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 { Battante un jour, battante toujours. ✝ [Roxana; 100%]

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MessageSujet: { Battante un jour, battante toujours. ✝ [Roxana; 100%]    { Battante un jour, battante toujours. ✝ [Roxana; 100%]  EmptySam 27 Sep - 21:31

ϟ Carron Roxana Elisia


{ Battante un jour, battante toujours. ✝ [Roxana; 100%]  332326gezgez
NOM • Carron
PRÉNOM(S) • Roxana Elisia
ÂGE • 14 ans
SEXE •
ORIENTATION SEXUELLE • Hétérosexuelle
GROUPE SANGUIN • A+
DATE DE NAISSANCE • 31 Mai
OCCUPATION • collégien
GROUPE • Solitaire
CAPACITÉ • Deaf Eyes • Elle est capable d'entendre à nouveau, mais uniquement les montres comme elle. Roxana peut entendre les pensées/désirs profond(e)s de la personne qu'elle souhaite, ou regarde trop longtemps, dans un rayon maximum de sept mètres.
CAUSE DE MORT • Suffocation par la fumée

 

Extérieur;

Roxanne, tu es une jeune fille d'une quinzaine d'années... Ta silhouette est taillée comme un I, tu n'as pratiquement pas de formes et es toute maigrichonne, toi même tu le sais. Mais tout cela t'importes peu. Tu es plutôt petite dans ton genre, 1m57. Les frôlant, simplement. Côté visage, tu tiens tes cheveux de ta mère, de couleur violet foncé, presque noir par moment. Tes yeux sont d'un violet pur, plus clair que ce que tu as sur la tête. Ils sont petits et complètement ouverts, pas bridés comme les gens que tu croises dans la rue. Tu es une étrangère, c'est pour ça. Tes sourcils sont fins tout comme tes petites lèvres roses. Rien d'anormal ni de bien spectaculaire jusque là. Tes oreilles sont très souvent ornées de boucles d'oreilles mais aucun autre bijoux n'apparaît, ni n’apparaîtra sur toi. C'est le seul objet que tu souhaites laisser sur ton corps, pourquoi donc ? Une simple envie, ou une restriction peut être... Enfin bon, ta couleur préférée est donc bien le violet ? Soit, ces choses concrètes et en toques seront de cette même teinte, si c'est ce que tu veux. Une seule ou deux, qu'importe. La seule chose que tu porterais encore serait le ruban d'un rose éclatant que t'as laissé ta tante, de qui tu tiens ton second nom, avant de rejoindre les cieux. Tu l'aimais beaucoup, et tu décida donc de mettre ce cadeau, attaché dans tes cheveux, chaque jour. D'un simple geste, tu l'enroules sur tes cheveux, simplement. Physiquement, tu sembles totalement normale, hormis ta surdité. Tout à fait normale, jusqu'au moment où on commence à tenter une communication.

Dire de plus que ton style vestimentaire est propre à toi mais pas si original ? Des vêtements sobres, voir sombres. Parcourant l'intégralité de teintes entre le gris et le noir. Puis de l'indigo à la lavande... Quoi de mieux, si. bien sûr elle peut mettre d'autre vêtements... ! Mais la majorité de couleurs dans son armoire ne dépasse pas trois. Soit un ou deux haut ou sous vêtement coloré par-ci et par là, rien d'extraordinaire. Bien que, sombrant dans l'habitude du train train quotidien, se vêtir devient un vrai casse-tête par moment. Surtout pour elle, avec la tonne de vêtements dans son armoire. Mais finalement, ce qui sort de "l'habitude" est plutôt "originale". Une robe pas très moderne, il faut l'avouer. Tu n'aimes pas vraiment les choses modernes. Pourquoi ? Tes parents sont beaucoup trop classiques pour que la modernité puisse t'atteindre. Enfin bon, cette robe est tout de même découpée un peu grande, même si ces manches, dégradée de violet, lui vont comme un gant. Qui plus est c'est un col en grand V relevé. Le reste du vêtement est coupé en deux sorte de v puis vient la jupe, toujours dans un dégradé de couleur violette pâle, avec quelques froufrous blanc au bout. Des collants couleurs noirs, demi-opaque. Et puis des chaussures à talons ou non.

