Winter Maze Summer Haze

Sachiko est assez calme, isolé et ne parle pas tant que ça, coupant même ses phrases. Elle se sent mal à l'aise au contact visuel et n'aime simplement pas s'asocier de trop aux autres. En effet, personne, à part son frère, n'a jamais réussi à vraiment la connaître, elle qui s'évade avec sa rapidité à courir. Ce qui est domage, car au fond, elle n'est pas si méchante. Elle peut avoir des côtés agréables... Je vous les dit? Voilà, même si elle-même n'a pas beaucoup de confiance aux autres et a une étrange paranoïa sur les aliens, Sachiko sait être une bonne confidente. Oui, elle est supportif et compassionante; n'accepte aucune pure injustice et méchanceté, alors, même si elle ne connaît pas la personne, elle ne s'empêche pas de l'aider si c'est 'grâve'. Sachiko a aussi une grande détermination en ce qui lui tient a coeur; quoique, il lui ait difficile de nié la réalitée. Au cours de sa vie, Sachiko semble avoir toujours voulut 'protéger' son petit frère, jusqu'à risquée sa vie.. ça laisse à croire aussi qu'elle a toujours aimer le passer avant elle.

Saviez-vous qu'elle est patiente? Elle l'est. Même si ça donne plus l'impression d'ignorer les autres, ayant même redoubler une année scolaire à cause de son manque d'intêrét en classe, s'endormant par simple ennuie... Il est rare qu'elle ne s'ennuie pas et qu'elle ne porte pas un 'j'ai pas dormi toute la nuit' regard. Si on lui demande ce qu'elle pense.. ne pleurez pas si elle est franche. Car elle l'est! Sachiko dit ce qu'elle et 'parfois' sous forme de plaisanterie car elle, qui aime les blagues, s'amuse quand elle aggace quelqu'un...···Ce qui l'aggace encore plus. Aussi, l'insulter ne servira à rien! Elle s'en fiche~

Sachiko a toujours eu un côté possesif, allant même à espionner avec qui son frère se liait d'amitier avec... Ayant parfois des moments de jalousie.
Ce qui est certain est qu'elle perd tout contrôle d'elle-même si quelque chose venait d'arriver à quelqu'un ou quelque chose qu'elle tenait à...

I

....Aah, bon okay.

Peau blanc pale, mesure environ 1m69, maigre et a pas vraiment de rondeur. Des cheveux marrons foncés court qui tombe un peu dans son visage; a des yeux d'un orange très clair. Porte un coll-roulé noir qui couvre une demi de ses mains, avec un gilet blanc un peu large qui tombe de l'épaule droite et recouvre presque la totalitée de cette main. Porte des collants blanches sous un short marron et des bottes sans talons de la même couleur; emménent aussi toujours avec elle un large sac à main où elle range ce qu'elle tiens le plus au monde: Son art. A quelques problémes pour voir au loin, refuse pourtant de mettre des lunettes. A une bonne endurance physique et des mouvements assez rapide et fluide, surtout au niveau de ses jambes; cours plutôt vite, quoique parfois elle finit par se frapper contre des trucs.. Et puis sa 'fainéantise' la retarde. Je trouve que c'est un terminator puisqu'elle ne répond pas à beaucoup de douleur physique, en réalitée, elle ne veut juste pas montrer aux autres qu'elle a mal, mais pourrait bien se roulée par terre mentalement. A horreur des temps chauds et si elle le pouver, Sachiko se baladerrait en pull-extra large d'homme TOUT LE TEMPS!..  Plusieurs blessures aux mains à cause de son obssesion au dessin.

~
Une cloche sonna encore et encore dans cette journée glacial d'hiver où un nouvel être vint au monde. Quel joie! Quel bénédiction! Que même le chiffre 'Treize' n'aurait pas put être taché. Son enfant dans ses bras, faible aprés cet éffort, la mère laissa échapper un regard vers la cloche de l'église qui vibrait au-dessous d'eux. Quel enfant bénie, oui, Sachiko tu l'es! Mais..alors..pourquoi le treize ne semble que revenir en force?
...···

Because, no blessings can change the cruel fate!

