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 Hyashiro Mitsuki -「100%」

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MessageSujet: Hyashiro Mitsuki -「100%」   Hyashiro Mitsuki -「100%」 EmptyLun 1 Sep - 17:52

ϟ Hyashiro Mitsuki


Hyashiro Mitsuki -「100%」 1407239868-capture
NOM • Hyashiro
PRÉNOM(S) • Mitsuki
ÂGE • 17
SEXE •
ORIENTATION SEXUELLE • Hétérosexuel
GROUPE SANGUIN • A
DATE DE NAISSANCE • 16 janvier
GROUPE • Solitaire
CAPACITÉ • Physical Eyes • Permet au possesseur de rendre sa conscience dix fois plus rapide pour une durée de 3 secondes.
CAUSE DE MORT • Accident de voiture

 

Intérieur;

Tu as changé plusieurs fois tes traits psychologiques. Tu es donc influençable. Mais il te faut des gros événements pour te faire influencer ça c'est. Ce n'est pas parce qu'un gars est foufou que tu seras foufou. C'est plutôt que ça dépend de ce qu'il se passe. Mais es-tu enfin fixé au jour d'aujourd'hui ? Encore aujourd'hui j'aurais du mal à te définir à cent pour cent à cause de tout ses changements. Un coup tu as la joie de vivre, un coup la tristesse, ce n'est pas logique. Enfin si un peu... Bon. On va commencer par tes traits quand tu étais encore un petit garçon.

Quand tu étais jeune, tu avais du mal à t'approcher des autres. Tu étais assez réservé, au départ très naïf mais depuis le coup qu'on t'avait fait tu as commencé à être douteux et même parano de certains actes ! C'était la première et dernière fois que tu rejoignais quelqu'un quelque part. Tu prenais beaucoup de distance avec les autres personnes depuis cet incident. C'est le premier événements de ta vie celui-ci. Car plus jeune encore, tu n'étais pas très bien reçu, mais tu aimais jouer, tu étais souriant, tu courais, tu sautais partout. Tu étais très joueur ! Mais tu as fini ta primaire sur un banc à observer les autres jouer. Tu connaissais la solitude et tu n'aimais pas vraiment ça mais tu faisais avec, tu avais du mal à faire confiance aux autres. Tu étais assez inexpressif et blasé par moment... C'était triste de te voir comme ça.

Ensuite tu as grandit et tu avais su pardonner ta trahison au bout de plusieurs années. Et tu as eu ton premier ami, puis ta première amie. Tes deux seuls amis. Vous étiez solidaires entre-vous. Et tu as encore une fois changé. Tu étais plus joyeux, plus sociable, tu réussissais à aller vers les autres personnes et à sympathiser avec, tu étais une personne très gentille en tout cas ! Tu méritais totalement ce que tu avais acquis. Par contre, tu étais devenu plus douteux et moins naïf. C'est logique que tu sois moins naïf si tu es douteux en même temps... à cette époque, tu étais aussi optimiste. Et tu étais devenu bavard, tu discutais de tout et rien. Tu étais aussi le petit rigolo qui amusait la galerie par moment... Tu as été courageux. Deux fois au collège. La première fois quand tu as sauvé ton ami c'était un acte de courage et la deuxième... quand tu l'as aussi sauvé mais de la noyade cette fois. Tu as été vraiment courageux pour lui. C'était comme un frère pour toi en même temps.

Entre vous deux c'était une très belle amitié. Il y avait aussi une sorte de compétition entre vous deux... vous étiez un peu bébête et imprudent à l'époque. Comme le ''qui mange le plus vite son bol de nouille'', ''qui arrive au collège en premier'', ''qui entre en classe le premier'' vous étiez des vrais compétiteurs mais que entre vous. Vous étiez des sortes de rival / meilleur ami. Je ne pourrais pas dire le mot rival vu que vous vous appréciez. Mais c'est une relation très amusante ! Vous faisiez aussi quelques bêtises ensembles mais c'est annexe ça, vous étiez humain quoi. Tu étais très blagueur toi à l'époque. Bon encore aujourd'hui il t'arrive de blaguer certains personnes. Certaines blagues de faisaient pas vraiment rire, où ça ne faisait que rire vous deux. Mais la plus part du temps ça amusait la galerie !

Ensuite il y a eu le décès de ta maman avant la rentrée au lycée, c'est là que tu es actuellement. Son décès t'as vraiment marqué pas vrai ? Déjà, tu as totalement peur des moyens de transport tel que les voitures, les camions, les bus. Par contre, les trains, les avions et les bateaux tu n'as pas peur, à savoir pourquoi mais tu es traumatisé. Tu ne peux rien y faire et tu vis avec. Tu vas au lycée à pied, tu pars un peu plus tôt car c'est à quelques minutes de chez toi. Ça te fait du sport toi qui n'en pratique même pas un petit peu ! Non, toi t'es pas sportif... c'est pas ton truc de faire quelconque sport. Tu es toujours autant sociable et sympathique. Tu ne voulais pas changer, tu aimais bien rire avec tout le monde, bien que tu fais moins de blagues qu'avant et tu es plus prudent depuis l’accident de la noyade et moins compétiteur. Ça t'arrive lorsqu'on te défie, mais ça en dévient plutôt rare !

Tu es toujours autant courageux et tu n'hésites pas à aider les personnes faibles quand tu les vois se faire racketter, se faire persécuter. Tu agis plutôt quand c'est un deux contre un, ou trois contre un. Grâce à ton pouvoir, tu es confient et tu sais que tu as plus de chance de les vaincre. Mais tu sais qu'il ne faut pas trop l'utiliser, sinon tu as un mal de tête et alors tu ne peux plus te battre. Tu sais te battre, mais grâce à ce pouvoir, tu es encore plus fort ! Ça te permet d'avoir confiance en toi, donc c'est bien mieux comme ça. Tu ne demandes pas de socialisation avec le protégé mais tu fais ça à ton pleins grès. C'est simplement car toi aussi ça t'es arrivé quelques fois de te faire frapper par des plus grands et tu étais sans défense, c'est juste que depuis ce jour tu veux protéger les plus faibles au plus forts. Sauf si le plus faible est en tord. Régulièrement ça se sent quand c'est un rackette. Si jamais le faible cherche, tu ne vas pas l'aider, ça serait trop facile. C'est bien pour ça que tu fais ça à ton pleins grès.

Tu es aussi une personne très patiente, tu l'as toujours été. Tu as été patient pour te faire des amis, au final tu en as des annexes et tu en as deux vrais amis. Solidarité, ne l'oublie pas. Tu es un peu plus rebelle qu'avant, tu as pris pas mal d'assurance, tu ne te laisses plus marcher sur les pieds bien entendu. Ton point faible reste les pensées de cet accident et la mort de ta maman. Quand on parle très mal de ta mère, tu t'énerves vraiment, tu deviens alors vulgaire, imprudent et insolent. Tu n'es pas très insolent à l'école. Tu restes calme et attentif, mais si quelqu'un t'énerve en pleine classe tu n'hésiteras pas à te lever et te battre avec s'il parle de ta mère. C'est vraiment ton plus gros poing faibles. Tu es aussi une personne franche et direct, tu n'hésiteras plus à dire ce que tu penses maintenant. Sauf si tu connais pas la personne bien sûr. Mais quand tu dois parler de quelque chose avec Sanae ou Tetsuya, tu n'hésites pas à dire ce qu'il va pas par exemple, sauf sur tes déprimes, tu ne leurs en a jamais parlés. Tu restes réservé à ce sujet.

On va finir sur tes coups de mous. Tes moments de déprimes. Aaaah ! Des passages chiants, tu n'avais envie de rien pendant ses passages. Tu veux juste qu'on te laisse seul dans ton quoi à rêvasser et rêver seul. Si quelqu'un à le malheurs de vouloir rester, tu risques de t'énerver rapidement mais en essayant de te calmer car ce n'est pas de sa faute, tu dois savoir contrôler tes émotions, tu ne veux plus jamais pleurer devant quelqu'un. Je suis sûr que ça arrivera un jour, mais les déprimes sont dut à la mort de ta maman, il n'y a que ça qui a pu vraiment t'affecter. Tu n'oses pas vraiment aller sur la tombe de ta mère, tu pleurerais comme un pleurnichard. Ce n'est pas ton genre de pleurer en même temps. Puis tu t'es juré de ne plus pleurer devant ta mère. Donc tu ne dois pas pleurer devant sa tombe... si tu y vas un jour. Je suis sûr qu'elle voudrait que tu sois heureux... que tu sois toi même. Mais la vie n'en n'a pas décidé ainsi. Vas-tu garder ses traits de caractère ou re-changer encore une fois~?
Extérieur;

► 1m70
►62kilos
►Blonds
►Jaune orangés
►Beige
►Portes souvent des bijoux style "gothique"
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Anonymous

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Hyashiro Mitsuki -「100%」 Empty
MessageSujet: Re: Hyashiro Mitsuki -「100%」   Hyashiro Mitsuki -「100%」 EmptyLun 1 Sep - 17:56

Derrière toi;

Tu es né il y a actuellement 17 ans. Et oui, dix-sept années sont déjà passées. Tu trouves que ça passe vite pas vrai ? Mais tu as eu un passé plus ou moins difficile. Et si on se remémorait ça ? Une dernière fois.

