_______________________ 14 ans ________________________
Je me plongeais à fond dans la bataille qui était en train d'avoir lieux. Mes droits frappaient i vite le claviers qu'il se mettait à sauter. Je criais les ordres dans le micro, mes camarades me recevaient. J'étais prête à tout pour avoir ce boss, ma stratégie devait marcher, on comptait sur moi pour la réussite de l'opération !
- Rebecca …J'ignore la voix de mon père car j'ai fort à faire, mon escouade souffre, je doit les hill rapidement sinon tout est fichu.
- Rebecca …
- AttendsNous y sommes presque, Kirilian et Zibouille s'occupent des mobs quand à moi-
L’écran s'éteint. Je le regarde un certain temps puis ms concentration s'évanouit. Je regarde mon père avec un soupçon de rage.
- Pourquoi t'as fait ça ?!
- ça fait une heure que mon ta mère et moi t'appelons mais tu ne réponds pas, alors j'agis.
- C'était l’événement le plus important de l'année et j'avais bientôt terminé !! Vous auriez pas pu attendre un peu ?!Les larmes frôlent mes yeux, c’est plus fort que moi, je les essuies.
Mon père soupir et me menace de me priver d'ordinateur, car sois disant j'en fait trop. Enfin, c’est ce qu'il ferai d'habitude …
- Il faut qu'on te parles maman et moi …Il me guide dans le salon, je m'assois et je le regarde en silence, toujours un peux vexée. Si cela pouvait ne pas s'éterniser pour que je puisse retourner aller rejoindre mon escouade au plus vite.
- J'ai eu une promotion ! Annonce mon père.
- Ah bon ?!
- Oui. Affirme maman en souriant, on part autours du monde ♥
- Eh … je veux dire, sérieusement ?!
_______________195e jour de voyageLe voilier naviguais sereinement, la mer était calme aujourd’hui. Je regardais îles polynésiennes se immerger de l'horizon tandis que le vent venait me décoiffer à tout bout de champ. Qu'n était bien, voilà déjà six mois que j'ai quitté le pays. Il m'arrive de temps à autre d'y repenser mais lorsque je me rappelle des cons qui se trouvaient à mon école … Je me dis que je suis bien ici. La neige ne me manque pas, quand je me dis qu'actuellement il doit bien y avoir un ou deux mètres.
- Rebecca ?
- Oui ?
- Tu a fais tes devoir ?
- J'ai révisé le Russe et l'Espagnol !Mon père surgit de l'habitacle et me regarde avec un air étrange.
- Le russe ? Tu devrais faire un peu de mathématique et d'histoire quand même …
- Je saiis … Puis je me disais que ça pouvais être marrant d'apprendre le russe ! Et après j'attaquerais peut être avec le Japonais !
Lors de ce voyage j'avais pris une décision farfelue … Devenir quelqu'un de spécial, quelqu'un qu l'on respecterais pour ce qu'il fait. Si mon cerveau me donnait les capacités d’exceller dans un domaine alors il fallait que je le trouve ! Il n'a pas fallu aller bien trop loin pour découvrir ce dont j'étais capable : les langues.
Depuis, je pends un malin plaisir à les apprendre.
_______________197e jour de voyageA mon journal de bords,
Aujourd'hui la journée a été radieuse ! Puisque ce sont les vacances en France, je n'ai pas eu la chance d'intégrer une école et puis de toute façon, vu le programme que je me suis attribuée, je doute que cela soit nécessaire.
Je n'ai pas fait grand-chose à part me promener et mettre deux ou trois heures à retrouver l'hôtel puisque je m'étais perdue. Chose fatidique dans cette histoire : il se trouvait a 300m de moi et je ne faisais que tourner en rond et m'éloigner encore plus.
Je comprends pourquoi la droite et la gauche exigent maintenant… Un jour je saurais JE LE SAURAIS.