Une enfant comme toute les autres. Une maman, Un papa, un frère. Sachiko étais toujours heureuse. Tout..allait bien dans le meilleur des monde.
Puis Hanako, sa mère, est morte d'une malformation des poumons. La mort, quelque chose d'aussi simple, d'aussi rapide et si tragique. C'est étrange, elle pouvait encore sentir son parfum. Se souvenir des drôles d'histoires qu'elles se racontérent et à quel point c'était drôle de la voir bouder à cause des 'relations' que son père avait avant.
Le soleil brillait énervament le jour des funérailles, dans ce petit village où tout le monde se connaît. Des arbres, des maisons et des habits en noirs et blancs pour pleurer la mort d'un être chéri. Oui, le luminaire céleste semblait rire, se moquant bien du malheur qui venait de se produire.

Et elle, la premiére enfant de Hanako, ne comprenait pas. Serrant une des mains de son père, Sachiko ne comprenait pas: Pourquoi Maman nous a quitter comme ça?
Donc..elle ne la vera plus jamais, c'est finie? C'est ça la mort?
Une réalisation nausséuse lui frappa l'esprit, n'étant qu'une enfant de huit-ans à l'époque. Une réalisation qui boulversa toute sa vie: Tout le monde te quittera un jour pour rejoindre cet mort et ce jour là, tu sera tout seul.
...···

Deux ans plus tard, les Yuzuki déménagérent à Mekakucity. Sachiko trouvait la ville plutôt intéresante, parfaite pour un envahisement extra-terrestre! Elle ne jouait pourtant avec personne. Déjà pas très social enfant, après la mort de Hanako, elle s'était isolait presque complétement des autres, ne jouant que si Reisuke, son frère plus jeune de quelque années, l'harceler pendant un bon boût de temps.
Sachiko ne voulait avoir à faire avec personne. Elle ne voulait pas avoir de lien avec qui-que ce soit d'autre, elle ne souhaitait pas souffrir d'avantage la perte de quelqu'un quel aime; mais plus que tout: Sachiko ne désirait pas être abondonner.

Ce qui est étrange c'est que combien même cet enfant a toujours était plutôt asocial, elle ne voulait pas non plus être totalement seul, passant du temps avec des enfants dans son ancien village pour vraiment ressentir ce comfort et chaleur des plus humains. Donc, que peux-tu faire: Quand tu a une envie des deux? Eh bien, Les rêves!
Le manga, les contes pour enfants..des histoires inoubliables qui apporte un sens si vivant, si chaud. Ces êtres qui parraissent si réels et pourtant ne l'est pas, ne t'abondonnerons jamais! Ils seront là pour toujours, pensait-elle et, tu ne sauras jamais tout seul. Un monde bien moins ennuyeux, un monde plus sécure, un monde parfait: Her Dream World.
Sachiko avait déjà une passion pour le manga et en dessiner si souvent. Maintenant, cette passion devint une sorte d'obsession qui soutenait son mental à un fil.
Elle finie pourtant par remarquer que chaque histoire prennent fin, comme un adieu··· Alors, elle s'était mit à écrire ses propres histoires, plutôt personnages, qui vivent là avec elle. Oui, elle n'aurra plus jamais mal de cette maniére, ses dessins serons toujours là! C'est fou, non? Tu t'amuse dans cette 'sécuritée' Sachiko?

Ah, que suis-je bête! J'ai faillie oublier: comment peux-tu rejetter ta petite 'Reiko'?

Yuzuki Reisuke avait hérédité de la maladie pulmonaire de leurs mère, un gêne assez présent dans la famille. Une des raisons du déménagement à Mekakucity était en fait pour s'occuper de son état de santé. Apparament, il était capital qu'il fasse une opération ou il allait de finir comme Hanako. Il n'y avait pas exactement de risque et ça aurait dut être plutôt simple; le hic étant que le garçon avait trop peur de le faire, trop peur de ne jamais se réveiller.
Quoique, qui n'a jamais céder?

Ca fesait maintenant un moment que Reisuke était à l'hopital et dans quelques jours il allait enfin subir l'opération puisque son état s'était agraver derniérement. Observant le blanc répugnant du plafond de l'hopital, un sentiment d'impuissance circula tandis qu'il serait les dents. Ah que la vie est cruel!

Le chapitre final s'approche. Ce jour qui aura influencé le destin de tant de personne et briser le cycle normal que le future avait prévu..
..
Ca c'est passé un 15 Août...