Ce style est une tenue parmi tant d'autre, toujours une tunique/robe et puis jupe et collants. En été ce sont les robes à gros froufrou et avec des rubans partout que tu privilégies. Tu les aimes bien, tu te sens comme une princesse dedans. Et puis ta mère t'a toujours complimenté pour ce genre de tenues. Alors tu l'as simplement gardé. Pour aller à l'école, c'est l'uniforme, tu ne fais pas de caprice. Tu n'es pas en droit, d'après ceux qui t'élèvent. Tu te fonds facilement dans la masses et tu passes souvent inaperçue, de toute façon tu n'inspires pas grand monde. Des tics demandes-tu ? Aucun. Sauf peut être celui de fixer de tes yeux vides, ton interlocuteur, quand tu n'arrives pas à savoir ce qu'il te dit. Ou de te toucher les cheveux, de près de la racines jusqu'à la pointe, quand tu es gênée, perturbée ou stressée. Voir même de jouer avec quand tu t'ennuies. Tu as toujours eut les cheveux longs, alors tu as eut l'habitude de ces petits tics depuis toute petite déjà. Sauf celui concernant ta surdité. Celui-ci... Est spécial, tout comme toi maintenant.
Intérieur;

Tu n'as jamais été très douée pour te décrire, toi et ton caractère, tes habitudes... Ton handicape. Lequel ? Il est vrai qu'il n'est pas vraiment "visible", mais tu le sens, pas vrai. Effectivement, ce sont tes oreilles qui ont été touchées pendant une sorte d'accident pendant ta jeunesse, et depuis, tu es sourde. Les médecins ont jugé ce handicape d'irréversible, bien qu'ils t'ont quand même dit que tu ais de la chance de n'avoir eut "que" ça... Mais pour toi, c'est énorme. Même si tu as eut la chance de pouvoir lire sur les lèvres, du moins, les fois où les gens ne parlent pas trop vite. Tu as dut t'y habituer C'est vrai, on va simplement commencer par toi. Tu es plutôt du genre maladroite, parfois tu as deux mains gauches. Tu es gentille, mais vraiment, tu laisses toujours tes "amies" passer devant toi à la cantine. Même si elles ne te parlent pas vraiment. C'est pour cela que tu es qualifiée "d'obéissante", de "docile". Ce n'est pas vraiment un mauvais point. Bien que de ce fait tu sois plutôt influençable, à croire tout et n'importe quoi de concret ou d'abstrait. Tu te retrouves souvent dans des situations dont tu n'as presque pas conscience. Celui qui dit que tu es une fille "inconsciente" serait totalement dans l'erreur, tu es juste un chouilla trop influençable. Mais ce n'est pas grave ! Tu sais toi même que tu as d'autres qualités, tu es plutôt serviable... ! Et puis tu n'es pas capricieuse. Tes parents te l'ont interdit dès le plus jeune âge. C'est quelque chose dont tu ne feras jamais abstraction. Tu es honnête, et puis calme aussi. Tu t’assoies, puis ne bouges pas. Tranquille quoi.  Polie aussi, tu t'excuses pour n'importe quoi, même quand tu te fais mal, quand tu trébuches sur un cailloux, tu t'ouvres le genoux mais tu dis pardon à la pierre, simple réflexe. Bon... On ne va pas se le cacher, elle est souvent dénué de toute bonne imagination. Tout les travaux créatifs sont à exclure, la peinture, le dessin, les travaux pratiques... Ce n'est pas son fort, tout ce qu'elle préfère c'est ce projeter dans un livre ou dans une bd. Puisque les films et les musiques te sont à présent interdits, inaudible. Et puis tu es sensible aussi ! À tout ce qui t'entoure. Tu ne souris pas souvent, mais quand un véritable sourire se dessine sur tes lèvres cela paraît magique.

Que dire de plus ? Ton physique qui plait ? Sûrement, tu as un certain charmes. Tout le monde dit que les italiennes sont des charmeuses, et tu en fais partie. Tu es mignonne, de longs cheveux et plutôt d'un air fragile. Tout le monde voudrait protéger une petite chose chou et fragile, donc toi. En plus d'être fragile tu ne parles pas beaucoup. Pas très bavarde puisqu'il t'es compliqué de comprendre quelqu'un. De simples hochements de tête sont suffisants pour toi, mais pas pour les autres. De ce fait, tu es plutôt du genre solitaire, pas grand monde vient te parler quand il connait ton handicape. Tu as souvent entendu : "Moi être ami avec une sourde ? Ça va pas ou quoi ?? De toute façon on peut dire n'importe quoi sur elle, elle n'entend rien !!" Que de méchancetés à ton sujet, c'est triste. C'est pour ça que tu t'es doucement et lentement isolée dans ton coin. Ton petit monde fantastique qui fut créer dans ton esprit. En contradiction... Quand on te parle, tu réponds toujours présente. Tu es solitaire pour ne pas approcher des autres, une peur d'être rejetée continue de grandir en toi, mais quand une âme innocente vient te parler, tu es presque aux anges. Tu doit être du genre sociable. Il n'y a pas de doutes. Ne sachant pas pourquoi, tes joues sont souvent d'une couleur rosée. Quand tu as froid, quand quelqu'un te parle, quand tu es gênée... Tout ça pour dire que tu es une fille qui rougis très souvent pour des choses futiles, mais tu ne contrôles pas ça. Malheureusement. Qui plus est, tu as une ossature fragile, combien de toi tu t'es foulée quelque chose ? Ou encore t'être cassée un membre ? Beaucoup trop pour les compter sur tes doigts. Une petite chute et tu as quelque chose en moins. Simplement pour ajouter que tu as un système immunitaire faible. Tu es souvent malade, et tu peux faire plus rapidement des malaises. Comme par exemple un manque de sucre... Rien d'autre à dire, voici comment tu es, retiens ça pour la prochaine fois.
Derrière toi;

