La provocation est une seconde nature - 「Completed」

Sexy ? Sexy. Un mètre soixante-deux de forme généreuses et deux merveilleux atouts de charme qu'elle montre sans complexe. C'est vêtue d'une jupe plus courte qu'acceptable et d'un joli pull noir décolleté qu'elle se pavane dans la rue. Elle ne quitte jamais sa veste fétiche extirpé à son ex, été comme hiver. C'en est presque si elle dormirais avec. Il en vas de même avec la chaussette hautes car elle ne supporte pas dévoiler ses jambes qui sont théoriquement « pour le dessert ». Lorsque cela est possible, elle « s'offre » de jolie robes luxueuses, hors de prix. Elle n'est pas une très grande fan de chaussures même si il lui arrive de porter très souvent des talons. Ses préférée restent ces petites bottines à talon dans l’inspiration dock martins. Avec, elle cours comme elle danse, elle castre comme elle séduit.

Belle. Un visage fin, des traits raffiné parfois rieur. Personne ne passe à coté de cet étrange charme mystérieux qu'elle dégage indéniablement. Elle attire, se fait convoiter pour son plus grand plaisir. On pourrait presque lui faire confiance dès le premier regard avec son petit sourire craquant.
Elle arbore des yeux marron teinté d'un léger rouge qu'elle tient de son bâtard de père dit-elle. Ils se marient merveilleusement bien avec sa tignasse  noir corbeau qui flirtent délicatement avec les pans de sa jupe. Elle pends soin de ses cheveux depuis le collège et il n'est pas question de la couper, sauf pour les entretenir. Arme féminine oblige.

Look at me !

De façade, Asa n'est pas si différente de celle qu'elle pourrait bien être au fond. Elle se montre juste plus douce, plus attentionnée. On voit facilement qu'elle est une fille féminine, délicate et intelligente. Quelqu'un de charmant qui sait comment s'y prendre avec les hommes … et même avec les femmes. Elle peut se montrer extrêmement souriante et sympathique mais elle ne répondra pas à vos attente contrairement a ce qu'elle laissera sous-entendre. C’est elle qui dirige sa vie et ceux qui l'entourent. Lorsqu'elle veut un truc, elle ne le dira pas deux fois et elle l'aura que vous le vouliez ou non.

Don't stare at me.

Si cette façade existe, c’est bien pour son propre bénéfice. C’est une comédienne née. Il faut dire que la jeune fille arrive à très bien  mener sa vie de cette façon. Elle achète le silence de ses amants et faits chanter ses amis. Elle reste sans scrupule face aux autre car ce qui l'importe le plus, ce sont ses propres envies. Elle a d'ailleurs très vite compris a quel point l'homme était un abrutit fini facile à manipuler.

Provocatrice, elle n'hésitera pas à crier haut et fort que c'est elle la reine et qu'elle doit être traitée en tant que tel. Et bien sûr, elle se fout éperdument de votre avis. Elle fait d'ailleurs, ce qu'elle veut, quand elle veut, avec qui elle veut. Gare à vous si vous daigner la rejoindre, elle vous fera certainement comprendre que vous n'avez pas le choix. Elle est passée maître dans l'art de la castration ainsi que dans le maniement du couteau. A vos risque et périls si vous refusez, vous risquez bien de perdre ce que vous avez de plus cher. En plus,elle n'éprouve aucune pitié a faire souffrir les gens car après tout, chacun dans sa merde, si le monde est cruel, tempi pour vous.

Elle ressent un certain plaisir a énerver les gens, en particulier si ils lui sont hiérarchiquement supérieur. Elle ne supporte pas être dirigée. De cette façon, elle fout très souvent le bordel dans le groupe, créant suspicion et malentendu sur malentendu. Regarder les gens se battre pour une raison qui lui permettra de renverser les choses à son avantage la fait doucement rire. Au final, les autres font le travail à sa place, ils lui déroulent le tapis rouge, lui tracent une voie et elle, n'a qu'a marcher tranquillement dessus. Gare à vous, elle pourrait très bien prendre votre poste au sein du groupe si vous n'y prenez pas garde car la réussite facile est ce qui l'intéresse le plus. Il faut savoir la faire tenir à sa place même si cela pourrait être proche de l'impossible.