Assis sur un banc dans le park, Sachi n'arrivait pas à enlever ses yeux de ce soleil qui ne semblait pas luir autant aujourd'hui. Aller t-il pleuvoir? Ca serait idéal, elle qui sors vraiment que pendant les mauvais temps.
Rien de bien particulier se produisait, comme presque tout les jours..enfin, à son avis de jeune fille qui tombe de..n'y a t-il pas un autre mot pour dire 'ennui'? Bah, je dois admettre que observer les couples qui passaient dans ce park doit être asser lassant, surtout si ils font presque tous la même chose: Se prendre la main. Waaah...si romantique...beuh.

Sachiko passait une mauvaise demi-heure à observer l'imperfectio  du sol enjauni et tout les petits détails du banc. Pas la peine d'essayer d'observé plus loin, les choses auraient étaient bien trop flou. Enfin, en soupirant, elle se décida d'y aller.
Où ça? me demanderez-vous. Eh bien, son frère Reisuke ou appelé 'Reiko' par celle-là, venait de sortir de l'hopital pour admirer le monde une derniére fois avant qu'il ne vit sa torture de demain. Oui, un peu dramatique. Donc, comme n'importe qu'elle 'Nee-chan' respectée, Sachiko le surveillait pour qu'il ne s'épuise pas! Quel soeur fantas- Okay je trompe qui?! La vérité est que:
1/Il s'est enfuit
2/Elle n'avait pas trop envie de rester à la maison pour écouter leur père faisant un karaoke avec ses potes douteux et puis...elle l'avait vut dans un coin de rue s'étouffant avec une glace.

Et donc, comme chaque adolescent qui passe par l'énervante stade qu'est la puberté Reiko commençait, aprés un moment, d'avoir marre que sa soeur, qui n'est pas si grande que ça, d'observer chacun de ses mouvements avec un visage de terminator.
Il s'est enfuit. Encore. Les enfants alàlà.

Donc, Sachiko avait finit de réfléchir aux conséquences de l'action de sa p'tite Reiko. Aller, Sachi ne veut tout de même pas qu'il s'évanouisse ou s'étouffe avec une gauffre?...peut-être s'étouffer avec une gauffre mais ça c'est une autre histoire.

Vous me demanderez tout aussi bien pourquoi Sachiko ne l'avait pas suivit? Elle cours vite et lui non. Elle aurait put être Batman et nous ne l'aurrions jamais suent. Mais bah, pour qu'il ait un peu de fierté. Le pauvre s'enfuyait en toussant!.. où est la logique? Aucune idée. Allons retrouver Reisuke!

La poussiére était visible sur le planché crasseux et plutôt moisi de cette maison innhabité où Reisuke allait le plus souvent. C'est calme et ici, personne ne viendra le déranger mais c'est pour une autre raison que cet endroit l'intéresse.
Un cric-crac s'entendait légérement avec les marches que Sachiko prenait dans l'escalier recouvert de cette poussiére qui dévoiler plus sûrement l'existence des toiles d'araignées. Le papier paint des murs s'arrachait et dans l'obscurité, illuminé par un faible pourcentage de lumiére solaire, elle essayait de trouver le chemin.
La chambre dans lequel son petit frère se trouvait n'était pas si éloignée de la porte d'entrée et aussi-tôt qu'elle était entrein d'ouvrir, avec un grincement énervant, la porte rouillée Reisuke sursauta:
<< Comment tu...?! Je...
-C'était évident que tu aller venir ici.
-Mais, normalement PERSONNE ne fait ce qui est évident!
-Ta science est fausse, très.
-....Pourquoi tu as un taiyaki?
prenant un moment pour observer la pâtisserie dans sa main, Sachiko réponda calmemant:
-Pour que tu t'étouffe avec.
Ce qui fit tomber en arrière le garçon aux yeux simulaires aux siens, d'un ton plus vifs et enflammés.
-Je plaisante, finissait sa soeur en riant doucement, c'est pour les chiots. Si facile à berner. Et puis, c'est une gauffre.
-Non, taiyaki espéce de folle!!
-Taiyaki? Gauffre? La même chose. Ne m'insulte pas Reiko.
-C'est Reisuke!
-...Même chose.>>