Tout à commencé il y a dix-sept ans ans et quelques mois. Oui, c'est de ça que je voulais parler. Ta naissance. C'est exactement par là que je voulais commencer. Ta mère t'as eu un soir. Elle n'avait pas d'idée de prénom... elle devait clairement improviser. Alors que toi, tu étais encore dans son ventre. Elle regardait par la fenêtre de sa chambre et elle avait dit que la lune était belle ce soir. Elle voulait que tu sortes ce soir là. Et son "vœu" s'est exaucé vu que tu es né exactement le soir de cette fameuse belle lune. Mais où était ton père ? Inconnu au bataillon pour le moment, c'était qu'un simple coup d'un soir, pas bien important. Puis tu étais là. Tu étais enfin sortie, elle avait eu du mal, tu étais son premier enfant ! Et elle était assez jeune, elle avait vingt-et-un ans à cette époque. Assez inconsciente, c'est totalement fou d'avoir un enfant à vingt-et-un ans, sans "papa", sans argent et sans domicile personnel, mais ta mère ne voulait pas te lâcher, tu étais son précieux, son trésors, son bien, tu étais tout ce qu'elle avait. La seule chose qu'elle avait à chérir. Elle t'aimait plus que tout au monde, plus que n'importe qui, ça c'est sûr. Tu es alors né et quant il fut l'heure du prénom, elle se souvenait de cette belle lune qu'elle avait vu. Elle ne savait pas si ce prénom était trop efféminé ou pas, mais c'était mixte. Alors elle t'a appelé "Mitsuki" qui veut dire "Belle lune" pour remémorer ce jour à chaque fois qu'elle te verra ou qu'elle t’appellera. Le plus beau jour de sa vie.

À cette époque, ta mère vivant chez ses parents. Elle était encore étudiante à l'université mais a dû faire une pause de l'année scolaire pour t'avoir bien sûr. Il lui restait encore une année à faire. Mais elle comptait confier ta garde à ses parents le jour ou pendant qu'elle était à l'école. Tes grands-parents... Ils n'étaient pas dur et ils avaient de l'argent en poche, beaucoup d'argent même. C'est peut-être bien pour ça qu'ils gardaient leur fille. Mais elle faisait ses études, il ne fallait pas lui en vouloir non plus ! Ce qu'elle comptait reprendre rapidement malgré sa joie de t'avoir. La vie est dure et ta maman n'était pas très présente durant deux-trois années à cause de sa scolarité. Mais dès qu'elle avait du temps devant elle, elle s'occupait de toi, bref. N'allons pas trop vite. Tu étais donc enfin là. Tu étais dans sa bras elle était essoufflée de t'avoir sortie, comme toutes les femmes pratiquement. Mais quelques heures ont passées et elle pouvait te reprendre dans ses bras. C'est beau, ce moment était beau. Il faisait nuit, alors tes grands-parents dormaient. Ils l'ont appris le lendemain quand vous êtes tout les deux rentrées à la maison. Tu n'étais pas vraiment pleurnichard au début, tu te contentais d'observer les lieux de la vie. Tu la trouvais belle la vie hein ? À cet âge... bien sûr.

Les jours passaient, ta mère avait du arrêter sa scolarité mais elle comptait en reprendre une dès la prochaine année scolaire et continuer ses études. Elle avait perdu ses amies mais elle s'en fichait, elle t'avait toi. Tu étais bien plus important à ses yeux. Tu pleurais régulièrement, tu étais un bébé quoi. Son bébé, son bien, ce qu'elle ne partagera pas. Ta mère avait tenté d'avertir ton père mais il ne t'a pas reconnu. Il ne voulait pas être papa à cet âge, il n'aimait pas ta mère en plus, c'était juste son coup du soir quoi. Ton père était un vrai connard. Tu comprenais pas, tu n'avais qu'un mois et quelques jours. Mais on ne va pas s'attarder sur le début de ta vie, tu as rien fait de spécial, tu étais comme les autres bébés. Tes premiers mots, tes premiers pas, tes premiers cacas au pot, et tout ça !

Les années passaient et tout était bien, ta mère avait fini ses études et tu avais trois ans. Elle cherchait un travail mais elle t'avait inscrit à la maternelle. Oh tu ne t'en souviens pas mais c'est de là qu'a commencer ton complexe de pas avoir de papa. Ta mère avait trouvée un petit travail avant que tu ne débutes l'école, tu étais un peu timide à l'époque, tu étais petit, sans défense, sans papa. Tu jouais avec les autres enfants et ils ne savaient rien de ta vie, c'est logique. Quand il parlait de leurs super papas pompier, policier, tu les enviais tellement, tu voulais aussi avoir ton héros. Ta mère tu l'aimais plus que tout aussi. Mais avoir un père était important à tes yeux, c'est comme lui le héros à tes yeux, le héros de la maison. Mais malheureusement pour toi ce n'était pas comme ça. À chaque fois que tu sortais de l'école, tu étais le dernier à attendre ta mère, elle était souvent en retard à cause de son travail, alors tu voyais tout les papas et mamans attendre leurs enfants, les petits foncés vers leurs parents ou plutôt leurs papas tout en leurs sautant dans les bras de leurs pères. Un jour tu avais craqué puis pleuré. Ta mère était arrivée au même moment, tu ne voulais pas qu'elle voit ça. Tu n'étais pas encore au courant pour ton papa et comment dire ça à un enfant. C'est dur d'expliquer. Ta mère était donc arrivée, tu avais juste la petite larme et elle était si triste, elle se sentait coupable de ne pas pouvoir être disponible à la fin de l'école alors que le problème ne venait pas de là.

« Pourquoi tu pleures mon chérie ? » dit-elle d'un regard triste en te prenant dans ses bras.
« Maman... Pourquoi je n'ai pas de papa moi ? » dis-tu, en chuchotant dans ses bras et d'une voix assez triste et basse.

Ta mère ne t'avais pas réellement répondu elle t'avait simplement dis que maman était là et qu'il ne fallait pas pleurer. Triste passage à la maternelle. Et toi tu continuais d'envier les papas des autres, mais tu arrêtais de pleurer devant ta maman, tu ne voulais pas qu'elle te voit triste. On ne choisit pas sa famille malheureusement, alors si tu n'as pas de papa, ce n'est pas de ta faute.

La maternelle était terminée, tu avais grandit, tu entrais à l'école primaire ! Ta maman ne te voyait plus grandir, ta première année à la première fut la plus dur pour elle, là c'était la vraie école. Mais ça a aussi été dur pour toi. Ça n'a pas eu une année facile, sûrement une des plus dures années vécus. Mais ça c'est à toi d'en juger. Pas moi.

Pourquoi une année dure ? Déjà, tu entrais dans une école primaire où tu connaissais sûrement personne. Tu n'avais pas eu de chance sur le coup. Seul... encore une fois. Car en maternelle tu jouais parfois avec les autres enfants. Mais ils ne te considéraient pas comme leurs amis. Tu n'étais pas l'un des leurs. Toi, tu jouais avec n'importe qui à cet âge, tant que tu jouais ! Tu aimais bien rire et t'amuser, on sentait la joie de vivre dans ton visage, tu aimais la vie quand même, elle était un peu trop dure à ton goût, c'est parfaitement vrai. Donc, expliquons donc cette année plus ou moins dure. Dès les premiers jours de classe tout se passait bien, tu n'étais pas le garçons le plus intelligent mais tu avais de bons résultats. Assez pour combler tes parents et tes grands parents. Tiens, en parlant d'eux, ils n'ont pas véritablement agit en maternelle, c'est plutôt là que ton grand-père va contredire ta maman, mais passons pour le moment. Les premiers jours tu t'y plaisaient bien ! Tu ne râlais pas pour y aller ou autre cas. Mais arrivé en milieu d'année, tout à basculé.

Tu n'avais pas vraiment d'ami, tu avais du mal à t'intégrer et les fameux groupes d'amis étaient tous formés. Tu étais seul toi. Les autres ne s'approchaient de toi et bizarrement à l'école il y a toujours un groupe de petit rebelle qui agit secrètement et aussi il y a toujours un soumis, ah bah c'était fait. Tu étais faible, une bonne proie. Et ta maman te passait parfois quelques yens pour te payer des bonbons. Un des ''rebelles'' s'approchaient de toi régulièrement quand tu avais des bonbons. Une après midi, il t'avait invité au parc. Tu sentais qu'il était rebelle simplement car il suivait les autres, après cette invitation tu ne savais pas si c'était ton ami. Tu comptais lui demander pas vrai? Ta maman était au courant et elle t'avait accompagné au parc puis elle est partie, elle avait fait quelques cookies dans un sachet. Tu attendais impatiemment ton ''ami'' et il s'était ramené avec toute sa bande, tu étais seul, ils étaient cinq. Ils formèrent un rond autour de toi. Lui ne te regardait pas dans les yeux, il n'osait peut-être plus après avoir trahit ta confiance ?

Dans les groupes, il y a toujours le meneur, lui que tout le monde respecte, lui qui a tout le monde a ses pieds, lui qui guide les autres et se meneur était aussi et souvent celui qui agissait en premier. Ce jour là, il s'était approché de toi en t'arrachant les cookies, les précieux cookies que t'avait fait ta maman.

« Ils sont à moi ! » dis-tu en essayant de rattraper le paquet qui t'a été arracher des mains.
« À toi ? Tu fais pitié. Ils sont à moi maintenant » dit-il.

Ce n'est pas comme ça qu'on est censé être traité, la vie est injuste, entourer une personne seul. Un contre cinq, ils allaient te frapper? Tu t'en fichais, mais ses cookies ont été fait par ta maman qui pensait que tu avais un ami.

« Rend moi ça j'ai dit ! » te rebellais-tu.
« Que ce que tu vas faire ? Me frapper ? Regarder comme c'est mignon !~ » il te donnait une bonne idée pas vrai ?