Inside of me

Bien que très indépendante, lorsqu'elle s'attache à une personne elle n'hésitera pas à faire de petits geste pour son bien. Elle aura beau être incroyablement chiante, si elle tente de vous faire comprendre un truc indirectement, elle ira jusqu’à bout quitte à vous énerver. Et oui, Asa n'aime pas  dire les choses directement lorsqu’elles vous concernent.
En amour, elle a fini par laisser tomber l'idée de sa trouver le mec parfait ou même de tomber amoureuse. Par ce que rien ne sera aussi parfait qu'elle même, elle ne trouvera jamais son double si ce n’est en face d'un miroir. Désormais, son corps n'est qu'un outil pour parvenir à ses fins.

I like ...

Tandis qu'elle se procure de l'argent de façon douteuse, elle n'hésite pas à tout dépenser dans le shopping. Aussi insupportable qu'elle puisse être, le seul moment ou vous le l’endenterez par, c’est lorsqu'elle sera en cuisine. Il s'agit là de se première passion qu'elle tachera de faire taire jusqu’à que vous le découvriez. Elle a aussi une collection vertigineuse de couteau en tout genre, certains pour la cuisine d'autres pour « s'amuser ». Son couteau a cran d'arrêt ne la quitte jamais ou qu'elle aille, il est toujours planqué dans la poche de sa veste.

... & hate

Elle déteste par dessus tout qu'on la prenne de haut ou qu'on lui fasse comprendre qu'elle est inférieur. Elle veut toujours avoir raison quitte à vous faire gentiment comprendre que vous avez toujours tord même quand ce n’est pas le cas. Elle n'aime pas que l'on parle de sa famille et de son passé c’est pour cela qu'elle ment sans foi ni loi a ce sujet. Elle ne dira rien a moins que vous arriviez à faire chanter le maître chanteur.

The begining…

Ta vie a commencé dans la merde. Ta mère était qu'une putin doublé d'une conne qui a cru dur comme fer en l'amour parfait ! Mais que pouvait-elle attendre d'une homme marié et infidèle ? Bordel ! Elle n'était que son jouet. Elle était tellement aveuglé à l'époque qu'elle ne t'a même pas vue arriver. Aussi naïve qu'elle était, elle pensait qu'il allait la quitter, sa femme, demain quand elle lui dirait que t'es là toi. Te connaissant, tu aurai ris à n'en plus finir tant cette idée était absurde.
Comme on pouvait s'y attendre, il l'a quitté dès le lendemain. Pas sa femme, mais elle, la catin du 34. Elle a sombré dans le désespoir, s'est mit à boire et à se droguer un peu avant de se dire qu'elle pouvait te garder. C’est peut être ça qui t'a rendu aussi taré.
Puis finalement t'es née un soir de Février alors que la pute 34 bouffait ses dernière économies.   Elle s’occupait pas mal de toi au début mais a la fin elle en a eu marre. Tu comprends avec toi elle pouvait pas travailler. C'était suffisant pour faire la manche mais rien d'autre. Alors tout ce qu'elle a su faire c’est te laisser au bord du trottoir durant des heures quand elle travaillais. Parfois même des jours dans une montée. Elle était heureuse que les habitant s'occupent de toi, c'était des frais en moins.

… Of childhood.

T'a été placée finalement par ce que ta mère était incapable de t'occuper de toi. C’est con hein ? En même temps bien fait pour elle, elle était barge. Au final, t'a passé ton enfance a naviguer de famille en famille. Personne ne semblait suffisamment faire attention à toi, tu sentait au fond de toi que tu valait mieux de ça. Toutes ces valeurs comme le partage ou le respect tu t'en foutait déjà à l'époque. T'était juste une gamine capricieuse et intenable.

