Comment ça vous voulez me connaitre?! Vous n’êtes que des pervers! (fini o/)

Le physique! Essaye de le faire en une dizaine de lignes. Décrit tout ce que tu peux sur ton personnage! Ses tics, son style de vêtements, à quoi on pense quand on le voit...

Une fille toute mignonne physiquement. Féminine et toute kawai ! Avec des cheveux longs et oranges, dont elle prend soin un minimum. Avec de gros nœuds de chaque cotés ! Et des yeux violets ! Rien qu’en la regardant comme ça, vous aurez probablement envie de la câliner, n’est-ce pas ? Bon ok, j’exagère un peu ! Mais on peut le dire, elle a un peu le visage d’une gamine, quand même !

Et cela ne se limite pas vraiment au visage. Avec le peu de forme qu’elle, on pourrait presque la croire collégienne ! Mais pas du tout ! Enfin, elle est plutôt grande quand même, mesurant 1m70 tous pile ! Elle adore les habits colorés, bien qu’en fait elle porte de tout sans problème. Mais la jeune fille est très robe et jupe, sauf en hiver car elle n’aime pas avoir froid ! Et à horreur des collants, oui elle n’est pas pénible la dessus… Souvent le sourire aux lèvres, sauf si on l’énerve. Bref, une vrai jeune fillette en apparence, mais pour le mental c’est autre chose !

Le caractère! Fait le en une quinzaine de lignes. Décrit toute les facettes de ton personnage! S'il possède des maladies mentales, ce qu'il pense des gens, s'il est social, si on lui dit qu'il devrait être moins égoïste ou moins arrogant, ou que sais-je!

Hum ? Le caractère de cette fille ? Et bien…. Bonne chance si vous la croisez, car elle n’est pas facile du tout ! La jeune fille ne manque pas… De vulgarité ? C’est le cas de le dire ! Car dans chacune de ses phrases, vous pouvez être sûr de trouver au moins une insulte ! La jeune fille n’a pas la parole délicate, loin de là ! Donc pour ceux qui la rencontreront, ne soyez pas dérouté par ses doux mots ! Violente également, elle sait utiliser ses poings, et d’ailleurs n’hésite pas du tout à cogner ! Surtout si on la cherche, en fait ! Donc autant dire qu’Eirin ne se laisse pas marcher sur les pieds !

Féminine à l’extérieure, elle en est pas moins garçon manqué à l’intérieure. Têtue, elle déteste abandonner ! Et dire qu’elle a tort, c’est une chose impossible pour elle. Donc vous l’aurez compris, si vous lui tenez tête soyez courageux ! Mais en fait, elle n’est pas méchante pour autant ! Juste qu’elle a une sincérité bien à elle, et une joie de vivre particulière ! Car oui, Eirin aime la vie. Et puis, malgré son manque de délicatesse, la jeune fille est sociable, d’ailleurs elle aime se faire des amis ! La solitude, la jeune fille n’aime pas ça. Et puis ce n’est pas une peste non plus, d’ailleurs elle déteste ce genre de personne méprisant !

Et puis détrompez-vous, malgré ce côté garçon manqué, la jeune fille adore tout ce qui est mignon ! D’ailleurs ça se voit quand même à son physique féminin, mais si vous avez l’occasion un jour d’aller dans sa chambre, vous y verrez plein de peluche toutes mignonnes ! Mais la traiter comme une petite fille, elle n’aime pas trop ça… Sauf si vous êtes un proche, elle en rougira surement ! Enfin, malgré tout elle est assez insensible aux histoires violentes.

Que dire de plus ? Que la jeune fille est assez sérieuse, dans les cours ? Oui voilà, elle essaye de l’être, du moins ! Même si dans certains cours, la jeune fille feignasse. Mais elle est plus douée pour la révision dans sa chambre, sans un prof qui vient l’énerver !