Tu lui envois directement un coup de poing et l'insultant « Kisama ! » et il a reçu le poing directement dans l’œil. Mais tu n'as rien pu faire d'autre, ils étaient plus vieux que toi, bien sûr tu lui as fait mal, il a eu un coquard à l’œil mais trois autres types avaient répliqués et t'ont directement sauté dessus. Ils ne savent pas se battre seul, ce n'est pas toi le faible, c'est eux. L'autre était à terre et il s'était relevé énervé, toi tu étais aussi à terre, tenu par trois gars. Dire que ces gars rentrent l'année prochaine au collège, ils sont nazes. Enfin pas tous. Ton pseudo-ami n'y allait pas, il était dans ta classe. Tu ne savais pas encore que son frère était le fameux chef de bande. Tu allais l'apprendre après. Mais ce n'est pas réellement important. Il s'était relevé et t'a frappé au visage. En t'insultant aussi. Il ne savait pas se battre seul, lâche, lâche, lâche. Tu ne mérites pas de vivre. Et toi tu ne pouvais qu'encaisser les coups vu qu'ils tenaient tout le corps. Une fois qu'il remarqua que tu saignais du nez, il s'est arrêté. Ce n'est qu'un enfant après tout il ne va pas aller plus loin. Ils se tirent en groupe, tu pleurais et ta mère avait dit qu'elle revenait dans une heure pour te reprendre.

« Désolé... mon frère n'est pas sympa... Il m'a forcé a faire ça... mais moi... moi je... je...je- ne voulais pas ! » dit-il en pleurant à la fin de sa phrase.
« … » Tu n'as pas réellement répondu. Tu n'as rien dit, tu respirais simplement.

Quand il a remarqué qu'il s'est prit un vent et qu'il a perdu un ami, son seul ami ? Il était parti en courant et en pleurant. Toi tu restais allongé au sol en pleurant un petit peu, en saignant pendant une heure pratiquement, le sang avait arrêté de couler après dix minutes. Ta mère était revenu et quand elle t'a vu dans cette état elle a fait tant de peine mais elle était énormément en colère envers ce groupe. Tu lui avais tout raconté, toute la vérité. Elle t'avait dit qu'il ne fallait pas frapper, quelque soit la situation. Tu lui montres le petit sachet de cookie au sol, le sachet qui a fini écrasé en petit morceau. Tu pleurais encore une fois devant ta mère en t'excusant mais c'était plus fort que toi, tu ne pouvais pas le laisser toucher aux précieux cookie de ta maman. Elle avait fait ça pour toi et ton pseudo-ami alors pas lui... qu'allais-tu faire demain à l'école ? Tu ne le savais pas encore. Mais ta maman ne pouvais rien faire, tu as frappé en premier. Tu étais en tord. Une fois rentré ta maman raconte toute cette histoire à ses parents et c'est là que ton grand-père te félicite et dit qu'il ne faut pas se laisser faire dans la vie. Ta maman furieuse réplique que ce n'est pas bien de frapper quelqu'un, ton grand-père autant tête de mule que ta maman réplique que c'était bien. Et tu as fini par crier d'arrêter et tu es partis en courant dans ta chambre.

Il fallait éviter qu'ils s'engueulent devant toi, tu n'aimais pas ça, ça te rendait tellement triste et tu te sentais coupable. Tu te mettais dans ton lit en pleurnichant que tout était de ta faute. Si tu es comme ça et que tu n'as pas vraiment d'ami. Pourtant tu es un gentil garçon... tu n'es pas méchant, tu frappes pas. Les plus grands doivent protéger les plus petits. C'est comme ça que ça marche non ?  Pourquoi t'avait-il frappé alors ? La vie est nulle parfois ! Tu espérais vivre des autres jours heureux...


Tu n'avais pas voulu manger au soir. Ta maman se sentais coupable alors elle n'avait pas répliquée pour que tu passes à table... c'était triste. Tu te levais pour aller à l'école et tu espérais passer une journée plus ou moins tranquille. La matinée était tranquille, dans la cour de récréation tu es resté sur un banc observant les autres jouer. Tu t'ennuyais maintenant ? Tu perdais le goût joyeux que tu prenais, c'est bien dommage tu n'as que 7 ans... ce n'est que sur le coup. Tu connaîtras des bons moment dans la vie ! Les heures tournaient et la récréation de l'après midi a été très dure pour toi. Le frère de ton pseudo-ami, oui car maintenant tu avais compris qu'ils étaient frères. Il était venu te voir et il a clairement dit qu'il allait te choper un moment où un autre. Tu avais un visage sans expression du style ''cause toujours, tu m’intéresses.'' alors ça l'énervait, il était sur le point de t'en remettre une mais il a fini par partir. De toute façon, l'année prochaine il ne serait pas là, tu t'en réjouissais !

Le reste de l'année a fini calme, il ne t'avait finalement pas frappé, l'histoire a fini dans le bureau du proviseur et une personne avait dénoncé ce chahut, il ne voulait plus que tu t'approches de lui et inversement, c'était à distance entre vous deux. Ce n'était pas plus mal, tu le détestais ce gars alors bon. Et tu avais une petite idée de la personne qui a balancé cette histoire. C'est la personne qui s'en veut presque plus que tout au monde et cette personne se retrouvera seul comme toi l'année prochaine. Il se fera vite des amis de toute façon. Oui, c'était Tetsuya. Son prénom tu le connaissais vu qu'il était dans ta classe... Tu t'en fichais pas mal maintenant. Mais tu lui devais ça, sans lui, tu aurais pu finir encore une fois en sang par un enfant onze ans, il avait cinq ans de plus que toi... Il y a vraiment des humains abrutis dans ce monde.

Deuxième, troisième, quatrième, cinquième et sixième année sont légèrement passé. Tu ne t'es pas fait d'ami, tu prenais bientôt tes douze ans et la prochaine année scolaire est le collège. Étant né en début d'année, tu prendrais treize ans au collège. Mais pour l'instant tu n'y es pas donc tranquille, on va pas y aller trop rapidement non plus. Tu n'as pas vraiment parlé à personne et ce fameux Tetsuya a encore essayé de te parler mais tu l'évitais et tu ne répondais pas. Tu te souviens encore de ce jour ? Tu vas lui pardonner un jour non ? Sois fort et pardonne lui... Mais peut-être que ce n'est pas le moment.

Fini, c'est les vacances d'été, il va faire chaud cet été il fallait que tu t'occupes mais sans amis tu n'irais pas loin. Pourquoi ne pas jouer à des jeux en réseaux ? Ah bah non, c'est pas vraiment ton genre les jeux toi. Ça te fait plutôt chier en fait, t'es spécial comme garçon, tu n'aimes pas les jeux... peut-être que tu aimes ? Mais tu n'as pas trouvé ton bonheur dans un jeu. Trouveras-tu ton bonheur quelques part un jour aussi ? Triste. Triste vie. Ces vacances d'été il a fait horriblement chaud. Tu aimais bien la chaleur, mais pas à ce point. Ça te faisait boire pas mal d'eau malheureusement, tu avais souvent le ventre pleins mais pas assez rafraîchit. Tu as encore douze ans et pas d'amis... tu vas pourrir sans ou tu vas compter t'en faire un jour ?

Reprise scolaire, l'entrée au collège. Ça ne t'as rien fait, pas d'effet d'entrer au collège, tes résultats restaient bons et ça comblait ta maman et le reste tu t'en foutais. La première année au collège fut simple, efficace et rapide. Pas d'amis, ça change pas. Et pas de chahut. Tu as passé une bonne année. Enfin... pour toi c'est une bonne année vu qu'il n'y a rien eu de spécial, tu aimes les années tranquilles comme ça. Si seulement tes années pouvaient être si simple et tranquille. Tu retomberas sur un jour heureux, ne t'en fait pas La seule chose qui t'importait était le sourire de ta famille. Le reste tu t'en foutais. Quand tu voyais ta maman triste ou tes grands-parents, tu te sentais tellement triste aussi. Tu es faible ? Tu aimerais être fort... comme tout le monde.  Mais on ne le dévient pas en le souhaitant. En tant que faible, tu voulais aussi protéger les faibles... Car tu as bien subit. Mais ce n'est pas le moment d'essayer de les défendre, tu te ferais frapper. Mais ça va être plus fort que toi.

Tetsuya était encore dans ta classe. Celui là va te suivre partout et tu devais lui pardonner, tu voulais maintenant, mais les rôles s'inversent, tu n'oses plus t'approcher de lui à cause de tout les rejets que tu lui as fait. Lui aussi n'osait plus, il pensait que tu allais lui remettre un vent. Comment pourriez-vous envisager redevenir ami ? Tu as besoin d'un ami à qui parler... tu sentais de plus en plus le besoin. Malheureusement c'était le seul que tu connaissais alors tu s'était le seul au quel tu sentais ce besoin de devenir ami. Enfin bref. En tant que naze, tu n'as rien fait, pas de tentative d'approche, tu n'as même pas osé alors que par moment, tu en avais grandement l'occasion. Il était faible lui aussi, il ne savait pas se défendre... alors peut-être qu'un jour tu oseras bouger ton cul pour l'aider quand le besoin s'en fait.

Donc la première année au collège est particulièrement passé vite. Et l'été arriva encore une fois, une chaleur plus ou moins forte. Ça pouvait parfaitement dépendre des jours. Tu n'étais pas sorti de chez toi de l'été, sauf pour faire les courses avec ta maman … sinon tu n'es pas sorti. Pas d'amis, rien à faire. Pourquoi allez dehors ? Ça n'aurait été qu'une perte de temps. Tu avais oublié le frère de Tetsuya et tu avais une chance de le croiser en plus. Mais tu l'avais oublié. Il t'a sûrement oublié lui aussi.