Toi, Roxana Elisia Carron. Tu es née en Italie et portes le nom de ta tante qui est française. Dérivé d'Elisa, ton père a préféré jouer sur l'originalité, ce n'est pas plus mal mais ce n'est ce ton deuxième prénom. Il n'y a que tes grands-parents qui t'appellent comme ça, bien que cela ne te dérange pas vraiment. Ta famille est considérée comme riche, même si tu vis dans une grande maison et non dans un château, avec un immense jardin où tu adorais jouer. Enfant, tu étais une petite fille pleine de vie et rêveuse d'aventure. Tu traversais la maison avec ton jouet préféré, le fil en main : une famille de canards qui te suivait partout. Tu disais que c'était eux tes compagnons de jeu. Tes parents étaient souvent absents, tu les entendais  dire que leurs vies professionnelles passaient parfois avant leurs famille. C'était alors ton aîné de 3 ans de plus qui te gardait une partie de la journée. Mais lui était différent de toi. Un jour, à l'école il eut une maquette d'un volcan à rendre pour la semaine suivante, et il réussit son travail avec succès. Ce garçon fut le premier de la classe grâce à ça. Du moins, c'est ce qu'il croyait jusqu'à ce que son volcan explose de l'intérieur. Ce n'était pas une grosse explosion, quelque chose de contrôlable. Mais elle prit feu l'espace d'un instant, et lui ne bougeait pas, fixant les flammes. C'était cet instant qui fut l'élément déclencheur chez lui; Il commençait à apprécier les explosions et le feu. Jusqu'à ce que ça devienne obsessionnel. Un pyroman, serait plus juste pour lui. Il commençait simplement par brûler les poubelles du coins, sauf les siennes, et puis... À côté de ses incendies, il eut l'envie de faire quelques "petites" recherche sur des bombes artisanales. Plutôt, d'abord sur des petits pétards pour ne pas blesser quelqu'un ou se blesser lui même, puis quelque chose de plus gros... Toujours avec prudence.

Mais toi, tu étais tranquille, dans ton petit monde, avec tes petits canards qui te suivaient partout. Le temps passa, et tout changea, tu grandissais. Lâchais peu à peu tes jouets et te tournais vers d'autres choses.

Un, puis deux ans.

Tu avais 9 ans à cet instant. Tes parents étaient encore absents, c'était un samedi après-midi. Il faisait beau, le ciel était bleu. Il devait être aux alentours des onze heures quand tu décida de descendre de l'étage pour aller voir ton frérot, comme ce que tu faisais chaque jour. Du moins chaque week-end. Le sourire aux lèvres, tu l'appelais. Aucune réponse immédiate. Tu continuais en le cherchant un peu plus sérieusement. Mais aucune trace de lui ? En commençant à te demander si tu étais réellement toute seule, tes lèvres ne firent qu'une seule ligne droite, tes sourcils se froncèrent sous ton angoisse qui se grandissait. Finalement, un soupir de soulagement, il était dans le jardin. Avec... des gants, un casque et une sorte de masque, comme les médecins à la télé. Tu te demandais pourquoi il portait tout ça et ce qu'il faisait avec exactement. Tu t'approches de la porte fenêtre, tu l'ouvres. Il ne te voit toujours pas et continue de bidouiller... Quelque chose. Tu ne sais pas trop quoi faire. Approcher ou non ? Mais tu voulais vraiment le savoir en plus... ! Tu avançais, finalement. Raccrochant un petit sourire au passage. Il avait l'air totalement absorbé par le truc sur lequel il frappait avec son petit marteau... Tu l'appelais doucement. De ta petite voix, résultat, tu étais toujours ignorée, tu t'approchais encore alors qu'il reculait rapidement, un peu trop sûr de lui. Alors que tu voyais le bidule faire des étincelles, mais tu étais un peu trop près. Ton frère cria l'espace d'un instant.

Tu entendais des grésillements.

Tu entendais ces même grésillements.

Encore

et

encore

des ultraçons

...


Puis plus rien.