May I love you …

Puis le temps à fait les choses, t'a commencé à a grandir, devenir une « femme » comme on dit souvent a cet age. Au collège, t'avais la classe à tes pieds. Au lycée, t'avais les homme a tes pieds et les filles le plus cool dans ton groupe de potes. Tout le monde t'appréciait sans se douter, qu'au fond, tu les prenais de haut comme de pauvre misérable. Ils ne t'arriveraient jamais à la cheville, tu étais trop bien pour eux, ils étaient juste assez suffisant pour combler ta solitude et te divertir de temps à autre.
Le soir quand tu le pouvais, tu te rendait dans les quartiers chauds de Makakushi city. C'était tellement simple de faire croire à ta tutrice que tu était avec des amies et dire dire à tes amis que tu révisais. Tout le monde y croyais, il ne fallait pas le répéter deux fois.
En ce moment t'avait un client à la botte, il te demandait souvent. Tu lui avait dit que tu avais 21 ans, t'avait-il cru ? Mystère … C'était les règles du jeu.

Tu pénétra doucement dans la petite cafeteria. C'était un coin assez cozy, ou toutes sortes de bande d'amis et autre couples venaient passer la soirée ou bien terminer leurs journées. En bonne habituée, tu demandais souvent au patron de te réserver la place au fond. Ces deux petites banquettes au fond à l’abri des regards indiscrets. Tu t'y installa sans soucis tout en regardant les environs. La café était calme a cette heure-ci. Le temps que Taishi vienne, tu en profita pour refaire ton maquillage et te préparer à ce qui allait suivre. Ce type était quand même pas mal pour ses vingt cinq ans. Pour le coup, rien à redire. Sa petite amie l'avais lâchement plaqué et lui croyait que cette magnifique jeune fille pour qui elle se faisais passer allait changer sa vie. Quel idiot.

Cette soirée passa, puis une, puis deux … Tu ne pu t'arrêter de le voir. Il te payais toujours mais progressivement, sa simple présence à tes cotées prenait le pas sur l'argent. Mais que t'arrivai-t-il ? Tu avait pourtant trouvé ce type banal, voir au mieux pas trop mal. Mais aujourd’hui, il était tellement différent à tes yeux. Sa pourrait-il que … ? Non. C’est insensé !

Une nouvelle rencontre. Ça faisais deux mois maintenant. Toujours au même endroit, à la même heure. La nuit hivernale commençait à se poser doucement sur Mekakushi city tandis que tu l'attendais. Une nouvelle fois il vint à toi avec ce même sourire qui te faisais frisonner, tu ne savais pas pourquoi. Et puis entre deux conversation tu déclara soudainement.

_ Tai' fais moi une promesse.
_ Quoi donc Asakumi ♥ ?
_ Ne sors plus jamais avec une autre femme.
Tout d’abords interloqué, il se mit en suite à rire.
_ Et pourquoi donc ?
_ C’est pourtant évident ! Ne me fait pas répéter deux fois ce que j'ai dit !

Ça devait être clair pourtant ! De toute façon tu ne l'aurais jamais dit à haute voix, tu était trop humble envers toi même pour te laisser aller sur ces quelques mots.  
A partir de ce moment, le rendez-vous resta le même mais ce n'était plus le même homme que tu avait en face de toi. C'était ton petit ami. Tu était folle de lui. Une vrai prince comme tu en rêvais, il te traitait comme il fallait.
Les mois qui ont suivit cette rencontre resterons à jamais gravé dans ton âme. Tu aura beau les nier, les modifier, ils seront là, dans ton cœur, dans tes yeux. Tu l'aimais ce Taishi.

… Or I lost you ?