Dans cette deuxième année, il y a deux grands événements, un seul à la fois bien sûr.  Mais enfin, il faut abréger ton histoire, je pourrais raconter toutes tes journées même si elles sont nazes. Mais pour commencer, Tetsuya était encore une fois dans ta classe. Et il se faisait persécuter par des plus grands que lui. Son frère n'était pas là pour le protéger, personne n'était là pour le protéger. Et un jour, il était pas très loin de toi, tu passais dans le coin et il se faisait racketter par des types, tu hésitais à y aller et tu t'es fait bêtement repérer car c'était sur le coin d'une rue au collège, tu as essayé de fuir mais les trois gars t'ont vite rattrapés, même si t'as pas vraiment couru, il t'a attrapé par le sac et il t'a foutu en face de Tetsuya en lui demandant si il le connaissait. Ils ne doivent pas le savoir. Pour encore une fois ta sécurité, Tetsuya avait répondu que non. Mais le gars avait crier mensonge tout en lui mettant un coup de poing au ventre. Et il t'a balancé dans le coin du mur. Et te voilà pris au piège, tu veux jouer les héros, c'est le moment non ?

« Vous n'avez pas honte de racketter une personne plus petit que vous ...? Et vous êtes trois... contre un. Vous n'avez aucune fierté... c'est honteux. » dis-tu alors que tu avais une chance de finir en entier.
« Qu'est-ce que tu dis toi ? » dit-il en avançant vers toi énervé. « Tu veux y passer aussi ? »
« Frappe moi autant que tu veux. Tu n'as déjà plus de fierté. » dis-tu d'un regard plus ou moins froid.

Il t'avait mal regardé, mais tu n'avais pas peur. Il n'avait pas peur non plus mais il t'a mit un coup de poing dans le ventre quand même, tu étais tombé à genoux. Et il t'avait dit que c'était pas bien d'être insolent... tu t'es mis à rire. Il est drôle comme garçon. Et ils sont tout les trois partis en vous laissant seul. Tetsuya te remercie et te demande pourquoi tu as fais ça. Tu n'avais pas donné de réponse particulièrement intéressant. « J'en sentais le besoin de le faire... mais je suis faible moi aussi. » tu venais quand même de l'insulter de faible. Et il s'est encore excuser encore une fois pour ce jour là. Tu lui as répondu que tu ne lui en voulais plus depuis un moment et tu es parti. Une blessure au cœur c'est recousu. Tu avais quand même sourit dos à lui. Tu étais heureux de l'avoir aider même si tu n'as fais qu'encaisser un coup. Tu as bien fait.

Le lendemain fût tranquille et les jours qui suivent aussi. A ce qu'il paraît, les gars s'en prennent plus aux faibles. Ils ont arrêtés ça. Tes paroles auraient aidés des types ? Tu t'en foutais cette fois là. Quelques jours après un autre événement c'était produit alors que toi & Tetsuya vous vous reparliez... enfin vous n'étiez pas grand amis avant mais c'est quand même ça ! Ça y est, tu as ton premier ami. C'est déjà pas mal ! En douze ans et demi... un ami. En parlant de ton âge, c'est bientôt ton anniversaire, la treizième année. Dur pour toi de vieillir si vite... enfin vieillir, tu avais encore la vie devant toi ! Profite pendant qu'il en ait encore temps, alors que tu n'as pas du tout profiter avant. Tu restais enfermé. Bon, passons maintenant à ce deuxième événement de l'année ! Un très bel événement pour toi... mémorable, pas vrai ?

Tu arrivais au collège et des rumeurs tournaient comme quoi il y avait une nouvelle, tu te souviens ? Très bien je pense. Mais là tu t'en foutais, tu ne t'occupais pas des autres personnes. Tu entrais en classe et oui, après quelques minutes passés. Une nouvelle était bien là, tu ne t'en préoccupais pas vraiment. Ni Testuya. Vous restez ensembles maintenant, vous aviez des discussions et un jour, vous avez remarqués qu'elle était seule. Vous aviez tout les deux connus la solitude. Et toi tu avais changé, tu étais devenu d'un coup d'un seul, joyeux, joueur et ça faisait plaisir à ta mère que tu sois comme ça. Ton nouveau caractère va sûrement te permettre à te socialisé. Je pense que tu n'étais pas ouvert au monde, tu n'as jamais montré comment tu étais réellement, là tu étais comme tu es réellement. Tu es toi... ça y est ! Vous vous approchez de la jeune fille, toi plus souriant qu'avant et ça choquait même Testuya. Tu avais même fait le premier pas vers elle. Tu t'approches sans trop qu'elle te remarque bien sûr. Et tu lui fais une petite pichenette au nez.

« Pouf » dis-tu gaiement, elle ne s'attendait pas à ça alors elle avait sursauté. « Heum... tu veux venir t'asseoir avec nous ? » lui proposas-tu.
« Je … ne veux pas vous déranger... » d'un air plus ou moins timide.
« Tu ne nous dérange pas ! Viens avec nous ! » dit Tetsuya aussi joyeux que toi !

C'est de la que tout une amitié à commencée. Une belle et grande amitié. Tu n'enviais plus les autres pour leurs papas en plus. Même si ça t'attristait encore un peu de ne pas avoir de papa. La nouvelle se nommait Sanae. Elle a été plus ou moins timide avec vous pendant une semaine puis vous êtes devenus des super-amis tout le long de l'année. Une très belle année pour toi. La meilleure de toute ! La joie, l'amitié, les rires, tout ça ! Tu avais tout ! Tout ! Tu avais même parlé avec d'autres personnes de ta classe, impressionnant ! Mais qu'est ce qu'il se passait si tu n'avais plus rien ?

Et voilà l'été, tu avais treize depuis bien longtemps. Mais cette date tu la hais pas vrai ? Pourquoi donc ? Vous allez pas tarder à le savoir. Il faisait encore chaud cet été. Tu regardais ton grand-père qui ne faisait que tousser et de plus en plus. Il toussait beaucoup de sang et ta grand-mère s'en ai jamais aperçu. Cet été il était tombé dans les pommes avant que ta grand-mère ne fonce à l'hôpital... mais malheureusement ton grand-père est mort en chemin. Ce jour ne s'arrêtait pas là. Ta grand-mère sous le choc tomba dans le coma sans se réveiller pour le moment. Ta mère était en pleurs. Étant encore trop jeune, tu ne comprenais pas ce qui arrivait à ton papy, il allait vivre ou mourir ? Tu posais des questions plus ou moins direct et ça démoralisait ta maman, tu te haïssais à ce moment. Ta mère était en pleure et tu n'es pas foutu de l'aider... Tu te sentais coupable qu'elle pleure encore plus que la normale. Alors que toi, tu ne voulais que des explications de ce qui venait de se passer. Le jour suivant tu devais inviter tes deux amis à la maison mais tu as annulé le rendez-vous à la maison à cause de tout ce brouhaha.

Oui, ta mère n'a jamais changé de maison, elle payait la moitié avec tes grands-parents... et elle comptait bientôt partir du lieu... Et maintenant que ton papy est décédé et que ta mamie est dans un coma, ta mère ne pouvait plus vivre dans cette maison, ça lui rappelait trop de souvenirs et ça la fondait en larme. Elle voulait partir mais n'avait pas réellement les moyens. Alors vous restiez dans la maison et quand tu as appris que ton papy était mort, tu as toi aussi été très triste.. tu aimais ton papy, tu l'aimais comme un père mais tu n'y pouvais rien, la vie a un début, la vie a une fin.

Les jours ont passés, ta mère avait fait une pause de travail et elle a finalement repris quand ça allait mieux et il fallait payer tout ça alors fallait travailler... et il n'y a pas d'autres moyens malheureusement. Tu ne comprenais pas la valeur de l'argent, du moins pas encore, tu ne demandais jamais de cadeau à ta mère pour autant. Mais on s'écarte de ton histoire ! Tu sentais un vide dans la maison sans tes grands-parents, ta mère aussi le sentais. Quand vous dîniez c'était plus ou moins calme, tu n'osais pas trop parler à table. Quand tu rentrais, parfois tu étais seul. Bref, un mois que ton papy était décédé et tu avais 14 ans et tu étais rentré en troisième année de collège. La dernière avant le lycée. Toi, Testuya et Sanae étiez devenus très bons amis ! Ta mère avait un peu passé la mort de ses parents et elle travaillait dure pour pouvoir te payer ton voyage scolaire de l'année ! Et oui, tu vas à Okinawa.

Les mois passaient, ta mamie toujours dans le coma et sans trop de nouvelle, alors vous attendiez sans trop vous faire d'espoir, ce fut un choc pour ta mamie pour son mari... Tu étais plus grand et plus pleins de vie, tu aimais bien taquiner maintenant et tu es très souriant sous ta chevelure blonde. Comme un soleil ! Les mois sont donc passé et ta mère a pu te payer le voyage scolaire. Vous deviez partir par classe et vous avez des groupes de deux, c'était interdit de mettre un garçon avec une fille. Tu t'es alors mis avec Tetsuya et Sanae était bien moins timide qu'avant, elle avait une ou deux autres amies filles mais elle restait souvent avec vous. Mais cette fois Sanae c'est mise avec une amie à elle, elle avait pas vraiment le choix. Sanae était une très jolie fille, alors les garçons s'approchaient parfois d'elle, mais elle avait le béguins pour toi, tu le savais pas et toi tu ne ressentais rien. Mais elle avait rejeté pas mal de garçons... bref, c'est pas vraiment important à savoir. Mais tu la trouvais particulièrement jolie, surtout durant ce voyage à Okinawa ! Elle s'était faîtes très belle, peut-être pour toi ?

