Autres Comptes : Kitamura Rui Messages : 112 Date d'inscription : 29/08/2014 Couleur : #C5C6DC Fiche de PersonnageCause de mort: Suicide intra-familialRelations: Capacité: Vivacity Eyes | Sujet: killing is way too mainstream, fear is much better ∆ motoharu aoki | complete Ven 29 Aoû - 22:32 | |
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NOM • Motoharu PRÉNOM • Aoki ÂGE • 17 ans SEXE • ♂ ORIENTATION SEXUELLE • Homosexuel GROUPE SANGUIN • B DATE DE NAISSANCE • 25 août GROUPE • Akame Dan CAPACITÉ • Vivacity Eyes • Permet à son possesseur d'atteindre la vitesse de la lumière quand il se déplace pendant 5 minutes. Ce laps de temps dépassé si la capacité est utilisé en continu, son corps devient soudainement extrêmement faible. CAUSE DE MORT • Homicide volontaire
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► Extérieur;Aoki, Aoki, c'était un enfant sage et bien rangé, avant. C'était ce petit garçon que personne ne remarquait car il respectait un certain 'code vestimentaire' comme ses parents disaient. Mais il a bien changé le garçon souriant et tout commun. Malgré sa moindre croissance qui explique son mètre cinquante-trois, il dispose d’une force assez … élevée. Rien d’anormal, juste beaucoup d’entraînement à force d’escalader des murs, ou de courir sur des toits. Pourtant, ses muscles sont étrangement bien cachés sous un t-shirt et un sweat trop grand, ainsi qu’un pantalon qui a fini tout déchirer jusqu’aux genoux. Rien de bien extraordinaire, en somme. Il a même l’air un peu chétif comme ça. Généralement, personne ne le croit quand il dit avoir 17 ans. C’est vrai, il a la taille et le minois d’un gosse de treize ou quatorze ans. Même s’il peut avoir des expressions terrifiantes qui rappellent sans cesse que, non, il n’est pas un enfant. Il n’en est plus un, tout du moins. Ceci mis à part, parlons de ses yeux. Vu que c’est supeeeer important. Ou pas. Les siens sont d’une banalité consternante, noirs qui contrastent sur le gris clair selon la lumière, faisant ainsi ressortir l'éblouissement venant de ses cheveux entièrement blancs. Seulement, la plupart du temps, on en voit seulement un. Ouais, Aoki porte toujours, TOUJOURS un masque qui recouvre presque intégralement son visage, laissant visible son œil gauche. C’est ce qui lui a valu le surnom de « One-Eyed Monster ». Ceci dit, il ne le porte pas avec fierté.
Mais il y a bien un moment où il faut éviter de le mettre en colère. Ou pas, ça dépend vraiment de son humeur en fait. Bref. C’est quand il se craque l’index droit. C’est un tic incessant qui le prend. Quand il s’ennuie, quand il est en colère, quand il réfléchit, ou bien même quand il veut tuer quelqu’un. Rassurant n’est-ce pas. Il se trimballe sans cesse avec ses bombes de tags, aussi. Il ne s’en sépare jamais. Ni des bombes, ni de son masque. Vous lui en enlevez un pendant une journée entière, je préfère pas vous parler des conséquences.