Son seul souci dans la vie, c’est son pouvoir. Qu’elle ne maitrise pas du tout d’ailleurs ! Du coup, elle entend souvent les peurs de ceux qu’elle regarde, même par accident ! Donc quand ça devient trop, on peut la voir marcher rapidement baisse tête, en grognant.

L'histoire en 30 lignes! Il faut que tu expliques tout ce qu'il s'est passé, de sa naissance jusqu'à sa mort. Et s'il est étranger, sa venue au Japon. Essaye d'expliquer ce qu'il s'est passé après la découverte de ses pouvoirs! Cette partie est très importante, il ne faut pas la négliger!

Le passé n’est jamais une chose joyeuse… Pour elle, ça ne l’était pas. Mais prenez bien le temps de lire ces quelques lignes, et surtout ne vous apitoyez pas à ce sort, qu’elle a même choisi.

Petite, tout allait bien. Il y avait comme tous enfants normaux, un père et une mère. Pour elle, on lui avait même donné un grand frère. Un frère qu’elle aimait beaucoup d’ailleurs, malgré leurs 7 années de différences. Enfant, elle le collait toujours. Peut-être trop ? On ne sait pas vraiment, mais il était si gentil avec elle. D’ailleurs quand ses parents n’étaient pas là, il s’occupait d’elle avec grand soins !

Ses parents eux aussi, étaient aimants. Même si ils travaillaient dur, et donc était peu souvent présent. C’était toujours le bonheur, quand ils étaient là. Tous les jours étaient un cadeau, quelque chose de précieux. Quelque chose qui ne pouvait pas se briser…. Sauf quand ce rêve, une fois de plus, se détruisait pour faire place à la vérité.

Car ce bonheur familial n’était qu’un rêve, un espoir d’une famille idyllique que la jeune fille de 8 ans espérait. C’est vrai, son grand frère là pour elle, mais ses parents, non… Après tout, le père ne pouvait pas avoir d’enfants… Besoin d’un dessin, en regardant les deux enfants ? Oui, ils venaient d’un amant de la mère, il a fallu que la petite prenne les cheveux orange de son vrai père pour que cela s’apprenne. Alors oui, les deux enfants n’étaient pas aimé, et la mère n’arrangeait pas les choses, vu qu’elle ne voulait pas d’eux.

Du coup, quand les parents finirent par divorcer, la garde a était donné au père, la mère ayant disparu avec son amant sans rien dire. Après tout, elle détestait les enfants, donc c’était normal… C’était ce que se disait cette petite rouquine, qui acceptait son destin facilement, trop facilement. Mais ce n’était pas grave pour elle, même si son « père » la traitait avec mépris, comme son frère d’ailleurs. C’était la seule personne on peut le dire, qui lui rendait le sourire. Ce frère qui d’ailleurs, a commencé à travailler dur pour subvenir à leurs besoins, mais surtout à ceux de la petite Eirin. Elle ne le voyait pas, qu’il se sacrifiait pour elle… Ou plutôt, elle n’en disait rien. Car son inutilité pour l’aider la rendait malade…

Quant au père, il devenait de plus en plus alcoolique. Au point qu’a force, il commençait à devenir violent avec les deux enfants. Et Eirin, une fois de plus, n’en disait rien. Non, elle acceptait les coups, en silence. Alors son frère agissait pour elle. Au fond, elle n’était probablement un poids pour lui, n’est-ce pas ? Et pour ça, elle ne faisait que s’excuser, sans agir malgré tout…

Comme ce jour-là, le jour où tout c’est détruit encore plus que ce ne l’était déjà. En rentrant d’une sortie, un jour de grande chaleur, le 15 août précisément, des cris se firent entendre. La voix du père comme toujours, insultant le fils qui lui répondait. Ouvrant la porte doucement, un peu par peur, elle fit son père frapper violement le fils, qui finit par se cogner violement la tête contre le mur. A deux doigts de la mort, la jeune fille put tout simplement entendre son frère lui ordonner de fuir. Mais elle ne put pas, tout effrayé et choqué à la vue de son frère mort… Elle finit étranglé par son père, qui lui hurlait qu’ils n’auraient jamais dû vivre.