Vous étiez enfin arrivés à Okinawa, tu étais à coté d'elle et elle avait dormi sur ton épaule, toi ça te dérangeait pas vu que tu la prenais comme une amie. Quant à elle, elle était sur son nuage et elle souriant. Certaines filles de la classe vous shippais. Ah oui, entre temps tu as quand même parlé avec les autres personnes de ta classe, tu y arrives mieux qu'avant. Mais tu restes fidèle à tes deux vrais amis. Vous étiez donc arrivez et tu réveilles bizarrement Sanae... tu appuyais sur sa joue bêtement. Et elle avait pas compris. Elle se réveille après quelques contact entre ton doigt et sa joue. Elle était alors devenue rouge et c'était excusé, tu as trouvé ça amusant toi. Tout commençait à t'amuser maintenant... c'est pas plus mal non ?

C'était une superbe semaine, tu t'amusais vraiment et il faisait beau ! Véritablement beau... Le dernier jour était pas si beau que ça. Il est marqué à vie dans ta mémoire. Tu étais sur la plage avec Sanae & Tetsu, vous aviez le dernier jour libre. Alors vous disiez que c'était une superbe semaine et vous vous racontez vous âneries que vous avez faîtes à Sanae. Vous étiez très joueur vous deux. C'est pas croyable ! Mais vous étiez autant compétiteur l'un que l'autre. C'est alors que Tetsuya se lève et te défie pour nager le plus loin ! Tu ne pouvais que accepter ! Sanae était totalement contre car c'était dangereux. Très dangereux même ! Mais vous ne voyez pas le danger. Vous aviez couru en disant à Sanae que ça allait aller. Elle priait pour que vous revenez en un seul morceau...

C'est parti pour la course à la nage, en plus l'eau était véritablement bonne, tu aimais bien ça ! Et tu avais atteint ta limite, tu commençais même à avoir peur car les vagues était plus en plus fortes ! Tu cris le nom de ton ami plusieurs avant d'apercevoir son corps flotter.... Non c'est pas vrai. Il n'était pas mort, tu ne voulais pas y croire ! Tu nages rapidement vers lui et  tu essayes de voir si il vit, tu ne pouvais pas le juger. Tu entendais crier Sanae au loin... tu essayais de répondre mais les vagues t'en empêchait. Après une longue minute de nage intensif tu atteins la plage et Sanae est venu t'aider pour essayer de le faire respirer, aucun moyen, vous appeliez a l'aide et un homme est rapidement venu, il demande ce qu'il s'est passé et tu racontes tout ça rapidement, il tente tout, le bouche à bouche, massage cardiaque, il avait cracher un d'eau … puis à tousser … puis à ouvrir les yeux, tu avais les larmes aux yeux, tu étais triste, tu as cru qu'il allait mourir. Mais il était en vie. La première chose qu'il a vu à son réveil, c'était ton visage en pleure. Il y avait bien sûr Sanae à coté de toi, elle était autant inquiète que toi ! L'homme vous a complètement aidé, il a su quoi faire. Tu l'as remercié plusieurs fois... tu ne pouvais pas t'arrêter. Mais il avait sauvé ton ami après tout, c'est normal que tu le remercies.

Après cet incident, les proviseurs et toute la classe s'est ramené à la plage pour voir si Tetsuya allait bien. Ils t'ont remercié de l'avoir aidé aussi car tu as nagé comme un fou pour le sauver. Tu y as mis tout ton cœur, tout ton énergie. C'était mérité. Tu étais essoufflé alors tu t'es écarté de la scène, les autres ne t'ont pas aperçus, c'était ton but. Tu ne voulais pas être félicité pour ça. Le plus fort dans l'histoire était Tetsuya à tes yeux, il a su tenir jusqu'au bout pour tenir sa vie. Il réussit, c'est lui qui méritait des félicitations pour toi. Tu l'aurais félicité plus tard car pour le moment il est trop entouré. Et c'est pas ton genre de faire ça. Tu préfères quand ça reste discret hein ? Tu t'étais de coté et tu étais seul. Assis sur la plage, assez proche de l'eau. Tu écoutais les beaux bruits de la mer. Tu trouvais tellement ça apaisant, alors tu fermes les yeux et tu te laisses emporter.

« Merci Hyashiro. » dit une voix féminine, ce n'était pas Sanae, sur le moment tu n'as pas reconnu.
« hein ? » réponds-tu en te retournant.
« Tu as sauvé la vie d'un de mes élèves. Je ne peux que te remercier... mais je te laisse rêvasser sur la plage, tu l'as bien mérité pas vrai ? » fini-t-elle avant de repartir en direction du groupe.

C'était ta proviseure qui venait te féliciter... Tu n'avais pas su quoi répondre, tu t'es contenté de ne rien dire et la laisser partir. Tu t'allonges en te disant encore une fois que le plus fort dans l'histoire ça a été Tetsuya. Tu regardes les nuages et tu respires cet air frais. Inspirant et expirant à plusieurs reprises. Tu te mis à arrêter. Encore des bruits de pas sur le sable, tu n'avais pas bougé en pensant que ce n'était pas pour toi. Mais une tête se place au dessus de ton visage. C'était Sanae. Que venait-elle faire ici ? Te tenir compagnie.

« Alors, on dort fainéant ? » dit-elle d'un ton amusant.
« Ouais. » simple réponse mais elle devait s'y attendre, tu ne pouvais rien dire d'autre.
« Bah moi aussi alors ! » Dit-elle en s'écroulant à tes cotés.

Les amis... c'est mieux d'en avoir tout compte fait ? Tu te sens moins seul. Sa présence te réchauffait le cœur. Quoi de mieux que de rêvasser ici entre ami ? Il manquait juste Tetsuya mais il devrait partir se reposer un peu. Tu pensais que la proviseure l'avait emmené dans votre chambre. Tu ne comptais pas y aller maintenant. Tu voulais le laisser se reposer. Vous rentrez demain matin en plus. Il fallait profiter. Il n'y avait aucune conversation entre toi & Sanae. C'est rare, parfois tu es vraiment bavard. Mais tu étais pensif à ce moment. Tu pensais à ce qui serait arrivé si il était décédé ? Ou à quoi pensait Sanae de son coté. Tu avais les yeux fermé.

« Tu sais. J'ai prié pour que vous reveniez en un seul morceau... Si j'aurais perdu l'un de vous deux... qu'est-ce que je serais devenue ? » Sa voix était pratiquement triste et réconfortée.

Tu te contentais de tourner ton regard vers elle. Un peu étonnée qu'elle te dise ça. Tu ne savais pas à quel point elle tenait à vous. Mais tu venais de voir que c'était fort. Tu ne savais pas qu'elle portait des sentiments pour toi. Particulièrement plus fort pour toi. Elle s'en était pas rendu compte mais elle le réalise de jour en jour. Tu sais qu'elle osera jamais te le dire ? Toi tu ne savais rien de ce qu'était l'amour. À partir ta maman, personne ne t'a dit je t'aime. Est-ce que ça va arriver un jour ? Si tu veux que ça arrive, ne change jamais.

« Promet moi de ne plus reprendre un tel risque... » dit-elle d'un air triste.
« Je te le promet. » dis-tu.

Tu y repensais mais elle avait raison. Il vaut mieux se défier gentiment que de forcer si loin... Tu n'aurais pas du accepter comme il n'aurait pas du te proposer ça. Ça vous aura servit de leçon hein ? Elle s'était rapprochée de toi. Elle te serrait un peu contre elle. Elle n'osait pas vraiment et toi tu n'avais rien fait. Tu es resté indemne. Ça ne lui avait rien fait à elle, tant qu'elle était à tes cotés. C'était tout ce qui l'importait. Il n'y avait plus un bruit entre vous deux. Tu entendais alors le bruit des vagues... tu allais presque t'endormir. Quant à Tetsuya, il était resté dans la chambre d'hôtel pour se reposer un petit peu. Il t'attendait pour te remercier. Le temps est passé rapidement et tu as passé ton reste de temps à la plage avec Sanae. Sans discuter en plus. C'était vraiment du repos.

« On devrait peut-être rentrés. » lui proposas-tu.

Elle hoche la tête et tu te lèves en t'étirant. Une journée plus ou moins dure, émouvante et épuisante. Vous repartiez à l’hôtel où vous étiez. Tu te sépares alors de ton amie pour rejoindre ta chambre d'hôtel. Tetsuya s'y tenait. Tu ouvres lentement et doucement la porte pour ne pas faire de bruit. Tu croyais qu'il dormait. Tu t'assis alors sur ton lit. Tu étais dos à Tetsuya, lui qui avait un autre lit derrière toi.

« Merci. » dit-il d'un ton ému.
« C'est toi le héros dans l'histoire... tu as tenu le coup et j'ai fait de mon mieux. » dis-tu toujours dos à lui.
« On forme une équipe... » une équipe ?
« Ouais. »

Tu voulais qu'il se repose d'avantage, tu lui as bien sûr dit de se reposer avant de faire trop d'effort. Vu que vous rentrez demain, il aura pas mal de repos comme ça. Ça te réjouissait.  