15 août. Chaleur écrasante et pas un brin de pluie depuis des semaines. Les canicule quoi. Rien à faire tu fondais dès que tu mettais un pieds dehors. Enfin, c'était les vacances tu ne pouvais pas te peindre éternellement contre ce monde aussi imparfait qu'il soit. Bien que des fois, tu souhaitais le foutre en l’air. Il n'y aurait rien de mieux que de pouvoir contrôler le monde pour le rendre parfait.
Tu n'arrivais plus à contacter Taishi depuis quelques semaines. Au départ, tu a cru à un problème d'argent, rien de plus normal, tout le monde arrive à sec à un moment ou à un autre. Mais tu t'es vite rendue compte qu'il ne venait même plus aux rendez-vous. Dire qu'hier tu avait poireauté comme une merde sans jamais le voir arriver. C'était la 2e fois quand de même ! Et cette fois-ci aucune excuse foireuse pour faussement te rassure. Non rien. Nada.
Par ce que cette absence te paraissais longue, tu avait entrepris d'effectuer quelque recherches sur ton amant. Il était rare que tu tire profit de ton réseau d'information « undercity », mais cette fois-ci il te fut bien utile. Il ne t'a pas fallu deux heures pour trouver où il habitait. Sans frapper, sans sonner, tu y était entrée.

Là se tenait un amas d'ordure tandis que nombre de bouteilles vide jonchaient le sol. Et c'était bien sur sans parler de l’odeur nauséabonde qu'il y régnait. Quelque chose te tracassa immédiatement, ce n'était pas normal. Ne t'avait-il pas dit qu'il ne pouvais pas, ou bien très peu ? Te te faufila tel un félin à travers l'appartement jusqu’à déboucher sur une modeste pièce tout aussi en bordel que les autre. Allongé sur le canapés trouvais celui que tu cherchais. Il dormis paisiblement alors tu n’osa pas t'énerver, ou du moins, pas immédiatement.
Au bout d'un certains temps, il ouvrit les yeux, un peu éberlué de te voir il te demanda ce que tu faisais là. Il puais l’alcool à plein nez et ne semblait pas avoir touts ses esprits. Ses pupilles étaient dilaté. Avait-il pris des stups' ? Tu n'y fit pas attention et tu lui répondit de façon attentionné.

_ Bien je suis rentrée, j'étais inquiète tu sais ?
_ Inquiette …. p-p-pour moi ?

Il avait du mal à formuler ses phrases et toi tu cachais tans bien que mal ton dégoût pour l'alcool.

_ Oui …

Son expression se fit perplexe puis il sembla se plonger dans une réflexion si intense que tu cru ne pas pouvoir l'en sortir. Finalement il se leva et se dirigea vers le balcon avec difficultée.

_ Asakumi … J'sais pas, faut que j'te dise un truc.
_ Je t'écoute tu sais … Tu peux tout me dire !

Tu souris faussement, le sourire magique qui mettais tout le monde en confiance. Pourtant il ne répondit pas avant un long moment.  Etait-il torché au point de ne plus savoir ce qu'il devais lui dire ? Ça ne devais pas être aussi important que ça au final …

_ Désolé … Désolé … C'est fini.
_ Quoi ?
_ Toi, moi, mon compte en banque, ma vie.
_ Tu plaisante ?!

Tu t'étais levée d'un bond, ta voix s'était élevée toute seule sans que tu ne puisse le contrôler. Taishi avait mécaniquement fait un pas en arrière, sûrement surpris d'une réaction aussi violente.

_ J-j-je suis désolé Asakumi, je t'ai trompée.
_ NE M’APPELLE PLUS JAMAIS COMME CA !

La colère montais en toi comme un torrent de lave que tu étais incapable de stopper. Ton cœur l’animait avec force. Sans réf fléchir tu t'approcha de Taishi et tu l'agrippa avec force au cou. Il mit ses mains sur le tiennes dans l'espoir de se dégager. Tu serra encore plus. Il recula, encore, pas par pas, il en vin à toucher la rembarre.
C'était un instant, un simple un instant.
Une seconde.
Tes pieds avait quitter la terre ferme. Tu a vu le sol arriver puis plus rien.