► Intérieur;Ah, un dérangé. Quoique, un dérangé venant du Akame Dan, c’est tout à fait commun. Alors … Quelqu’un qui a l’air normal. Oui c’est ça. Sans son masque et ses yeux rouges, il a l’air d’un adolescent tout à fait normal. Personne ne voit qu’il est un peu dérangé. Oh, rien de bien méchant, son leader est bien pire que lui. Mais à côté d’un civil, il ne paraît pas normal. Déjà, on ne peut jamais déterminer ce à quoi il pense ou ses émotions à cause de son masque. Pourtant il est très impulsif et ses sentiments lui viennent comme ceux d’un enfant lorsqu’il voit quelque chose d’intéressant. Seulement son sourire n’a généralement rien d’un sourire innocent. Il est détraqué, complètement déformé. Son seul vrai sourire, il est avec eux. Le Akame Dan. Ça vous étonne ? Ha, je suis sûre que non. Après tout, il ne les déteste pas. Mais d’après son entourage, il ne montre ce sourire que très peu. Car il se sent inférieur, faible, presque inexistant quand il est là. Il. Haha. J’ai même pas besoin de dire qui c’est. … Bon, ok. Bankichi. Pour une raison toute simple et peut-être un peu stupide, même. Il l’aime. Enormément. Mais il ne dit rien. Reste dans son coin, dans l’ombre, sans contester. Et en plus d’être amoureux, il est assez jaloux de son bras droit. Une jalousie qui grandit de jour en jour mais qu’il prend bien soin de cacher. Un peu comme s’il portait un masque transparent sous le sien. Ou peut-être parce qu’il cherche à adapter son caractère selon la situation. Quand on lui demande d’être lui-même, il a tendance à regarder la personne d’un air un peu perdu, comme un enfant qui ne comprend pas de quoi elle parle. Pour Aoki, l’humain fonctionne en adaptant son caractère dans des situations données, quitte à mentir et faire déchanter les gens pour voir leurs têtes se décomposer, et se sentir un peu supérieur.
Aoki, c’est aussi un artiste. Il tague encore et toujours la même phrase dans les endroits les plus improbables de Mekakucity. Son but, c’est que ses graffitis se fassent remarquer. Il veut semer la peur et le doute chez les gens, mais sans forcément passer par l’intimidation direct en face-à-face. Car ses tags ont quelque chose d’inquiétant, de dérangeant, exactement comme lui. C’est comme si cet art était une représentation de son esprit. Stable mais pourtant dérangé. Oui, il est dérangé. Rien de bien grave, mais il lui arrive d’avoir des accès de violences qui le pousse à peindre avec le sang de ses victimes. Pourquoi ? Ah, si seulement il le savait. Le principe du Akame Dan est de foutre le bordel, alors il le fait. Au fond, tout au fond de lui, il a comme une soif de vengeance inconnue contre son père. Il ne sait plus d’où elle vient, mais elle est présente. Au final, peut-être est-il plus dérangé que l’on ne le dit. Un adolescent légèrement fou dans le corps d’un enfant qui paraît avoir 14 ans. Piéger les gens avec ça est quelque chose qui lui plaît, qui l’amuse, presque. Car oui, il sait s’amuser. Être coursé par les autorités est quelque chose d’amusant où il peut user de son eye ability à sa guise, comme un enfant.
En résumé, Aoki est un adolescent impulsif, créatif, contradictoire, trop amoureux et envieux des autres, qui se cache et ne sort de l’ombre que pour semer le doute et la peur, qui tue par frustration d’une vengeance qu’il ne parvient plus à identifier mais qui aime s’amuser des autres et avec les autres (sauf Bankichi ahem). « One-Eyed Monster », c’est à peu près justifié, non ?
► Derrière toi;Haha, à tous les coups, il a eu une enfance horrible vu comment il est. Genre ses parents l’ont détestés parce qu’ils voulaient une fille, il n’a jamais eu sa place dans la famille, ou bien ils le maltraitaient pour une raison. Eh bien vous êtes complètement à côté de la plaque.
A sa naissance, les parents d’Aoki étaient très heureux. C’était leur seul et unique fils, il n’en voulait pas un autre. Son enfance s’est passé merveilleusement bien. Son père travaillait mais rentrait assez tôt, et sa mère était toujours à ses côtés. Il n’avait pas de quoi se plaindre mis à part une chose. Sa mère était malade. Ca semblait si cliché, si … Pathétique. Mais il n’y pouvait rien. Elle avait le corps fragile et malgré ses sourires, Aoki était toujours inquiet. Son père était de plus en plus mal à cause du mal être de sa femme, mais ils gardaient tous deux espoirs à chaque fois.