Et le lendemain suivit. Durant ce voyage, tu avais pris ta seizième année. C'est drôle de faire un voyage en janvier ? Tu n'avais pas choisi. Mais ta maman t'avait sûrement fait une belle surprise à la maison. Tu avais hâte de rentrer. Le trajet fut assez rapide. Le retour passe plus rapidement que l'aller. Tu t'étais encore mit à coté de Sanae, sauf qu'elle n'a pas osée se rendormir à tes cotés. La pauvre timide. Dire que toi tu t'en fichais totalement qu'elle dorme sur ton bras. Tetsuya était avec une amie à lui. Bon d'accord, il avait le coup de cœur mais il voulait pas le dire. Il n'en n'avait même pas parlé à son meilleur ami, toi Mitsuki. Mais peut-être qu'il te le dirait un de ces quatre. Tu t'en foutais pas mal après tout. Tant qu'il t'abandonne pas comme une vieille chaussette.

Vous êtes donc arrivés au collège. Certains heureux de rentrer, d'autre malheureux. Toi tu étais comment ? Tu en savais rien, tes sentiments sont souvent flous pas vrai ? Ça te porte parfois à confusion. Mais tu étais quand même heureux de revoir ta maman, ça c'est sûr. Elle t'attendait à l'entrée de l'école. Il fallait juste refaire les appels et tout ça puis vous pouviez partir. Une fois que tout à été fait. Ta mère t'attendait avec sa voiture. Tu la salue et elle te demande comment s'était. Tu réponds que s'était un voyage mémorable. Tu ne lui as rien dit pour la noyade, elle t'aurait engueuler pour le risque que tu as pris en partant à la nage comme ça. Vous montiez dans la voiture et tu lui racontes deux ou trois petites histoires annexes que tu as vécus là bas. Ce n'était pas vraiment intéressant à savoir que toi & Tetsuya vous avez fait un stupide concours de celui qui mange le plus vite son bol de nouille hein. Elle t'avait dit qu'une surprise t'attendait à la maison. Tu étais impatient de savoir.

Ton premier pas dans la maison, tu as vu une ombre. Tu te poses alors des questions. Tu restes figé à l'entrée. Ta mère passe devant en te disant d'avancer. Ce n'était pas un cambrioleur, ni autre chose de la sorte. Tu avances et tu vois un visage masculin. Elle s'est faîte un copain ? Tu voulais rire mais tu t'es retenu. Si c'était son petit ami, la surprise n'est pas pour toi mais pour elle en fait. Mais malheureusement pour toi, c'était bien plus compliqué. Tu avais un petit air de cet homme … ne serait-ce pas... L'homme se lève alors et ta mère inspire et expire et commence les présentations.

« Mitsuki... je... je te présente ton... papa. Izaya Tokikuro. »

Tu étais sous une latence horrible. Tu le fixais. Être heureux ou alors avoir les nerfs ? La deuxième option était l'option dont tu avais choisi. Il te tend sa main. Tu baisses ton regard, il croyait que tu allais lui faire une poignet de main et lui faire un câlin ? Ce mec vit au pays des bisounours ou quoi ?

« Sort tout de suite de chez moi. » dis-tu tout en serrant les poings et les dents.

Ta mère confuse tentait de t'arrêter. Ton fameux papa qui n'a pas été là depuis 16 ans, n'avait pas vraiment compris. Était-il heureux de te rencontrer ? S'il savait tout le mal au cœur qu'il t'a fait quand il était pas là. Combien de fois tu as pleuré dans ton coin. Combien de moment tu avais besoin de lui. S'il savait tout ça... tu étais énervé. Même ta mère n'a t'a jamais vu comme ça. Tu n'as pas eu besoin de lui pendant seize ans. Ce n'est pas maintenant que ça va changer c'est ça ?

« Tu n'as pas compris ? Je t'ai dis de dégager de ma maison. » dis-tu d'un ton énervé.
« Je sais très bien qu'il n'a pas été là mais laisse lui u- » répliqua ta mère.
« Lui laisser une chance ? » ça te faisait rire.

Oh, tu étais énervé, sur les nerfs. La colère. Qu'allais-tu faire ? Qu'allait-il faire ? Tu le regardais droit dans les yeux. Tu pouvais lire un visage surpris et triste. Mais tu n'allais pas le laisser s'imposer dans ta vie maintenant. Il était bien trop tard. Ce n'est pas maintenant qu'il fallait agir, c'était il y a minimum quatorze ans. Maintenant il est trop tard. Tu es une personne consciente, tu sais ce que tu fais des actes. Il s'approche de toi en posant lentement sa main sur ton épaule.

« Je sais ce- » et sa phrase fut coupé car tu l'as frappé.
« Tu es un inconnu à mes yeux. Sort tout de suite de chez moi. »

Il enlève sa main de ton épaule. Il essaye la petite marque de sang sur ses lèvres. C'était bien fait. Cet homme n'a eu que ce qu'il méritait. Une bonne droite dans le visage. Il sort de ta maison dans la tristesse. Tu refermes la porte d'un geste brusque. Tu lui en voulais vraiment. Mais vraiment. Ta mère était sur le cul. Il n'y avait pas d'autre mot pour décrire comment elle était. Elle voulait te faire plaisir... c'était raté. Elle part dans sa chambre comme une enfant triste... tu t'excuses mentalement. Tu t'excuses d'être comme ça mais tu ne pouvais pas... tu ne pouvais pas accepter le fait qu'il revienne du jour au lendemain ! Si une personne devait revenir, c'était ton papy. Mais pas cette merde. C'est ça ? Mais ton grand-père est décédé et ne peut revenir. C'était lui qui devait crever, pensais-tu. Calme toi quand même. On ne souhaite pas la mort d'une personne. Je sais que c'est plus fort que toi. Mais … tu ne devrais pas.

Ta mère devait se rattraper. Elle avait appris que ta mamie était réveillé de son coma. Elle pouvait sortir ce week-end. Elle ne t'avait pas prévenu. Non seulement rien que ça tu vas être joyeux. Mais elle t'a préparé un bon gâteau avec Sanae en cachette. Oui ta mère connaissait assez bien Sanae, elles s'entendaient bien. Ta mère avait remarqué que Sanae avait un coup de cœur pour toi. Elle t'avait rien dit monsieur l'aveugle. Il fallait que tu le vois par toi même. Bref. Et elle a aussi invité Tetsuya pour venir ce week-end en fête surprise. Tu te réveilles le samedi, rien de spécial. Ta mère te fais une diversion en te demandant d'aller faire quelques courses car vous manquiez de réserve. Tu pars donc en direction du magasin le plus proche. Tu ne croises pas un ami. En attendant chez toi. Ta grand-mère était rentrée, Sanae suivit puis en dernier Tetsuya.

Tu finis les courses que ta mère t'avait demandé et tu rentres directement chez toi. Tu ouvres la porte et tellement qu'ils n'étaient pas doués. Tu entends des petits ''chut, il arrive!'' on croirait des gamins. Ça t'avait fait sourire. Mais pour leurs faire plaisir tu ne fais style de rien. La seule chose que tu ne savais pas, c'était ta grand-mère. Tu entres alors dans la cuisine en faisant genre à ta mère que tu étais rentré. Une fois un pied dedans, ils se jettent sur toi en criant ''Bonne Anniversaire !''. Tu les remercies tous et tu vois ta mamie derrière assise. Tu voulais pleurer de joie... tu croyais que c'était un rêve. Tu fais un câlin à ta mamie en lui souhaitant la bienvenue à la maison. Une belle journée émouvante. Vous fêtiez ton anniversaire et  le reste de la journée vous discutiez entre vous tout en racontant vos histoires à ta mamie. Bref superbe journée mémorable.

Tu finis ton année scolaire tranquillement. Tu t'entendais bien avec plusieurs personnes maintenant. Un grand pas dans la socialisation hein ? Mais voilà l'été. Le plus dur de tout les étés que tu avais connu. Le début, ça allait. Mais le milieu de l'été n'était pas facile. C'est sûrement une des pire chose que venait de t'arriver. C'est triste à te faire remémorer ça. Mais je n'ai pas le choix, c'est à partir de là que ton histoire devient plus ou moins intéressante malgré que tu perds une des personnes qui t'es chère. Comment est-ce que ça a pu tourner dans ce sens... pourquoi pas dans un autre ?

15 Août;

Dans le style de journée, tu aurais pu avoir mieux. Il faisait déjà très chaud. Quand tu t'étais réveillé. Tu as regardé dehors en positionnant ta main au dessus de tes yeux pour ne pas que le soleil t'éclaire. Tu trouvais qu'il faisait trop chaud. Tu passes dans le salon saluant alors ta mère. Il était quand même tôt. Puis soudain. Le téléphone se mit à sonner. Tu reconnais le numéro. C'était celui de la maman de Sanae. Vous vous connaissiez un petit peu vu que Sanae t'a déjà invité chez elle à plusieurs reprises avec Tetsuya. Vous trois étiez inséparable. Tu réponds donc, mais tu trouvais qu'il était tôt pour appeler.

« Sanae vient d'avoir un accident, peux-tu me rejoindre à l’hôpital ? »

Tu sentais dans le ton de sa mère qu'elle était inquiète. Sanae n'avait pas non plus de père... par contre, tu ne savais rien de son histoire. Enfin. Tu ne connaissais pas toute l'histoire. Tu avais un air très choqué. Mais ta réaction fut rapide. Tu as simplement dit oui en raccrochant. L'hôpital était très loin de chez toi. Tu ne pouvais pas y aller à pied, sinon ça prendrait trop de temps. Tu demandes alors à ta mère de t'emmener. Vous vous habiller rapidement. Pris de peur, tu stressais beaucoup. Vous grimpez dans la voiture et direction l'hôpital. Vous aviez pratiquement dix minutes de route ? C'est peu en voiture. Mais assez pour un drame. Ta mère roulait trop vite. Vraiment trop. Elle ne faisait pas trop attention aux autres voitures.C'était risqué, trop risqué. Et c'est quand qu'un malheur arrive qu'un autre en suit.