_______________198e jour de voyageLe soleil se levait lentement sur la plage et moi je restais là à l'observer. Mon père ayant décidé de partir en furie a 5h du matin, je me suis réveillé. J'ignore ce qui l'avais poussé à quitter la maison aussi vite mais mas mère était furieuse tandis que moi, je me complaisais dans ma solitude. Mes personnages vivaient une fabuleuse aventure au travers de divers pays ! J'étais la gardienne des dimensions, l'une des rares à avoir sympathisé avec un noble démon. Et tous deux nous parcourions le monde à la recherche du sens de la vie.
Et puis un bruit me coupa dans ma pensée. Je tourna la tête et mon regard se posa sur une jeune fille et son canoë. Comme elle peinais à le traîner, je ne pouvais me résigner à la laisser comme ça.
- Besoin d'aide ?
Elle me regarda comme si j'étais le saint esprit en personne. Je ne savais pas ce qu'elle faisais là à 6h du matin en combinaison mais elle m'avais l'air fort sympathique.
- Oui ! S'il te plais, aide moi à le soulever ! Aller … un … deux … trois !En moins de deux je me retrouva avec un bateau au dessus de la tête en train de courrir vers la plage. Elle me la vit déposer su le rivage où je fut obligée de retire mes ballerines si je ne voualis pas les abîmer.
Je m’essaya sur son canoë pour reprendre mon souffle. La jeune brune avait le teint halé et deux magnifique yeux ambré. Elle était grand fin
- Tu fais quoi ici ?
- Oh moi ? Ben jvais naviguer un peu histoire de décompresser.
- A cette heure ?! M'esclafai-je
- Oui bon, d'accord, mon père refuse que je lui emprunte sa pyroque pour naviguer seule. Et toi tu fais quoi seule sur la plage ?
- Oh … pas grand-chose, je n'arrive plus à dormir.
- Ouais … je connais ça … Tu es ?
- Rebecca Winslet et toi ?
- Isamir Bunkefal … Mes parents sont d'origine indienne. Toi pas besoin d'aller plus loin pour savoir que tu viens du Canada.
Ah mon accent ...
- Oui !
- C’est comment là bas ?
- Ben […]Après avoir poursuivit cette discutions durant de longue minutes, Isamir embarqua enfin à bord de sa pirogue. Je m'en voulais un peu de lui avoir mangé un peu sur son temps de navigation mais elle semblait ravie de m'avoir rencontrée. Nous échangismes sur un dernier au revoir, nos numéros de téléphones et l'endroit où nous vivions. Je lui indiqua le village de vacance où nous nous étions installées ainsi que l'emplacement de notre voilier au port.
______________204e jour de voyageJ'ai passé la quasi totalités de la semaine partagée entre mes cours par correspondance et la plage. Voyant que je m’ennuyait, mes parents m'ont proposer de prendre des cours de paddle à une seule condition : il fallait que je garde les enfant du gérant la matin et le soir. Cela ne me posait pas vraiment de problème puisque je n'avais pas grande chose à faire de mes journée. De temps à autre je croisait Isamir sur la plage ou alors je la voyait partir pêcher avec son père. Quand le temps le permettait, nous nous adonnions a de très longues discutions où nous refaisions le monde, critiquions les hommes.
Jamais je n'ai rencontré quelqu'un de mon age capable d'avoir une discutions avec moi. C’est un peu tôt pour le dire mais je crois m'être faite une très bonne amie.
Je lève le nez de mon journal, il est quinze heure. Le temps est maussade dehors, je n'ai pas vraiment dormis de la nuit. La pluie est si forte qu'en frappant le toit, elle produit un bruit un bruit de télé grésillante. Je soupir. Ça y est, l’ennui me reprends, je décidé d'aller voir ce que peu bien faire ma mère.
A peine levée de ma chaise, la porte s'ouvre brutalement, le pluie pénètre avec force. Izamir pénètre dans ma chambre, trempée jusqu'aux os. Je n’hésite pas un instant pour fermer la porte du mieux de que je peux puis je file lui donner une serviette propre.
La pauvre indienne reste silencieuse, fixant le sol. Elle ne réagit pas lorsque je lui propose ma serviette. Je le regarde avec un soupçon d'inquiétude, quelque chose ne tourne pas rond.