Une fois admise à l’hôpital, ce fut le chamboulement. Aoki n’arrivait plus à travailler sérieusement et la relation avec son père devenait tendue. Un soir, en rentrant des cours, le brun ne s’attendait pas à voir son père, avachi sur le canapé, des bières jonchant le sol tout autour de lui. Il ne pouvait pas. Il ne voulait pas rester chez lui. N’ayant pas beaucoup d’amis, c’est son voisin dont il était particulièrement proche qui l’invita à passer la nuit chez lui. Mais plus Aoki passait de temps avec eux, plus il trouvait la vie absolument cruelle. Eux, ils étaient heureux. Ses parents étaient en bonne santé, il avait tout pour lui. Alors que le plus jeune voyait très peu sa mère et son père rentrait de plus en plus tard. Mais bon, ça commençait à devenir un quotidien presque normal pour lui. A force, il n’y faisait plus attention. C’est son voisin, Izaki, qui lui rappelait sans cesse que sa vie n’était pas normale. Si bien que le petit brun passait presque pour un fataliste aux yeux des autres. Son ami lui hurlait de se réveiller, de faire quelque chose, mais il ne voulait pas. L’équilibre de sa famille était bien trop fragile pour qu’il se rebelle en disant qu’il ne voulait pas d’une vie comme ça.
Il évolua donc presque seul à partir de la quatrième. Il ne voyait pas vraiment son père vu qu’il rentrait tard et passait le plus souvent possible à l’hôpital s’occuper de sa mère. Au fil du temps, il s’accrocha à Izaki. Même un peu trop. Mais il ne pouvait pas se l’avouer. Il ne voulait pas être rejeté, il avait peur de se retrouver tout seul, pour de bon. Alors il enterra ce sentiment au fond de son esprit et continua sa vie. Peu à peu, il développa une certaine passion pour les masques et se mit à fabriquer les siens, si bien qu’il en vendait certain à ses camarades de classe selon leurs demandes. Il passait ses journées à en faire avec son ami, qui riait en le voyant se piquer le doigt pour la vingt-sixième fois. Malheureusement, il s’en occupait tellement que ses notes commencèrent à en pâtir. Quand son père le sut, il ne se retint pas de lui rappeler qu’il faisait honte à sa mère et qu’il ne méritait pas tant d’attention. Mais le regard d’Aoki n’arrivait pas à faire face à celui brumeux de son père. Il se forçait à croire qu’il disait ça sous l’effet de l’alcool, qu’il ne le pensait pas vraiment. Il gardait un espoir.
Seulement, lors de sa dernière année de collège, toute la haine, la rage, la colère, la frustration qu’il avait cumulée explosa. Un garçon qui le trouvait particulièrement silencieux avait essayé de le faire réagir. Mais Aoki ne bronchait pas. Il en avait assez d’être le pantin malmené d’une vie pareille. Mais l’autre insistait.
« Alors quoi, tu veux pas bouger ? Ha, on dirait que t’es en deuil. Au fait, j’ai vu ton père dans un pub hier soir, je savais pas qu’il était du genre à se taper des pu- »
Il ne put finir sa phrase. Le brun lui avait décoché un crochet du droit si violent qu’on entendit un craquement. Et un nouveau. Craquement de l’index droit plutôt que la mâchoire. Il allait le frapper, le dévisager, s’acharner sur lui. Et il ne se fit pas prier. Les coups fusèrent de toute part alors que les gens autour n’osaient pas les arrêter. Trop de rage. Trop de rancœur enfermée à l’intérieur de ce corps. C’est Izaki qui prit soin de lui sans poser de questions, et le petit lui en fut reconnaissant. Mais il sentait encore ses poings trembler sous la colère. C’était invivable. Sa mère était de plus en plus mal en point et son père n’était que très peu lucide ses derniers temps. Ca le fit faire n’importe quoi. Il se battait souvent, s’était teint les cheveux en blanc par pure caprice et répondait aux professeurs de manière trop insolente.