Il a suffit d'une seconde pour que tout tourne mal. Tu disais à ta mère de te calmer. Mais dans la tête de ta maman, Sanae était comme sa fille. Mais il a fallut qu'elle ne t'écoute pas. Vous n'étiez pas seul sur la route et vous étiez en tord. Un camion passe en même temps que vous et vous avez fait une percussion avec. Ta vie est fini. Si seulement tu avais pu décaler le volant... mais tu étais trop lent.

* * *

15 Août; premier jour.

Tu avais cru faire un cauchemar de Sanae qui était à l'hôpital et toi et ta mère vous êtes mort dans un accident le 15 Août. Tu regardais la date et c'était bel et bien le 15 août. Très tôt le matin, tu descends pour saluer ta mère. Et c'était pratiquement la même matinée que ton pseudo-rêve. Puis le coup de téléphone. Tu as eu peur... tu reconnais le numéro de la maman de Sanae. C'était comme dans ton pseudo-rêve. Tu réponds en tremblant.

« Sanae vient d'avoir un accident, peux-tu me rejoindre à l’hôpital ? »
« B- bien sûr... » réponds-tu avec un peu de peur sur le visage.

Ta maman te demande ce qu'il ne va pas, tu lui dis que Sanae est à l'hôpital. Vous filez tout les deux vous habillez rapidement. Au moment où vous montez dans la voiture, tu as eu un moment d'hésitation. Mais ce n'était qu'un mauvais cauchemar, rien de plus. Alors tu embarques pour l'hôpital. Tu reconnais les même faits et gestes de ta maman. Tu refais le même accident. Tu n'as rien fait... pourquoi ?

* *

15 Août; deuxième jour.

Est-ce possible de faire deux cauchemars en un ? Tu regardes encore une fois la date. C'est le bel et bien le 15 Août. Tu te pinces le bras et tu as eu mal. Tu es dans la réalité. Quel était ce foutu cauchemar... Tu restes enfermé dans ta chambre en attendant que la matinée passe. Mais pourquoi ça changerait ? Tu te lèves pour te décider à sortir de ta chambre et que tout ça n'était qu'un mauvais rêve. Tu poses ta main sur porte et tu entends le téléphone sonner. Ta mère répond et elle devient choquée. Elle te crie de t'habiller rapidement, Sanae a eu un accident. Mais tu le sais ça, tu le sais putain, c'est la troisième fois que tu le vis ! Tu t'habilles quand même et tu montes dans la voiture rapidement.

Tu avais peur. Ta mère devait penser que tu avais peur pour Sanae, mais là tu avais plus peur de cet accident. Celui que tu vas sûrement revoir ? Tu reconnais cet endroit. L'endroit des deux premiers accidents. Tu fais tourner le volant à ta mère en lui disant de prendre cette route. Mais t'es con ? Tu ne vois pas les panneaux... un autre camion arrive à toute vitesse droit sur vous. Si seulement tu avais pu réfléchir ! Même si ce n'était qu'une réflexion de trois secondes !

* * *

15 Août; troisième jour.

Tu te réveilles et tu pètes un câble. C'est pas vrai, qu'est-ce que tu vis comme torture. Comment dois-tu agir ? Prit de peur, tu t'habilles et tu pars à l'avance, c'est une autre solution. Tu sors de la maison en panique, ta mère te suivit alors. Pourquoi elle te suit ? Pourquoi bordel ?!! Tu t'arrêtes essoufflé et elle se met juste à tes cotés. Elle n'avait pas l'air essoufflée. Tu ne comprenais pas. Tu ne comprenais rien.

« Pourquoi tu ne m'as rien dit ? »

Rien dit de quoi ? La mère de Sanae venait de l'appeler encore ? C'est quoi ce cauchemar. Tu souffres, tu veux crier, tu veux pleurer. Tu t'écartes de ta mère par peur. Mais tu ne vois pas que t'es sur un la route ? Idiot, idiot, idiot. Tu regardes une dernière fois ta mère avant qu'un camion te prend encore une fois ta vie.

* * *

15 Août; quatrième jour.

Encore une réveil prit de peur. Le cinquième c'est ça ? Tu poses des mains sur ta tête et tu pleures, tu pleures les larmes de ton corps. Tu ne veux plus voir ta mère et toi mourir ou alors mourir. Tu implorais de l'aide. Tu voulais qu'on t'aide. Ta mère t'entends et va vite te voir en demandant ce qui va pas. Tu ne pouvais pas répondre, tu étais pris de peur. Le téléphone se met à sonner. Non pas lui, c'est un démon. Un monstre. Tu ne voulais pas qu'elle réponde mais elle y est allée. Elle eu encore un choque avant de te demander de t'habiller pour rejoindre Sanae à l'hôpital.

Tu tournais dans un cercle vicieux ma parole ?? Tu étais alors confus mais tu faisais comme les autres jours. Trouveras-tu une solution pour ne pas mourir dans cet accident ? Tu y réfléchis encore. Alors tu demandes à ta mère de ne pas prendre le chemin habituel. C'est qu'elle te répond qu'il faut aller plus vite, pour rejoindre Sanae à l'hôpital. Prit de panique tu te mets à crier.

« Tu veux la rejoindre dans quel sens à l'hôpital ?! » Tu avais les larmes aux yeux. Tu paniquais.

Ta mère confuse s'arrête en plein milieu de la route. Tu poses te main sur ta tête tel un fou qui n'en peut plus de tout ça. Mais ce n'était que le début pas vrai ? Tu allais encore souffrir un peu. Jusqu'à ne plus vouloir monter dans une voiture, tu avoir peur des moyens de transport. Tu aurais une phobie sur tout les moyens de transport. C'est tout ce que tu vas gagner pas vrai ? Mais tu n'avais pas eu un temps de réaction assez rapide. Un camion vous a fauchés et vous avez encore péril. Vas-tu un jour sortir de ce cercle.

* * *

15 Août; X jour.

Tu n'en pouvais plus. Tu ne comptais même plus les fois où tu étais mort à cause de ses putains d'engins. Tu en avais peur, ça y est. Tu ne pouvais plus entrer dedans. C'était plus fort que toi. La matinée était encore la même, elle ne change pas. Le coup de téléphone, Sanae à l'hôpital, vous vous dépêchez. Mais cette fois tu n'as pas agit comme les autres fois. Tu t'habilles normalement, tu sors de ta maison. Une fois en face de la voiture, tu t'es mis à entrer. Ta mère te crie dessus en te disant de te dépêcher mais tu lui disais que tu ne pouvais pas. Tu avais peur. Tu ne pouvais plus entrer dans la voiture. C'était plus fort que toi. Tu t'étais mis à pleurer devant l'engin. Ta maman te dit de la rattraper à pied. Tu acceptes donc et elle prend de l'avance, vu qu'elle est en voiture, tu cours à toute vitesse vers l'hôpital et ce pendant 5min de course intensif, tu aperçois de la fumée, comment cela est-ce possible ?

Tu cours vers la fumée et c'était un accident que venait d'avoir lieu...tu pensais qu'en sortant de la voiture, ta mère aurait eu plus de chance mais non, elle a péril toute seule...Tu ne sens plus tes forces, tu tombes au sol, tu pleures toutes les larmes de ton corps. Tu viens de perdre la personne qui a été la plus présente dans ta vie. La personne qui t'a mit à la vie. La personne qui t'a chérit. La personne qui t'aimait plus que n'importe qui. Tu viens de perdre ta maman. Tu fermes alors tes yeux et tu ne voulais pas voir la suite...

* * *

Tu rouvres alors tes yeux et tu étais dans une chambre d'hôpital. Un petit trou de mémoire... que venait-il de se passer ? Où était ta maman. Ils ont jugés que tu n'avais rien. Tu lui demandes directement où est ta mère, tu étais en larme. Mais pas de corps en vu. Personne n'a retrouvée le corps d'une personne de sexe féminin. Tu t'énerves rapidement et tu pleures. Où était ta mère... est elle est ? Tu sors de la chambre rapidement en allant voir Sanae. Tu n'avais aucune blessure, est-ce un miracle ? Tu te souviens de pratiquement rien...

Tu trouves alors la chambre de Sanae grâce à une dame qui travaillait à l'hôpital, tu croises alors la mère de Sanae, elle te demande si ça va. Tu lui souris en faisant signe de rien. Elle te dit d'aller la voir. Elle était pour le moment inconsciente. Tu entres dans sa chambre tremblant de peur. Tu t'assois à coté du corps de Sanae. Pour le moment vivante mais inconsciente. Que faire...  Tu attrapes la main de Sanae... la serrant doucement et tu pleures. Tu pleures car tu ne veux pas qu'elle t'abandonne. Tu viens de perdre ta maman, pas Sanae. Il manquerait plus que ça. Ta grand-mère devait déjà être avertie pour l'accident que tu as eu. C'est alors que tu pleurais que tu sentais que Sanae était consciente. En mauvais point mais consciente. Elle t'avait plus ou moins serrer ta main avec le peu de force qu'elle avait. Tu lui dis d'économiser son énergie et que tu reviendrais.

Tu devais aller voir où était ta maman, tu voulais ta maman. Tu vas déprimer, ta première réelle dépression. Tu sors de la chambre de Sanae et tu vois Tetsuya parler avec la mère de Sanae. Il expliquait que toi aussi tu as été impliqué dans un accident avec ta mère. La mère de Sanae eu peur et te demande alors où était ta mère. Tu t'es mis à trembler. À avoir peur, tu allais encore pleurer, encore une fois. Mais tu te retenais, tu te retenais avec le peu de force psychologique que tu avais mais tu essayais pas vrai.