- Isamir ? Quelque chose ne vas pas.
- C-c'est ma sœur … E-elle jouais sur la plage e-et … IL FAUT QU'ON AILLE LA SAUVER !
- N-non, ne me dit pas que …J'ignorais qu'elle avait une sœur mais j'étais prête à tout pour l'aider. J'avais compris qu'elle était sur le point de se noyer et l'hôtel n'étant pas très loin de la plage, c'était l'endroit le plus court pour aller chercher du secours.
- Attends je vais chercher ma mère !
Elle pris mon bras et elle le serra fort.
- On a pas le temps ! Il faut faire vite !Sans me demander mon avis elle me tira dehors, dès lors il étai trop tard pour faire machine arrière, je ne pouvais que la suivre jusqu'au rivage. On embarqua sur une pirogue mal grès une mer houleuse. Je ramais comme je pouvais tandis que Izamir appelait sa sœur.
Je me retourna a bout de cinq minute, le rivage était loin et non ne cession de nous éloigner.
- Isa' ! Il faut qu'on arrête ! C’est fini, il faut faire demis-tour maintenant sinon on ne pourra plus retourner à terre, m'écriais-je pour couvrir le vacarne de la pluie.
- NON ! On doit continuer à la chercher ! Elle ne doit pas être loin !
- Isaaa, il faut qu'on rentre !Elle me regarda avec mépris, les yeux chargé de haine. Elle se retourna brusquement et pruis mon col.
- Écoute moi ma vielle, ma sœur c'est toute ma vie. Si je la perds c'en est fini, autant crever ici.Je resta bouche bée.
Pourquoi m'avoir attirer ici ? Pourquoi moi ?! Je n'ai rien à voir avec cette histoire, cela fait seulement six jours que l'on se connais ! Il fallait se faire une raison, elle voulait m'attirer avec elle dans sa tombe. Mal grès tout je tenta de faire demis- tour. C’est moi qui avait la rame, pas elle. C'était ma dernière chance.
- Qu'es tu fout ?!
- ON RENTRE.Elle se jette violemment sur moi afin de récupérer la rame. Je le tenait aussi loin que possible d'elle. Je ne voulais pas mourir voilà tout.
- Donne moi cette rame.
- NON.
- Donne la moi-Une vague la frappa de plein fouet et elle bascula par dessus bord. Je me releva du mieux que je pu. La pirogue était en train de se gorger d'eau, elle était à la limiter de couleur. Moi je regardais au alentours, il fallait absolument que je la sauve.
Au bout de deux minutes d'intense silence, j’aperçus une centaine de mètre plus loin, la jeune indienne au bord de la noyade ; Dans un ultime effort, elle brandissais ses bras. Immédiatement, je dirigea le bateau dans sa direction. Rarement je n'avais navigué dans de pareilles conditions.
Après une effort d'une intensités sans égale, j’arrivai à son niveau. Je lui tendit la pagaye .
- Attrape !
Elle la saisi si fort que je bascula moi même par dessus bord. Je me retrouva a boire la tasse une disais de fois au moins. Il était impossible de trouver un certain équilibre ou de nager correctement en cette mer. Isamir se rapprocha de moi.
- Tout ça c’est de ta faute ! Si tu m'avais écouté on en serait pas là.
- Non je-Une vague nous submergea. Je ne pu exprimer ma rage correctement. Comment pouvait-elle ?! C’est ELLE qui avait décidé ! Pas moi !
- On devais rentrer !
- C’est toi qui a dit à mon père que je sortais, avoue c’est toi !
- Voyons je-… Déteste ces vagues d'un mètre et demis de haut. - Dis pas de la merde ! Il m'as frappé tu comprends, il m'a frappé toute la nu-Le silence. Je l'ai rarement apprécié avec autant de brutalité. Elle s'est tût. Je n'entends plus que la mer qui se déchaîne en surface. Mon corps ne réponds que très peu. Je tente de nombreuses fois de remonter mais un courant me pousse vers le fond. Isamir s'agrippe alors à moi ; Je tente de me défaire d'elle mais sa prise est trop serrer. Tout ce que je fait c'est me défoncer le basin. Au bout d'un certain temps, le souffle me quitte. Je sens l'eau emplir mon corps. Je voudrais tellement remonter en surface.