Ce fut à la fin du mois de juillet que sa mère finit par quitter ce monde. Un couteau transperça sa poitrine. Puis deux. Puis trois. Puis vingt. Sa précieuse maman n’était plus en vie. Sa maman à lui. Le choc fut si grand que sa respiration en fut coupée pendant quelques secondes. Mais la réaction de son père ne vint que plus tard. Il s’était remis à travailler comme un acharné sans pour autant arrêter de boire. Mais il faisait de nouveau attention à lui. Il répétait sans cesse « Je t’aime mon fils. » en le serrant dans ses bras. Aoki n’était tellement plus habitué que la première fois, il fondit en larmes. Leur quotidien commençait à reprendre un cours normal mais son père parlait sans cesse à la photo sur l’autel de sa mère. C’en était presque effrayant. Et il y avait de quoi. Il en était devenu fou.
15 août Δ –
Aoki était heureux. Il rentrait du lycée, fier d’avoir gagné un peu d’argent de poche grâce à ses masques et d’avoir évité de taper sur quelqu’un. Mais à peine franchit-il la porte qu’il ne s’attendait pas à ça. Son père rassemblait toutes les affaires de sa mère dans une valise. Tous ses vêtements, bijoux, gâteaux préférés. Ce fut l’incompréhension totale. Mais l’homme savait apparemment ce qu’il faisait vu qu’il annonça d’une voix tordue et qui voulait paraître fière :
« Prépare-toi, on rejoint ta mère ! »
Ce fut le choc complet pour le garçon. Rejoindre ? Comment ça ? Qu’est-ce qu’il voulait dire ? Le plus jeune restait immobile devant la porte, son sac tombant à terre sous la stupeur. Il était effrayé. Le regard de son père n’était pas normal. Il avait sûrement bu, mais ses yeux n’étaient pas rouges. Il ne comprenait rien. L’homme plus âgé finit par le tirer dans la voiture et quitta la ville, valise dans le coffre. Au début, Aoki s’était dit qu’il allait voir de la famille à sa mère, mais la voiture s’engagea sur une route de montagne.
« P-papa, t’es sûre d’où tu vas … ? » « On va rejoindre ta mère et nous serons ensemble, ne t’en fais pas ! »
Des longs frissons parcoururent son corps. Ce n’était pas ce qu’il voulait entendre. Et son père semblait se rapprocher de plus en plus du bord de la route en ralentissant peu à peu. Et tout se passa en une fraction de secondes. Un coup de volant à gauche et la voiture bifurqua soudainement. La main de son père prit fermement la sienne alors qu’il souriait de manière démente. C’était la fin.
15 août Δ loop 1
… Un cauchemar. C’était horrible, ça lui avait presque donné la nausée. Oui, tout ça n’était qu’un mauvais rêve, n’est-ce pas ? Sa journée de cours se passa dans l’angoisse. Les mêmes personnes achetant les mêmes masques et la même bande venu lui chercher des ennuis qu’il à éviter. Pareil dès son arrivée chez lui. Les mêmes paroles, le même trajet en voiture … Le même accident.
15 août Δ loop 5
Toujours la même chose. Aoki n’osait pas défier le cours de la situation. Il pensait que toute la file temporelle de sa vie n’en soit endommagée. Et pourtant, un bête évènement arriva. Il avait prononcé quatre mots.
« … Ne fais pas ça. »
Son père s’était tourné vers lui et se mit à le secouer. Le garçon, impuissant, se contentait de le regarder avec horreur. Alors il le força à aller dans la voiture. Il était si en colère qu’il en oublia de verrouiller les portes, mais le plus jeune n’osait pas sauter en route. Alors la tragédie se répéta une nouvelle fois, le cri déchirant du jeune garçon perçant le silence de la montagne.
15 août Δ loop 78
Il allait devenir fou. Combien de fois revivait-il cette scène ? A force, il commençait à s’habituer à cette situation. Son côté fataliste ressortait une nouvelle fois, mais face à la mort. Mais cette fois, il revint des cours avec Izaki, qu’il était passé chercher après sa classe. Son père en fut d’abord surpris, mais se contenta de demander gentiment à Aoki d’entrer dans la voiture. Ce qu’il ne fit pas. Alors il le força, quitte à lui cogner la tête sur le bord de la porte pour le sonner. Izaki essayant de l’en empêcher, il en reçut un coup de genou dans le ventre avec qu’il ne fuit avec la voiture. Il fallait fuir. Vite. Vite. Plus vite. Va plus vite, réfléchis plus vite. Accrois ta vitesse, fais quelque chose, vite !! … Encore une tragédie.