« Ils m'ont dit que le corps de ma mère n'a pas été retrouvé... »

Si tu allais chercher le corps de ta mère. Qu'allais-tu faire si tu le retrouves mort ? Il y a aucune chance qu'elle soit en vie. Tu pleurerais toute tes larmes devant ? Ça te détruirait encore plus de le voir... et là tu le retrouves pas, tu es déprimé. Tu es très déprimé. Tu n'as plus d'envie... tu ne veux rien. Les infirmiers vont ont demandés de la laisser se reposer et de revenir plus tard. La mère de Sanae vous propose de rentrer en voiture. Elle était si heureuse que sa fille soit encore en vie. Mais toi tu es un miraculeux de la vie... tu n'as même pas une égratignure ! Tu avais oublié. Mais ton traumatisme ne faisait que de naître. Tu suis la mère de Sanae et Tetsuya jusqu'à la voiture et une fois en face, tu avais l'air d'un … tu n'avais pas l'air. Tu étais traumatisé. Tu poses ta main sur la poignet et tu as eu peur, tu n'as pas su entrer dedans, tu n'as pas pu, c'était plus fort que toi. Tu t'écartes alors de la voiture. D'un regard terrifié. Tetsuya et la mère de Sanae ne comprenaient pas... Tu les regardes en serrant les dents.

« Je vais continuer à pied... » dis-tu en partant sans réfléchir...

Tu allais passé devant cet endroit pas vrai ? Bah bien sûr. C'était plus fort que toi. Ta mère te manquait tellement alors que ça ne date pas. Ça ne faisait pas un jour. Foutu quinze août de merde, pas vrai ? Tu passes devant l'endroit de l'accident, ça tu t'en souviens bien par contre. Mais ce qui a pu se passer ici, tu es dans le flou total. Tu regardes vite fait... mais aucun corps. Tu lâches une larme avant de partir en direction de chez toi. Mais où est ta maman hein ? Dieu seul le sait.

Les jours passaient, ta grand-mère avait eu un choc en apprenant ça mais ça va mieux au jour d'aujourd'hui. Maintenant tu vis chez ta grand-mère avec elle seule. La pauvre... Elle a perdu son mari et sa fille. Mais toi aussi tu es très triste. Tu as perdu ta maman et ton papy. Mais je vais pas m'attarder sur ses jours tristes. Mais le soutient de tes deux amis t'ont aidé à surmonter ça. Tu les remercierais jamais assez.

Tu entrais donc au lycée. Ton caractère avait encore une fois changé. Mais durant cette année, il reste encore une chose d'importante à décrire. Sûrement quelques petites histoires annexes qui vont avec. Mais cette chose c'est la découverte de tes yeux, ta réaction et comment tu l'as pris. C'est quand même un moment important de ta vie. C'est aussi de là que vient ton changement de caractère. Tu changes, comme le temps. Mais heureusement que tu restes fidèles à tes deux meilleurs amis. Bon, je commence par une histoire annexe où tu étais seul. C'est bien mieux de commencer par la découverte du pouvoir !

Cette année là, tu n'étais ni dans la classe de Tetsuya ni dans celle de Sanae. Vous aviez été tout les trois séparés. Tu étais si grand, seize ans à l'époque. Tu n'avais donc pas les mêmes horaires que tes amis, vous pouviez parfois rentrer ensembles, mais c'était assez rare. Tu trouvais ça dommage mais tu n'avais pas le choix pas vrai ? Tu es encore un peu déprimant à cause de l'incident, tu ne prends plus du tout de voyage en véhicule, seul le train, le bateau et l'avion peuvent passer. Mais en ce qui concerne les véhicules de routes, tu n'oses plus remettre un pied dedans, tu es traumatisé. Continuons donc ta fameuse journée découverte. Tu te baladais... enfin non. Tu rentrais chez toi mais en te baladant en quelques sortes. Tu tournes dans une rue totalement inconnu car tu avais entendu des pleurs. Tu t'approches sans avoir peur et tu remarques des lycéens de troisième année racketter un petit collégien. Ça te foutait les nerfs. Tu était peut-être plus jeune qu'eux mais tu t'en fichais. Tu t'approches posant ta main sur l'épaule d'un des gars.

« Hé les gars, vous avez besoin d'aide ou quoi ? » c'était un ton très ironique que tu nous avais fait ce jour là.
« Qu'est-ce que tu veux toi ? T'en veux une aussi ? » Répliqua-t-il en enlevant brusquement ta main de son épaule.
« Vous frappez un plus petit que vous et vous êtes deux. »
« T'as un problème avec ça ? » il commençait à s'énerver.
« Lâchez-le. » Tu étais toi aussi furieux. Tu n'aimais pas qu'on s'en prenne au plus faible.
« Qu'est-ce que tu vas faire ? ...Me frapper~? »

Il avait tendu son poing vers ta figure pour t'en mettre une main à ce moment là. Tes yeux virent aux rouges. Et tu ne sais pas ce que tu as eu... mais tu as eu le réflexe d'attraper son poing. Tes yeux perdirent alors leurs couleurs rouges. Ils n'avaient rien vu et n'avaient rien compris. Tu sers alors son poing et l'autre gars se tourne vers toi pour te frapper et protéger son allié. Tes yeux revirent aux rouges et encore cette sensation, tu lâches son pied et tu te décales d'un pas pour esquiver. C'était comme si que tu prédissais ses coups. Tes yeux reperdent alors leurs couleurs rouges et il passa en face de toi, tu lui as mis un coup de poing dans le ventre en travers.

« Vous préférez vous en aller maintenant ou alors on continue ? » Tu étais bien plus confiant... c'est fou.
« … » Ils étaient tout les deux énervés dis donc. Tu n'avais pas peur toi.

Ils lâchaient le petit goûter du collégien. Tu le ramasses et tu le tends au petit garçon., il te remercia mais tu lui as dis de ne pas te remercier. C'est normal que les personnes plus fortes défendent les personnes plus faibles. Tu repars en te posant pleins de questions sur cette sensation. C'est quand tu avais le sentiment de vouloir esquiver, ça fonctionnait... qu'allais-tu faire ? Tu rentrais alors chez toi. Saluant ta grand-mère, vous viviez des jours plus ou moins heureux ! Elle jouait le rôle de la maman. Tu entres dans ta chambre pour poser tes affaires scolaires et tu files à la sale de bain pour voir ça de plus près. Te positionnant devant un miroir tu voulais voir ça de plus près et en face de toi. Tu jettes alors ta brosse à dent dans les airs et tu ne regardes pas la trajectoire. Elle redescend et tu as cette envie de rattraper. Tes yeux virent aux rouges. Tu remarques ça directement et tu avais rattraper la brosse à dent. Tu avais été choqué par ce que tu viens de faire. Oui, tu venais de découvrir quelqu'un chose de cool en toi.

En parler à tes amis ? Non, c'est trop risquer... tes yeux changent de couleurs, c'est très étrange. Le rouge est une couleur que tu apprécies. Pourrais-tu trouver des lentilles pour ne pas que ça se remarque ? Tu ne savais pas encore quoi faire, mais tu gardes pour le moment tes yeux naturels. Tu comptais utiliser ce don pour savoir te défendre plus facilement et défendre les plus jeunes. Aujourd'hui, tu te le jures solennellement. Mais a-t-il une limite ? T'en savais rien pour le moment. Peut-être qu'un jour tu sauras...

C'est la seule histoire annexe que je vais raconter. Sinon on pourrait jamais attendre où tu en ai actuellement hein ? Au jour d'aujourd'hui tu as seize ans, tu es entrée en deuxième année de lycée, tu vivais encore chez ta grand-mère, mais en même temps. C'est ta seule famille. Tu n'étais plus du tout dans la même classe que tes amis, tu essayais de te socialiser avec ceux de ta classe, tu y arrivais quand même ! Tu avais clairement changé. Mais tu restes solidaires à tes deux seuls vrais amis. Arriverais-tu a te faire deux autres amis comme eux ? Tu en savais rien ce que cette année te réservait. Tu étais quand même impatient de savoir, l'année prochaine ça ferait un an que ta maman est mort. Tu le vis quand même mal mais tu fais avec pas vrai ? Arriverais-tu un jour à surmonter ta phobie ou à ne plus déprimer en pensant à cet accident~?
ϟ ET TOI?(dieu)


Tu veux savoir quelque chose sur moi ? J'suis admin, problem!?
/!\Risque de grosse modification dans l'histoire à plusieurs reprises/!\
J'ai pas fini encore, je dois faire les couleurs, les italiques, les trucs en grars etc dans l'histoire mais ce soir et les autres jours, flemme.
Je dois sûrement corriger... mais j'ai la flemme.
Je vous aimes quand même je suis une merde. ♥
Et ma capacité est reprise d'accel world problem ? *se casse*
Et mon FC c'est 96neko mais en mode garçon ahah
P.S : Mon histoire fait 7004 mots, j'suis fier de le dire.
P.P.S : En fait elle fait environs 11 300 avec les modifs
P.P.P.S : Obligé de faire un double post, histoire trop longue, je dépasse la limite!
 
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© Rocky-BL pour KPRPG
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MessageSujet: Re: Hyashiro Mitsuki -「100%」   Hyashiro Mitsuki -「100%」 EmptyLun 1 Sep - 18:56

HEY BITCH. (RE) WELCOME. c:

-D'où t'as oser supprimer mon magnifique ancien post ? Admin indigne ! D8-
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