Tu avais sentis ton corps être projeté. Vers où ? Des buissons certainement. Ce n'était pas quelque chose de très violent, mais assez surprenant et, puisque tu n'avais rien compris à ce qui t'arrivais... Tu pouvais ressentir un peu de peur en toi, ta main en tremblait encore. Tout en étant étalée sur le sol, une fois la fumée dissipée, celui que tu appelais "grand frère" se rua sur toi. Tout ce que tu sentais, à vrai dire, c'était du sang qui coulait de tes oreilles. Et puis rien. Quand il te retournait, tu le regardais avec un regard tellement léger. Tu étais choquée, plutôt. Un sourire triste s'inscrit sur tes lèvres quand tu voyais les siennes bouger mais qu'aucun son ne suivait ses mouvements.
Apparemment, il a vu que tes oreilles saignait, il semblait un peu dégoûté par ça et commençait à pleurer, au passage. Tout comme toi. Mais c'était différent finalement, toi tu pleurais parce que tu ne comprenais pas ce qui t'arrivais, alors que lui en avait totalement conscience. Quelques larmes arrivaient sur ton visage. Alors il te porta et t'installa doucement sur le long canapé présent au salon. Et savait pertinemment que vos parents n'allaient pas rentrer de si-tôt. Ça se voyait qu'il paniquait et tournait en rond sans savoir quoi faire. Toi, sa sœur touchée par un de ses jeux. Par simple amusement... Tu soufflais doucement ces deux seuls mots.
    — J'ai... peur...

Ce n'était qu'un peu plus tard, quand il eut enfin le réflexe d'appeler les urgences, que tout devait s'arranger. Mais tu t'évanouis sur le chemin de l'hôpital.
Tu avais tellement peur, était tellement effrayée par ce qui venait de t'arriver. Tu avais pourtant sentit ses quelques gouttes de sang qui coulaient le long de ton oreille. Comme un avertissement. Quelqu'un qui te disait.
    Tout est terminé.

Puis fut plongée dans une sorte de sommeil, tu te sentais comme sur un nuage. Quelque chose de si agréable, qu'il était impossible de t'en faire sortir... Tout était si calme là où tu étais. Tu aimais, pourtant, cet endroit. Et les médecins qui étaient tous autour de toi, au dessus de toi, te firent sortir de ce paradis éphémère. Tes parents étaient là aussi, et ton frère, qui semblait faire la tronche... "Pourquoi...?" C'était tout ce qui te trottait dans la tête. Il y avait un masque pour respirer sur ta bouche et ton nez. Soudainement, tu respirais beaucoup plus vite, les infirmiers furent obligés de te piquer. Que de sensations désagréables pour une enfant... Toi qui n'avais pas l'habitude de tout cela, mais d'une agréable vie, chez les bisounours. Tu te calmais lentement et retrouvais un rythme cardiaque assez correct. Tout bougeais autour de toi, ton père et ton frère restaient à ton chevet en te demandant quelque chose que tu n'étais pas en mesure d'entendre. Alors que ta mère était en train de discuter avec les médecins. Soudain, tu l'a vois pleurer. Elle éclate en sanglot, tu vois ton père qui retient ses larmes et ton frère qui tente, mais qui échoue. L'un des professionnels se rapproche de toi avec une sorte d'ardoise. Comme à l'école. Il l'a retourne.
    — Est ce que tu entends quelque chose ?

Ton petit sourire s'effaça, tes yeux s'écarquillèrent. Tu relisais plusieurs fois la question avant d'hocher vaguement la tête de façon négative, et de chuchoter doucement ces mots.
    — Rien du tout...

Ta famille semblait encore plus abattue qu'avant. Et toi, tu ne pouvais rien y faire. Tu ne comprenais pas vraiment la gravité des choses... Ton frère te regardait et disait quelque chose, ses lèvres faisaient toujours ce même mouvements. Que pouvait-il bien dire ? ...Tu ne pleurais pas, et te disais simplement que c'était comme quand tu étais dans la montagne en altitude, tu avalais et la pression allait redescendre. Mais au fond, tu savais que rien de tout ça n'était faisable. Alors qu'un autre médecin prit l'ardoise et écrit quelque chose dessus avant de te montrer.
    — Tu es devenue sourde suite à une explosion qui a eut dans ton jardin. Tu n'as pas de blessures trop grave, mais ton oreilles interne a été très endommagé et ce n'est certainement pas réparable à ce stade. Je suis désolé.

"C'est pas vrai..."

Te disais-tu en comprenant que tu n'allais jamais plus rien entendre. Ni la voix de tes parents, ni celle de ton frère, voir la tienne... Tu t'entendais seulement penser. Rien d'autre. Tu pleurais, faiblement. Parce que tu n'acceptais pas ce qui t'arrivait. C'est alors que le garçon que tu appelais "grand frère" prit à son tour l'ardoise et écrit quelque chose, doucement puisqu'il tremblait.
    — Pardonne-moi, Roxanne...

Vous fondiez tous en larmes.
[ . . . ]

Le temps passa, tu étais sortie de l'hôpital depuis bien longtemps. Tu n'avais plus à y retourner avant la prochaine catastrophe qui allait t'arriver.