15 août Δ loop 563
Stop. Il n’en pouvait plus. C’était à en devenir dingue. Il repassa une autre fois cette fameuse journée de cours, l’esprit complètement ailleurs. Mais une fois chez lui, il monta prendre un masque. Le masque dont il était le plus fier. Mais même s’il n’allait pas changer le cours du temps, il voulait le prendre, cette fois. Enervé, son père le jeta une nouvelle fois dans l’engin et commença à rouler jusqu’à cette fameuse route. Regardant par la fenêtre, il nota que l’emplacement des plantes étaient toujours le même depuis le premier jour. C’en était lassant. … Il fallait qu’il essaie. Aoki enfila son masque et prit le temps de noter que les portes de la voiture n’était pas verrouillées. Il voulait aller vite. Plus vite. Sortir vite avant que ça n’arrive une nouvelle fois. C’est quand son père se mit à ralentir avant de tourner violemment qu’il ouvrit la portière en donnant un coup de pied dedans, pour qu’il ait plus d’espace, et sauta brusquement hors de la voiture. Il était sain et sauf. Il était vivant. Puis le noir total.
Aoki ouvrit doucement les yeux et un horrible mal de tête suivit. Un hôpital. Et son père ? Bah, il en avait assez de lui. Il était fou et il ne pouvait plus rien faire pour lui. Le garçon fut donc gardé plusieurs jours en examen avant d’être enfin libéré. Mais une fois rentré chez lui, il n’y avait personne. Son masque était sur la table, mais aucune présence humaine. Un grand sourire naquit sur son visage. Il allait pouvoir faire ce qu’il voulait. Enfin. Il modifia légèrement son masque pour lui donner un aspect plus effrayant et enfila un sweat large et un pantalon complètement déchiré au niveau des genoux. Aoki n’allait pas se gêner pour faire n’importe quoi. Achetant des bombes de couleurs, il taguait sur tous les murs. Ce fut quand il était en danger qu’un évènement anormal surgit. Pendant cinq minutes, l’environnement autour de lui s’était arrêté. Il a donc fait le tour de la ville avant que le temps ne reprenne son cours. Mais les gens n’avaient rien remarqué à part une femme qui s’écria :
« Kyaaah ! M-mais comment t’as réussi à apparaître comme ça devant moi, abruti ?! »
Aoki refit donc plusieurs essais avant de voir la couleur de ses yeux à ce moment. Rouges. Comment ça rouges ? Ses yeux étaient noirs généralement. Mais même s’il ne comprenait pas vraiment, ça l’arrangeait. Il mit un bordel monstre dans Mekakucity, taguant chaque mur et façade de bâtiment, et même les panneaux publicitaires étaient remplis de graffitis. Ce que c’était drôle le vandalisme ! Il mentait aux gens pour mieux s’amuser après. Puis il les vit. Eux. Le Akame Dan. Des gens dont il avait beaucoup entendu parler. Et il l’avait remarqué. La première pensée du garçon fut « Oh, un groupe de méchants. C’est que dans les dessins animés ça. ». Mais non. Une proposition. Simple proposition et il fut l’un des leurs. Surtout qu’ils n’étaient pas si 'horribles', bien qu’il se soit involontairement épris de leur chef. Mais il préférait le garder pour lui, jusqu’à ce que ça s’ébruite. Aoki devint donc le tagueur de l’Akame Dan, tagguant partout dans la ville « Akame Dan targeting you » et prenant bien soin de ne laisser en vie que les personnes qui n’ont pas vu son visage.
Alors coucou, ici Rui (lul comme si vous aviez pas remarqué), donc je saute dans le bandwagon des DC parce que voilà. /paf Brefouille, à part répéter que soda-senpai est mon dieu et que ma faceclaim, c'est Shiro Kaneki de Tokyo Ghoul, je sais pas quoi dire, haha Ah si. Euh. YAOI. Voilà. uwu | |
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