Et vous savez presque tout. En fait, Reisuke venait souvant ici depuis deux mois maintenant pour voir si ces chiots et leurs mère aller bien, Sachiko l'accompagna parfois. Il avait toujours eu une attirance envers les animeaux; plus jeune, il répettait sans cesse qu'il aurra un jour une maison pour tout les toutous et minous des rues! Bien-sûr, après des années, il s'était rendut compte que ce n'était pas très plaussible. Tout de même, il aimait les animeaux et surtout cette petite famille canine. C'était donc prévisible après les quelques jours passer dans l'hopital qu'il désirait les revoir, n'est-ce pas?
Admirant les bébé animaux qui manger le gâteau et la maman qui les surveillait, un sentiment doux-aigre résonnait, pour une raison non-liée à la situation, dans le coeur battant de Rei.
Sa maman adorée, Hanako..devait l'aimer énormément. C'est étrange, pourquoi ne l'avait-il jamais blâmer pour sa maladie? Il ne le voulait pas.
Ses pensées changérent lentement de ça à Sachi. Elle ne se rend pas compte de l'énorme chance qu'elle a de possédé ses souvenirs d'elle. Mais non, Yume, tu es trop occuper à t'appitoyer sur ta propre douleur pour voir ce que tu as et avait. Tu aurais juste dus profité de la vie.

How odd, do you also hear a church bell ringing?

<< Ugh...
-Je ferrai mieux de te rapporter à l'hopital..
remarqua Sachiko après le bruit que son frère voulut étouffé. S'agenouillant elle dit: monte sur mon dos.
-N-non!
-..les enfants..
-Eh! Je te signal que j'ai- Ghh....
-Reik-
-l-laisse moi, je peux marcher tout seul, Sachiko hôcha la tête en gardant ce qu'elle pensait de son attitude pour elle-même.>>

Au moment où ces coups de musique se fesait entendre, les deux Yuzuki étaient sur le chemin pour la sortie. Quoique, le frère commençait à avoir des sensations d'étranglement et l'air ne passait plus aussi bien. Sa gorge se serra; ses poumons se contracta.. tout ça faisant mal au coeur rendant la respiration astroce, que même ne plus respirer serrait un tel soulagement.
<< Reiko?..>>
Il était en train de soutenir son poids contre un mur d'une apparence non fiable, et, comme vous l'aurez devinez, c'est ici que le nouvel malheur se produisa.

Si rapide, qu'une pulsation ordonna qu'une chose catastrophique se boucle, alors que tant d'entre nous désirent ardement le bonheur sans jamais vraiment le recevoir.
Le seul humain qu'elle aimait aux monde: Sa p'tite Reiko chérie.
Les yeux de celui-ci c'était enlargis en sentant un grand pile de liquide rougeâtre, plus brûlant que ce maudit ciel d'été insuportable, s'échappant d'un corp au-dessus de lui.

Voyez-vous, le mur fabriquer d'une roche coupante, alla s'écroulait sur le jeune homme. Voyant cela, Sachi ne pouvait s'empêcher de vivre avec le flôt de l'instant présent. Je l'ai dis avant, cette gamine est rapide avec ses jambes. Embrassant son frère dans ses bras, elle le couvra d'une bonne partie de l'écroulement, causant au même-moment la haute partie de son corp de se faire transpercer jusqu'à briser ses os en plusieur morceaux et la forçant de ravaller le sang qui voulait s'échapper. Le blanc si immaculé de son gilet se teinta de ce même rouge, comme le fil de la fatalité.
Des larmes l'irrita des yeux tandis qu'une énorme fortitude mental l'aider à ne pas hurler de douleur. La sensation de plusieurs de tes organes, muscles et os se faisant découper comme une simple poupée qu'un enfant s'amuse à torturer avec des ciseaux. Chaque tissu..tout, envoyant ensemblent au cerveau le signal, ça devenait plutôt insuportable. Oui, des nerf s'étaient couper, mais assez pour tout épargné? Au moins, elle vas pas en devenir folle...

<< V-viens, il faut te ramener à-à.. l'hopital.. toussa-t'elle en se relevant>>

Reisuke n'y croyait pas. Tout cela ne pouvait simplement pas être entrein de se produire!
Pourquoi? Pourquoi?! Pourquoi est-elle toujours comme ça?! A mettre sa vie en jeu pour lui, à toujours..
Oui, dis-moi Sachiko, qui avait-il de si spécial en lui, pour que tu l'aime à ce point là? D'accord, tu voulais le protéger car s'il avait mal, tu aurais encore plus mal. Mais qu'est-ce qui t'as rendu si dépendant en lui? J'aimerais bien le savoir. Peut-être est-ce, parce-que ne voulais pas 'l'abondonner'.