Tu étais toujours sourde, rien n'avait changé depuis cet instant. Tes parents t'avaient retiré de l'école où tu étais inscrite et prenaient de plus en plus soin de toi, après ça. Ton frère s'en voulait toujours, de plus en plus absent à la maison. Tu voyais souvent des disputes entre celui que tu appelais "grand frère" et ceux qui t'ont mit au monde, mais comme d'habitude depuis un certain temps, tu ne pouvait rien entendre. Ceux que tu aimais ont tout fait pour toi, ils ont même engagé une professeur particulier, et tu sais ce qu'elle t'apprendra ? Les mots, sur les lèvres. Même si au début, tu la regardais longuement, et tu ne comprenais pas pourquoi elle était là. Tandis que l'inconnue prenait l'ardoise et écrivait quelque chose.
    — Je suis ta nouvelle enseignante. Et je vais t'apprendre à lire sur les lèvres. Ça va sûrement prendre un peu de temps... Mais c'est comme tout. On va commencer par réapprendre la phonétique de l'alphabet, ça te va ?

Tu t'étonnas, et tes yeux brillaient. Enfin quelque chose de bien dans ta vie depuis cette surdité qui te bouffait petit à petit. Tu devais avouer que cet accident changea ta vie à tout jamais et ton caractère. Tu étais, forcément, devenue renfermée sur toi même. Puisque tu parlais beaucoup moins, et l'idée de l'ardoise avait rapidement été abandonnée par ceux qui habitaient avec toi. Enfin bon, cette nouvelle personne importante pour toi était une sorte de nouvel espoir.

Tout se passait bien. Rien ne pouvait être au plus bas pour toi, ces cours étaient compréhensifs, tu reprenais un rythme normal. Tu te sentais à nouveau bien, à nouveau toi. Seulement, quelque chose clochait, et tu le voyais. Ton professeur particulier t'avais dit que tu allais bientôt déménager. Pourquoi donc ? Tu étais bien en Italie, te disais-tu. Elle affirmait que c'était un choix de tes parents et qu'ils ont demandé à ce que tu puisses parler et écrire, accessoirement, cette nouvelle langue. Déjà que pour toi ce n'était pas évident de lire sur les lèvres, tout le monde parlait souvent vite, et tu voulais seulement qu'ils fassent des mouvements lents, mais personne ne faisait attention. Suite à ça, tu apprenais le japonais, aussi.

    — Je ne veux pas déménager... ! Ni apprendre cette langue... Elle est trop difficile !
    — Il va bien falloir Roxana... ! Ton déménagement est déjà prévu. Pourtant tu as un bon accent, tu sais... !

Un bon accent ? Tu ne trouvais pas, en plus une langue nouvelle, si éloignée de la tienne... Tu savais que tu n'allais pas tenir. Et pourtant, ton professeur t'encourageais. Elle était si gentille, et toi tu ne faisais pourtant aucun effort.
C'était sûrement l'une de tes périodes, après ton "accident" qui fut le plus difficile pour toi. Ce n'était pas que personne n'était à tes côtés, justement. Tu voulais tout autre chose alors que tu traînais les pieds pour rejoindre ta famille sur le droit chemin. Pour faire plaisir à tout le monde, qu'ils soient "fier de toi" alors qu'au fond tu te moquais des félicitations que tu lisais sur les lèvres de tout le monde. Tu voulais simplement être toi, même si "tu" te perdais facilement. Déjà que plus aucun sourire ne s'inscrivit sur tes lèvres pendant tes jours sombres. Tes paupières tombaient, et tes cernes faisaient trois kilomètres de long. Ta peau était toujours aussi pâle et tes cheveux lisses et emmêlés. Tu ne prenais plus vraiment soin de toi, un quotidien dont tu voulais sortir mais d'où tu étais enchaîné poignets et chevilles. Mais tout cela fut brisé, brusquement.

Le jour de ton déménagement. C'était un grand jour, il faisait beau, tes parents t'avaient réveillé tôt pour tout aider à embarquer. La communication entre toi et ta famille était toujours un peu difficile. Tu n'entendais rien et eux te criaient dessus. Souvent ton frère oubliait, mais tu n'en savais rien. Tu lisais parfois sur les lèvres de ta chère mère qui disait "Arrête de crier ! Elle ne t'entend pas !". Pour toi, ce n'était qu'un couteau qui remuait dans une de tes nombreuses plaies. Mais tu ignorais, simplement. Les cartons une fois embarqués dans la voiture, puis les enfants dans la voiture, un long voyage t'attendais. Et tu le savais, mais tu ne pouvais rien y faire. Tout semblait bon pourtant.

[ . . . ]

Tu ouvrais les yeux, tu étais étalée sur la banquette arrière de la voiture. Étiez-vous arrivés ? Te demandas-tu. Peut être bien, le paysage avait radicalement changé. Chez toi, tout autour il y avait des montagnes, alors que là... C'était une ville, avec de grands bâtiments. Mais pas trop non plus, le ciel était encore visible, c'était une bonne chose. En te redressant, tu soupiras. C'était toujours frustrant de ne rien entendre, même sortant de ton sommeil. Ton frère ouvra la portière et s'étonna que tu sois réveillée. D'un petit sourire dessiné sur ses lèvres, il fit de lents mouvements avec ses lèvres.
    — Nous sommes arrivés, Roxy...