Tu ouvris les yeux et te redressa soudainement, le souffle haletant. Ton cours battait à la chamade et ton corps se vidais de sa sueur. Quel rêve étrange … Aussitôt tu braqua tes yeux sur le réveil. Nous étions le 15 août et il était 03:45 du matin. Tu te rendormis en te demandais si tout cela avait été bel et bien réel.
Le lendemain, 15 août. Chaleur écrasante. T'avais beau avoir mis ta tenue le plus courte, rien y faisais, tu suais de tout ton corps. Il n'y avais pas plus depuis des semaines dans cette région.
Tu ne voyais plus Taishi depuis la dernière pluie. La première fois il t'avais prétexté un trop problème d'argent …

Puis les rêves s’enchaînaient les uns après les autres … Tu a fini écrasée, étranglée, poignardée et peut être même violée. Tout allait si vite, tu ne ne t'en souvenais pas. Car pour toit tout n'était qu'un éternel recommencement. Y'avait-il un fin à cela ?

15 août pour le 188e fois. Même temps, même chaleur, aucune pluie. Taishi n'était évidemment pas revenu et tu n'avais pu exprimer ta colère, pas encore.
Tu entra dans son appartement, il était 12:25. Rien n'avait changé, même dépotoir, même bouteilles que tu enjambais inlassablement. Sans surprise, tu le découvrit sur le canapé. Tu resta au bas de la porte, cela ne servais à rien de s’asseoir à ses cotées.

_ Taishi … C'est quoi ce bordel ?

Aucune intonation dans ta voix, tu étais tellement lasse en même temps. Il tourna la tête vers toi et te regarda sans être étonné de ta présence.

_ Désolé, j'ai oublié de ranger … Je le ferais demain.

Il n'y aura pas de demain. Demain est aujourd'hui et aujourd'hui étais hier. Ce rêve n'a pas de fin. Était-ce donc ça la mort ? Avait-elle fait quelque chose de mal pour finir ainsi, emprisonnée à jamais dans cette boucle intemporelle.

_ Tu ne viens plus aux rendez-vous qu'es qu'il se passe ?
_ Il faut que je te dise un truc Asakumi …

Au lieu de se diriger vers la balcon, il préféra la cuisine. Tu le suivit jusque là.

_ Désolé, c'est fini , toi moi, mon argent. Je peux plus.
_ HEIN ?!

_ Je t'ai trompé avec mon ex.

Silence.
Avec son ex … ? Il ne te l'avais jamais dis !
Tu t’ébranla sous le coup de la colère. Un un rien de temps tu retrouva les mains à son cou en train de l’étrangler. Il se dégagea et te balanças au sol.

_ T'es folle !

Tu le regarda avec tout la rage de ce monde. Tu le haïssais plus que tout au monde. Tu n'avais pas été assez bien pour lui ?! Et les efforts que tu avait fait durant ces derniers mois, c'était du vent ? Juste pour la rigolade. Il ne réalisait donc pas à quel pont tu t'étais sacrifié pour lui ?!
Ta main toucha quelque chose de froid… du métal ? Tu jeta un coup d’œil, il s’agissait d'un couteau à cran d’arrêt. Que faisais-il au milieu des sacs ? Il ne te fallu pas dix minutes pour savoir ce qu'il allait advenir de ton cher ex-petit copain.

_ Qu'es qu'il t'a pris ?! Dis moi ! Dis moi ! Dis moiiiii !!!
_ Je-je-e … Je sais pas.

Tu te leva d'un bond.

_ Taishi, j'ai pris soin de toi comme jamais, tu est le seul que j'aime, t-tu ne peux pas me faire ça.

D'une main tu ouvrit le couteau lentement...

_ Asakumi, j'ai dis que j'étais DÉSOLE !

...la froide lame se trouvais désormais au bout de tes doigts.

_ Et tu crois que ça suffis ?! Sérieusement ?! Je t'ai dis de ne plus m’appeler comme ça !

Tu t'approcha lentement de lui tandis que tu prononçais ses mots.