Si-si seulement elle m'avais écouté, si seulement elle m'avait fait confiance, nous n'en serions pas là. Moi qui la croyais être celle que je recherchais tant. Une amie sur qui compter. ______________204e jour de voyage#ERROR HEAT HAZE activatedJe me réveille dans une chambre, celle de l'hôtel, le corps tremblant, les mains moites. Je ne sais pas ce qu'il s’est passé. Une rêve lucide peut être ? Il m'arrives souvent d'en faire et ils sont d'une grande intensités. Mais celui-là est certainement l'un des pire. Espérons que cette connerie de dico des rêves disent vrai : se voir mourir est signe d'un grand avenir.
Je remarque une étrange lueur bleutée projetée au plafond du salon. Rapidement, j'enfile quelques affaires et je m'y rends.
Le selon est tel que je l'ai laissé ce matin après l'avoir rangé. Rien n'a changé. Puis je porte lentement mon regard sur la fenêtre.
Je ne saurais exprimer ce que j'ai ressenti à ce moment là. Un choc, une incompréhension ?
Un vide complet face à cette démesure.
A travers de la fenêtre, on voyait le fond de la mer. Ce n'était pas juste une image projetée - auquel cas, cette lueur bleue ne parviendrait pas jusqu'à la pièce.
Je tache de ne pas céder à la panique, même si ce fort sentiment qui m'envahis, me serre le cœur, entaille ma respiration.
Calme toi Reb … Calme, respire et détends toi, calme … calme … calme ... J'arrive à me détendre partiellement. Je sais pertinemment que tout ceci ne tiendra pas longtemps. Je maintient une respiration relaxée tandis que je visite doucement l’appartement.
Je ne sais ce qui m'attends.
Le silence environnant est oppressant, jamais il n'eut un tel vide au sein d'un appartement. La musique est l'une de nos principales activités ma mère et moi. Pas un jour ne passent sans qu'une douce cacophonie résonne dans cette étrange harmonie que forme notre famille.
Ne voyant que rien n'avais changer, je souhaite absolument sortir. Le cœur me serre, c'en est insoutenable.
Je me dirige vers la porte du jardin, je pose la main sur la poignée mais cette dernière est fermée. Je tente la Véranda et la porte de sortie mais elles aussi, fermées.
Je trembles, les larmes caressent mes joues et un sourie tendu naît sur mon visage. Ils m'ont abandonné ? Je suis seule, complètement seule, au fond de cette mer. Jamais je ne pourrais en sortir, du moins, je ne vois aucun moyen de quitter cet endroit.
Je fini par me rouler en boule dans le canapés du salon. Pour me rassurer, je chantonne tant bien que mal un air que ma mère m'avais appris.
If you feel lonlyless inside of you …
If you remember that day, once again,
Don't forget, I'll be by your side.
Everything, is not easy, my de-
- Rebecca ?
Ma voix se coupe soudainement, je lève mon visage noyé par les larmes.
- I-I-Iz-am-mir ?Elle se tient là, en visage de moi, me dévisage de ses perles dorées. Je suis soulagée, tellement soulagée, de l'avoir à mes cotée dans cette galère. Je voudrai tellement l’assommer de question, savoir ce qu'il s’est passé, comment elle est arrivée là et si vrraiment c'est elle qui m'as … Mais je ne peux pas, les mots restent bloqué dans la gorge et les larmes coulent de plus belle. Qu'es qu'il m'arrive ?
Elle vient s’asseoir à coté de moi et tache de me réconforter en me serrant dans ses bras. Sa présence est douce et apaisante, son corps chaleureux. Elle me murmure des mots doux avec un léger accent. Je finit par me détendre complètement.
- Qu'es que tu fais là ? On est arrivées comment ici ?!