Et cette journée, elle se répeta. Combien de fois, la jeune fille ne le sait plus. La seconde fois que cet instant existait, en tentant de fuir elle a glissé des escaliers. Une autre fois, elle a voulu rentrer plutôt pour sauver son frère, mais ils ont été tous les deux poussés par la fenêtre. Combien de fois, cette journée se répéta, de façon si horrible ? Et à quel point, au fond cet évènement la faisait changer, pour devenir plus réactif. Cette fois ci, elle mettrait fin à cette boucle.

Elle le savait, qu’il n’y avait qu’un seul moyen, pour ça. Elle arriva devant son père et son frère, avant que celui-ci meure. Lui attrapant le bras, elle se mit à courir, échappant au père qui était à deux de les jeter une fois de plus par la fenêtre. Elle fuya avec son frère dans la rue, avec le père qui les poursuivait. Une longue course… Elle en était despéré, elle savait en fait qu’elle avait encore échoué, que son père les rattrapèrent et les tuerait… C’est alors qu’elle sentit la main tenant son frère se faire lâcher.

-... Je vais faire diversion Eirin… Fuis, je t’en supplie !

Elle fit de gros yeux, voulant refuser… Mais son frère la poussa, la faisant avancer. En entendant le père hurler, le frère fit demi-tour pour revenir vers lui… Et Eirin fuit. Courant à perdre haleine, elle ne savait pas où elle allait. Et elle courait tellement, qu’elle finit par perdre conscience…

Ce fut alors le noir. Elle se réveilla, allongé sur un banc. Une drôle de sensation en elle. Pensant à son frère, elle s’assit rapidement.

- …. Tu devrais ne pas trop bouger.

Surprise, elle regarda à côté d’elle. Une veille femme la regardant, d’un air et d’un sourire doux. Elle lui expliqua qu’elle l’avait trouvé écroulé sur le sol, et qu’elle l’avait allongé ici en attendant que l’hôpital arrive. Eirin la regarda perplexe… Et son frère, où était-il ?! Malheureusement, il n’était pas vers elle. Et même quand elle fut emmené à l’hôpital pour vérification sur son état de santé, il ne venu pas.

L’autre surprise venue au moment où elle se regarda dans le miroir…. Des yeux rouges ?! Quoi ?! C’était quoi, cette histoire ? Elle recula, effrayé. Quand une infirmière arriva, un plateau dans les mains.

- Je vous ai apporté le repas !

Elle regarda l’infirmière, un peu pale, ne comprenant plus rien… Et d’un coup, elle vu comme une étiquette sur cette infirmière, ayant marqué dessus « Peur d’être renvoyé »… Quoi… ? La femme de tout à l’heure revenu aussi, voulant voir si elle allait bien. Une autre espèce « d’étiquette » apparu face à la veille femme, sur lequel état marqué « Peur de la solitude »… Et cette femme même à sa plus grande surprise lui proposa d’habituer chez elle, quand elle lui expliqua qu’elle ne voulait pas retourner chez son père. Quelque chose ne tournait plus rond, elle en était persuadé…

Et ça continuait, en plus. Dès qu’elle sortait, tous les regards lui montrait une de ces fameuses étiquettes, tout aussi effrayante les unes que les autre. Du coup, elle apprit à se forger à caractère, afin de ne pas prendre peur elle-même de ces drôles de manifestations. Elle vivait chez cette vieille femme, qu’elle a fini par adorer. Travaillant aussi, afin de se payer les études et aider cette femme du mieux qu’elle pouvait. Elle cherchait aussi son frère, qui avait mystérieusement disparut. Mais elle n’abandonnait pas, au fond…