Sa respiration ne faisait que s'aggraver lorsqu'il commença à essayer futilement de retenir ses larmes. Reisuke toussa et pleura en même temps tandis que les chiots abboyérent à cette scéne, la mère essayant de trouver de l'aide dehors. Ah, si seulement il ne s'était pas enfuit, rien de tout cela n'aurais arriver! En plus, Rei avait encore une fois entrainer sa soeur dedans, elle qui essayait vainement de le bouger. Faiblement, il envelopa ses bras autour du cou de Sachi pour murmurer dans son oreille: Arrête c'est inutile. Les doigts qu'elle avait aggriper fortement dans les cheveux du garçon, se décontracta. Non! Comment pourait-elle faire ça? << Reisuke, le supplia-t'elle intérièrement, arrête de pleurer! S'il-te-plaît, tu as besoin de respirer.>>

Les yeux de Sachiko tombérent sur une large plaie sur la hanche de son frère, alors que celui-co hâlétait 'pardon'

Yume.

Avait-elle échouée aussi de le protéger?

Tu m'en..

Elle, qui ne désirait que le contraire?

..Tu m'en veux?

Et aussi ridiculesement simple, une vie ne vibrait plus. Vous-savez, tant d'humain sur cette Terre supporte bien la souffrance physique; mais bah, disons que, parfois ce qui les torturent peut aussi bien être la souffrance d'un autre? Ou dans son cas perdre quelqu'un qu'elle aime. La mort est juste incroyable. J'ai presque l'impression que c'est aussi facile qu'un jeu où tu n'as aucun choix. Sachiko, tu avais horriblement mal, pas vrai? Tu te sentais encore une fois abondonner dans ce monde cruel. Ce qui rend cette situation pire est, que tu avais l'impression d'être capable de le protéger. Peut-être aurais-tu dus le rapporter à l'hopital? Mais non, comment aurais-tu faire ça? Tu ne voulais pas le voir triste···sa tristesse ne ferait que te rendre malheureuse.

Les hûrlements et pleurs des chiots réssonaient dans son dernier regard, embrouiller encore plus par l'approche du rêve sans-fin. Elle voyait que son précieux sac s'était arracher et que maintenant les dessins, qu'elle avait mis tant d'âme à faire, s'éparpillérent partout. Pourquoi? se dit-elle. Pourquoi à chaque fois c'est la même chose? Comment pourrait-elle vivre sans lui? Il ne peut pas être mort! C'est bien trop facile! Reisuke ne peut pas l'être, si? Et.. elle n'y peut rien?

Ce monde est trop ignoble! Elle n'aurait jamais dut y mettre les pieds. Ah oui. Elles aurait dut rester dans son 'monde'. Mais, une fois la nuit tomber, comment pouvait-elle arriver à faire disparaître cette frayeur uncontrolabe? Si seulement ces 'personnages' existaient vraiment, comme ça, jamais elle aurait à..
Tout ces émotions brûlérent alors qu'elle vit un dessin très spécial pour elle. Regrette-t'elle vraiment de l'avoir connu? Et l'obscuritée l'emporta.

But, you do realize you're throwing yourself in a eternel nightmare..right, dream girl?
..
Abondonner encore et toujours ce mot là! Ca en devient lassant..
La pluie tomber sans fin dans ce monde. La seul personne qui l'accompagner dans cet endroit de sentiment froid et chaud en même temps, l'a ignorer le moment qu'elle tomba par accident dans cette flaque d'eau boueuse. Il s'en allait, riant sans entendre ses supplis:
<< A-attend! Reiko me laisse pas ici!>>

Un cauchemar interminable qui se répéttait. Rien à faire. Son bras tendu ne pouvait le rejoindre. La réalité lui frappa l'esprit pour de bon. Elle sera désormait toute seule à jamais. S'aggripant à la bande son sac l'enfant pleura: << Mama..Reisuke..Pourquoi?!>>

Enfin, jusqu'à son rêveil où le monde des rêves sera des plus présent avec chacun de ses geste!

Say..
Even if we can rewrite the future, those eyes...

You don't regret?

Ah, what a sweet tale.
Welcome dear Sachiko.