Tu souris aussi, c'était vraiment ça, le japon, le pays du soleil levant. Tout allait radicalement changer pour toi. Et tu le savais. Tu aidais pourtant à débarrasser les cartons, tout monter. Ta nouvelle maison était plus grande que l'ancienne, tu avais entendu dire que le yen était largement plus faible que ta monnaie d'origine. Alors tu pensais que tout était normal. Un immense escalier, avec un grand couloir. Des pièces à veux-tu en voilà. Il n'y avait même pas de meubles pour l'intégralité des paires de quatre murs présents. Mais bon, tu savais que tu allais te plaire ici, et que tout le monde allait se plaire ici ! Une nouvelle maison, un nouvel environnement, des nouvelles rencontres. Tout cela te redonnait un sourire jusqu'au oreilles. Peut être que ta vie n'était pas si misérable jusqu'ici. Après un long moment, une fois tes affaires débarrassée, tout remit en place, exactement comme avant vu ton trait de soigneuse, perfectionniste... Tu t'asseyais sur ton lit, calmement et soupirait. Pensant que tu n'étais toujours pas chez toi, mais finalement te rassurant en te disant que ce n'était que le mal du pays, et que tu allais t'y faire. Tu n'avais pas vraiment la tête à ça.

Et pourtant. Pourtant le temps passait. Et tu t'y faisais plutôt bien, encore un peu de mal avec l'écart de langue. Tu savais écrire, bien que parler et plus simple qu'écrire, mais c'était l'inverse chez toi. Tu cherchais souvent tes mots alors que les symboles tu les avais sur le bout des doigts.

Tu grandissais, et tu avais 14 ans à cet instant-là. En pleine période de vacances, un 15 août.

Jour 00.


Il faisait agréablement bon dehors, tu étais restée à la maison avec ton frère, pendant que tes parents étaient une énième fois absents. Tu ne lui parlais plus vraiment, tu étais au salon avec ton livre, et lui était dans le bureau, transformé en pièce à fourre-tout, à l'étage. Ce n'étaient pas les principales pièces, elles étaient même vers le fond de la maison... ! Il fallait traverser deux couloirs avant de pouvoir apercevoir l'escalier... Enfin bon. Tu étais vraiment tranquille. Puis tu baillais, le sommeil commençait à rependre son emprise sur toi. Tu fermais doucement les yeux, et ne pensait plus à rien. Aucun son, depuis longtemps, ne pouvait te déranger pendant une petite sieste. Ton frère, quant à lui, travaillait toujours sur ses projets de plus en plus louches. Il n'était pas très loin de toi, quand le chien aboyait. Ah oui, un nouveau chien, offert pour tes 13 ans. Un chien du nom de Peluche, oui, tu fut très inspirée ce jour-là. Mais il soupirait en se demandant ce que voulait encore ce chien qu'il qualifiait de "stupide". Il posait son outils de travail et s'en allait en laissant tout en marche. Soudain, une étincelle, puis deux puis trois. Une petite explosion, rien de bien méchant.
    — ...Hein ? ...!! Non !!! Pas mon-!

De la fumée puis une plus grosse explosion d'où les fenêtres se brisèrent. Il tentait de remonter à l'étage, mais de la fumée noire s'était déjà dispersée un peu partout au second, ainsi que les flammes. Cela puait horriblement, il ne savait que faire. Un petit moment -mais grand pour le feu- plus tard, tu te réveillais en sursaut, tu n'arrivais presque plus à respirer. Tu ouvrais les yeux et toussais avant de t'étonner. Qu'est ce que c'est que tout ça, demandas-tu. Mais aucune réponse ne venait à toi, le feu bloquait l'accès au bureau, et bientôt la porte. Qu'allais-tu donc faire ? Tu paniquais en prenant du tissus sur la table, pas encore totalement calciné pour te couvrir la bouche et le nez, histoire d'un peu mieux respirer. Tu marchais en direction d'une issue possible, en te dépêchant mais tu ne voyais rapidement plus rien. Tu te servais de ton odorat pour avancer et sentais que rapidement tes poumons se remplissaient de cette fumée qui était toxique. Soudainement, tu trébuchas et tomba brusquement, alors que le plafond, déjà endommagé commençait à s'effondrer. Par chance, tu n'eus qu'un bout de bois dans la jambe. Tu respirais de plus en plus vite, tes mains tremblaient, tu sentais que tu n'allais pas tenir.
    — Aaron !!! Criais-tu d'un ton désespéré.

