui répétait.
Aussi, Kazuhiro rendait visite à Arisa, toujours dans le coma. Il pouvait donc rester quelques heures à regarder le sol— car s’il regardait par la fenêtre, celle-ci éclatait en mille morceaux! De même avec un verre ou tout ce qui y ressemble. Et c’était carrément flippant, ça oui. Du coup sa capacité à se blesser a augmenté  de cent pourcent, et il repartait dans une déprime causée par ces yeux rouges qui causent les destructions.

Puis un matin: « Arisa s’est réveillée »
Kazuhiro était rayonnant, heureux, renaissant. Il voulait lui parler, il voulait lui raconter ce qu’il avait vécu (sans dire non plus qu’il était triste, parce que c’est lui le gars). Le garçon était impatient comme jamais, il a hurlé à ses parents qu'elle était réveillée, il a dansé en se déplaçant... Mais il devait attendre, attendre qu’on s’occupe d’elle à sa place, alors, il prit son portable et commença à taper ce message à Akaru et Natsukage:

« Ça vous dit un rendez-vous au restaurant de ma mère? 16h. »

Kazuhiro, il est redevenu Kazuhiro grâce à ses amis. Il ne veut plus les quitter, plus jamais. « Au final, je n’aurai pas besoin de faire quoi que ce soit d’idiot, merci— », sauf qu'il est trop idiot et timide pour dire à Arisa ces pensées, surtout qu'elle ne comprendrait pas. Et puis quoi, son boulot c'est d'être le grand-frère, donc exprimer de telles choses, c'est pas dans ses tâches.


hors rp

VOILA JE REPOSTE MA FICHE AVEC LE CODE TOUT BEAU PARCE QUE VOILA IL PETE LA CLASSE ET J'AIME TROP KAZUZERO KEUR KEUR SUR LUI (EN PLUS Y AVAIT DES FAUTES SUR CETTE FICHE OUHLALA)  yuuki ono c'est sa voix, parce que diiskemen


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Once i was an idiot, but they were there; - Kazuhiro
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