- J'ai voulu te prévenir de l'incident et, lorsque je suis arrivée je me suis retrouvée ici. Je n’arrive pas vraiment à comprendre pourquoi.
- O-On et vraiment sous la mer ?
- Je n'en sais rien … reste calme et respire d'accord ?
- Oui. Et puis le temps passe sans que nous puisons trouver une explication possible, nous sommes coincées, voilà. Rien ne pourra nous permettre de revenir en arrière, il nous faut attendre péniblement une solution.
______________204e jour de voyage#ER_OR H_-AT HAZE acti_at°dCher carnet de bord,
La nuit a été agitée pour moi, j'ai souvent cru étouffer dans mon sommeil, je me suis réveillée presque 5 fois en sursaut et en larme. Le stress est évident, je ne me sent pas bien ici, quelque chose cloche depuis cet étrange rêve.
Aujourd'hui, nous avons inspecté l’appartement de font en comble sans vraiment rien trouver. Bonne nouvelle, nous avons suffisamment pour tenir deux à trois semaines pour deux. Plus si nous régulons nos réserves. L'eau du robinet coule correctement, elle est potable et non salée.
J'ai passé la journée à chanter, à discuter avec Izamir, c’est la première fois que je passe autant de temps avec elle et je doit admettre que c'ets plutôt agréable.
______________204e j@ur _e v/#yage#ER_Oà H_-A@ H*ZE acti_at°dCher carnet de bord,
J'ai poursuivi mes recherches dans l'appartement mais cela n'a rien donné. Aucune clé, aucun outil pour forcer les serrure, plus d'internet ni de réseau. Je ne crois pas me tromper en disant que nous sommes à Huit clos pour raison qui m'échappe.
Nous occupons le temps, comme nous pouvons.
______________2{4e j@u~ _e v/#yage#ER_Oà H_-A@ H*ZE a&ti_at°dCher carnet de bord,
Je me suis assez relâchée ces dernière semaines, nous avons joué discuté mais au moment ou j'écris … Je crois- Je me souviens avoir mit une clef de rechange sous mon synthé' comme je le fait toujours en grande tête en l'air. C'est le seul endroit dont je me souviens et auquel je reviens tout le temps.
______________############FATAL ERROR############
Je me suis finalement levée au milieu de la nuit, l'idée que la clef puisse ouvrir le porte m’empêchait de dormir. Je m'étais pourtant promis d'attendre le lendemain.
Je regarde un coup au travers de la chambre d'Izamir, elle semble dormir à point fermé. La voix est libre, je m'engage dans le couloir pour rejoindre le bureau de mon père. Mon synthé est là, au milieu de la pièce et la clef aussi. Je me précipite vers elle.
Je vois quelque chose de gigantesque passer près de la fenêtre, qu'es que c'était ?
**Es-tu vraiment sûre que vouloir sortir ? **
Une voix ? Je ne cherche pas à comprendre et je saisi la clef. L'instant d'après, un serpent géant, surgit de la vitre laissant l’appartement inondé.
J'ai froid, je ne sens plus mon corps, plus rien ne réponds.
______________ 17ans ______________
Le temps a passé depuis ce jour. Je n'ai su ce qui m'a pris, m'aventurer en pleine mer comme ça … Mes parents éteint tellement inquiets lorsqu'ils ont appris la nouvel. Par la suite nous sommes montée en Indonésie, Honk Hong et puis finalement le Japon. Je ne sais ce qui a pris a ma mère mais elle littéralement tombée raide dingue de Makakushi et elle n'a plus voulu la quitter.
Depuis, je vis ici. Entre temps mon père est allé terminer ses recherches jusqu'en Iran puis il finalement revenu au bout d'un an.
Quant à moi … Et bien, il ne se passe pas grand-chose. J'ai été inscrite au lycée et j’étame ma 3e année en avril. Je me suis fait beaucoup d'amis et je dois admettre que mon statut de présidente du conseil des élèves m'a beaucoup aidée ! Il n'y a pas un élève que je connaisse, par contre je doute qu'il m'aient déjà vu !