Tu pleurais, priant le ciel qui s'écroulait sur toi que ton frère allait venir te sauver, comme cette fois-ci. Ta vision se brouilla. Celui que tu priais réalisa ta demande, ton sauveur était arrivé. Mais lui aussi dans un sale état. Tu pouvais à peine le reconnaitre, d'un léger sourire, tu répéta son nom pour te rassurer. Et fermais les yeux doucement, relâchant toute pression sur sa main. Tes poumons étaient à leurs apogée. Quelques instant plus tard, lui aussi, s'écroula à tes côtés.

En ce 15 août, deux enfants sont morts : Aaron et Roxana Carron. Tout deux ont inhalés de la fumée, puis leurs corps ont été calciné par les flammes, finalement éteinte une bonne heure plus tard.

Jour 01.


Tu te réveillais en sursaut, un méchant goût dans la gorge. Tu avais fais un mauvais rêve. La mort de ton frère et de toi même, quelque chose de traumatisant, n'est ce pas ? Mais pas le temps d'y penser, de la fumée se propageait à vitesse grand V, comme-... Comme dans ton rêve. Tu allais vraiment mettre une dizaine de seconde à réfléchir ? ...Oui, tu n'y croyais pas, est-ce un rêve ? Plus tu pensais, plus le feu se propageait, jusqu'à te bloquer ta seule issue possible. Tu écarquillais les yeux, déjà ton tissus plaqué contre ton nez. Des larmes coulaient. Tu ne voulais pas revivre ça, tu priais le bon Dieu, mais il n'écouta pas ta prière. Le plafond s'effondra une seconde fois, donnant au feu un peu plus d'essence de bois pour se propager. Tu savais que tu étais dans la seule pièce où il n'y avait aucune fenêtre, tu te "laissais" mourir à petit feu, cherchant une issue, mais tu réalisas que cela était déjà trop tard.

Jour 02.


Tes yeux s'ouvrèrent rapidement, brusquement. Le cœur battant, tu te souvenais d'hier et d'avant hier, en te persuadant que ce n'était pas possible. Et pourtant tu ne pouvais sortir de ce "cauchemars"... Tu pris immédiatement le tissus sur la table et sortait de la pièce, pour ne pas faire la même erreur. Une fois dehors, tu avançais, avançais, puis regardais ton pied, sous lequel le sol craquait. Soudainement, le sol s'écroula, tu ne savais pas pourquoi. Les jambes les premières, tu te rattrapais. Grimaçant, sur le point de pleurer, tu suppliais une fois encore, quelqu'un qui n'était pas là, de bien vouloir te sauver. Tu ne sentais plus tes jambes, et tentais de reprendre ton tissus, malheureusement, il était bien trop loin pour toi. Une fois le plus, les flammes avaient gagné.

Jour 03.


Tes paupières s'ouvrirent lourdement alors que tu toussais l'air déjà périmé dans tes poumons.
    — Pourquoi-... Pourquoi ça ? Pourquoi moi ? ...Aaron... Appelais-tu, le réclamant une dernière fois.
Tu reprenais, comme à ton habitude, le tissus qui permettait de rallonger ta vie. Et descendit directement les escaliers, un vrai parcours du combattant, tu ne croisais bizarrement pas ton frère, celui que tu voulais tant voir. Tu le cherchais partout, reprenant quelques rares fois ton souffle, tu suffoquas suite à tes organes défaillants.

[. . . ]

Encore et encore, maintes et maintes fois tu tentais de t'échapper de ta propre maison, cherchant à libérer ton frère de cet emprise. Une fois tu as réussis à faire sortir Peluche de cet enfer, mais tu y es passée d'un misérable façon

Jour 451


‹‹ Je vous en supplie... Laissez moi vivre ! ››

Tu ne savais plus à la combientième fois tu devais en être. Tout ceci te fatiguais. Tes cernes étaient marqué, chaque jour, chaque mort. Cette même situation, insurmontable. Tu avais essayé par tout les moyens, et avais vécu encore et encore pour trouver la bonne solution. Cela devait faire tellement longtemps que tu étais dans ce cauchemars ! Tu avais prié plusieurs fois pour savoir quoi faire, personne ne t'entendait. Ni ton frère, ni personne d'autre. Seulement aujourd'hui est un nouveau jour, tu avais en tête le plan de ta maison. Tu pris le bout de tissus et fonça dans les escaliers, laissais ton chien de côté et allais checker toutes les pièces par lesquelles il y avait des fenêtres qui n'avaient pas encore explosé, et allais reprendre un peu d'air "frais". Tu continuais ta route et allais défoncer la porte de la seule pièce que tu n'avais pas encore toucher depuis tout ce temps. C'était une sorte de réserve... Des étagères et des cartons... Vos cartons. Ceux de toi et ta famille, ta mère, ton père et ton frère. Ton rythme cardiaque s'accéléra vu l'odeur infecte qui régnait dans cette pièce. Tu prenais ton courage à deux mains, et poussais les cartons puis les étagères, comme tu pouvais. Tout cela semblait être chronométré à la seconde près. Tu levais la tête et voyait la seule fenêtre par laquelle tu pouvais t'échapper, tu ne pensais à rien. Tu voulais seulement t'en aller, ce jour maudit, cette situation... "Laissez moi sortir !" Pensais-tu en rassemblant quelques cartons pour grimper, tu ouvrais la fenêtre en tirant sur le levier. Un coup, deux coups, trois coups. Elle céda enfin. Tu l'ouvrais en grand et commençais à prendre appuie dessus avec tes mains, pour soulever ton propre poids.