_ Pour toi ce sera …

Tu planta froidement le couteau dans la carotide.

_ ...Tsukimi-san.

Il eut une étrange expression entre l’extrême douleur et l’incompréhension puis son corps tomba lentement contre le mur. Si seulement il t'avait obéillit, si seulement il avait sur combler tes envies, il ne serait pas mort ce jour là. Au fond de toi même, tu souhaitait pouvoir soumettre les gens à ta volontés, pouvoir les contrôler. Tu te promis par la même occasion de ne plus jamais faire confiance à un homme, en général. Tu ne croirais plus qu'en toi même quoiqu'il arrive.
Tu attendit un moment, tu le vit blêmir, se vider de son sang. Tu attendais éperdument de pouvoir te retrouver a nouveau dans ce lit ou tu avais vécu ce même jour sans relâche. Au final, il n'était plus là. Était-ce donc fini ?

Tu décida de quitter l’appartement. Au moment de franchir la porte, tu fut prise d'une peur irrationnelle. Et si on devinais que c'était toi ?Ton regard se porta finalement sur ce vieux blouson que ton ex-désormais-mort portait souvent. Tu le mis mal grès la chaleur et tu quitta l'appartement.

I got the power …

Les mois qui suivirent avait été vécu dans la crainte que l'on te soupçonne. Mais au final, l'affaire avait été close a cause du manque de preuve. Normal, celle-ci se trouvais dans la poche droite de ton manteau. Ah, qu'il étais bon de narguer la police de cette façon .. si ils savaient. On l'avais bien sûr interrogée mais aussi bonne actrice qu'elle étais, il ne lui fallu pas plus d'effort pour simuler un choc profond.
Tu pensais que cela était parfaitement fini, qu'on en reparlerais plus.
Et puis un soir, alors qu'un de tes client sa faisais instant tu le fixa dans les yeux.

_ Meurs. Je n'ai pas besoin de toi pour être heureuse.

Et l'inattendu se produit. Il sortit un flingue gros calibre de sa porche et le planqua sur sa tempe, prêt à tirer sur la gâchette.
PAN.
Tu avais tiré sur son bras de justesse, le coup était partit brisé une vitre à l'étage du dessus. Tu ne su pas vraiment ce qu'il s'était passé cette nuit là. Une chose était sûre : le mec t'avais payé bien plus que d'habitude et tu t'en étais réjouis.

… To destroy everything here.

Les mois sont passé depuis, cela fera presque un an que t'a sauvé ce type. Entre temps, tu a eu le temps de comprendre ce que tu avait acquis en tuant ton ex. Une sorte de pouvoir surnaturel, un peu comme dans les série américaines. Le tiens semblait te permettre de contrôler les gens, ou du moins leurs corps lorsque tu arrivais à te « connecter » à eux. Cela ne durais pas long temps. Une minute, tout au plus selon les personnes.
Entre temps tu avais entendu parlé de cet étrange groupe qui foutait un peu la pagaille dans la banlieue. Au départ, on t'avais demandé si tu avais des infos sur eux, histoire « qu'on leur pète la gueule à ces tafiole » comme  avais gentiment dit un dealer. Alors, curieuse, tu n'a pas attendu d'en savoir plus pour aller chercher des informations. Mais ta recherche se révéla en vérités infructueuse. Tu tentât tout de même le coup pendant plusieurs semaine.
Un jour tu croisa un gars en train de taguer sur un mur dans une ruelle.  Akame Dan is staring at you. Tu étais assez nulle an anglais mais pas trop bête pour comprendre qu'il faisais partit de ceux là.
Un peu de charme, de la curiosités, la preuve de l’existence de tes pouvoir et le tour étais joué. En plus le type avait été extrêmement courtois avec toi,  c'était tout de même rare pour une fille des bas quartiers tel que toi.
Tu étais impatiente de tous les rouler dans la farine mais tu étais certainement loin d'imaginer ce qu'il t'attendais.