Soudain.

Des ultraçons.


Tes yeux s'écarquillèrent. Tu entendais quelque chose qui sonnait faux. Tu n'eus pas le courage de te retourner. Tu étais sur le point de pleurer, quand la moitié de ton corps frêle passa par la fenêtre. Enfin, ton but. Mais la maison toute entière explosa et s'effondra. Tu avais réussis à sortir, tu faisais quelques roulés-boulets plus loin comme tu n'avais pas réussis à sortir complètement avant l'explosion, puis souriais en regardant le ciel... bleu.
    — ...Bien-...Bien fais pour toi... Soufflais-tu, en inspirant doucement de l'air frais. J'ai gagné-... Affirmas-tu avant de refermer tes yeux violets.


[. . .]

Tu ouvrais les yeux, d'un coup. Un plafond blanc. De la lumière forte. Où étais-tu ? Ce fut la seule question qui traversa ton esprit. Ta mère et ton père apparurent pendant un clignement de yeux. Ils parlaient, mais tu n'avais pas la tête à lire sur leurs lèvres. Tu étais si fatiguée. Tu venais juste de remarquer le masque qui couvrait ton nez et ta bouche, cela t'aidait à respirer. En soupirant doucement, tu voyais tes parents qui pleuraient, cela te rappelait un souvenir amer de ta première visite à l'hôpital, mais il manquait quelqu'un. Il est vrai que tu ne savais plus différencier le réel de l'imaginaire à ce stade. Puis ta mère prit cette fameuse ardoise magique.
    — Ma chérie... La maison a prit feu et-... Les policiers suspectent une fuite de gaz mais ton frère est... Aaron n'a pas survécu-

Elle lâchait le stylo; tu écarquillais les yeux pendant que ta très chère génitrice t'enlaçait pour te rassurer, et pour se rassurer. Au fond, tu t'en doutais, vu tout ce que tu avais rêvé... Etais-ce réel ? Est ce que c'était ce que tu voulais ?

Probablement... Mais tu vivais.

Et tu allais retrouver une nouvelle maison. Puisque la tienne est morte, avec tout tes souvenirs... De Peluche et d'Aaron... Tu essayais de ne pas y penser, les premiers jours dans ta nouvelle maison, à Mekakucity furent dures. Mais tu survivais.

Tu allais toujours survivre à présent.

ϟ ET TOI?


Bonjoueuh moi c'est Ana ou Seith ou qui tu veux c: Je suis de retour pour vous jouer un mauvais tour mouwahahaha ! *sort* Et puis en fait ce tc est un peu un caprice... .w.)/ Mais c'pas grave, il est fait et puis voilà x) ça doit être le seul spéciment comme ça sur le forum... Ouais je sais j'ai abusé D: C'est ce que je me répète, mais bon il est né maintenant ce tc D8 Enfin voilà, je tiens quand même à dire que j'me suis vachement appliquée ! Notamment pour le physique et pour le caractère uwu parce que je suis vraiment nulle orz Bonne lecture aux courageux qui lise tout et pas seulement en diagonale (je comprends votre souffrance) ou juste les dialogues qui résument toute la trame de l'histoire orz Donc voilà sinon bah mon fc c'est Akemi Homura de Mahou Shoujo Madoka Magica ♥ J'espère que tout ira bien é_è
{ Battante un jour, battante toujours. ✝ [Roxana; 100%]  852375grereb
© Rocky-BL pour KPRPG
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MessageSujet: Re: { Battante un jour, battante toujours. ✝ [Roxana; 100%]    { Battante un jour, battante toujours. ✝ [Roxana; 100%]  EmptyDim 28 Sep - 17:04

Heyhey, tu connais la maison etc.
Bienvenue encore une fois qui tu veux, au plaisir de voir que vous faites beaucoup de DC/TC/QC z'êtes des fous, comme je te l'ai dis hier, je lis ta fiche aujourd'hui. Excuse moi mais je ne vais pas écrire mes pavés habituel, je n'ai déjà pas la force de RP. *part*
Enfin bon.
C'est marrant et c'est un challenge compliqué que tu joues là. Tu aurais du l'appeler Violetta ahah!
En trois mots; tu es validée.
Je t'invite à faire ta RL / demande de RP et tout !
Bonne chance pour la suite avec ce personne qui m'a l'air pas simple à jouer. ~
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