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 La lumière parmi les nuages noirs. - Kurogumo Hikaru

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MessageSujet: La lumière parmi les nuages noirs. - Kurogumo Hikaru   La lumière parmi les nuages noirs. - Kurogumo Hikaru EmptyJeu 14 Aoû - 21:45



Kurogumo Hikaru




La lumière parmi les nuages noirs. - Kurogumo Hikaru 1408035748036432200
« L'enfer ? C'est chez moi. »
Nom: 黒雲 : Kurogumo, littéralement "Nuage noir"
Prénom: 光る : Hikaru, littéralement "Briller, étinceler"
Sexe: Masculin
Âge : 17 ans
Date de naissance : 10 Juin 1997
Groupe Sanguin : O
Orientation sexuelle : Asexuel
Groupe : Sans capacité
Capacité :
Cause de mort :












Physique


Hikaru est un garçon japonais, ça, c'est flagrant. Ayant passé le plus clair de sa vie à être en sous-alimentation, sa croissance en a pâti. En effet, même pour un Japonais, un mètre soixante pour une petite cinquantaine de kilos, à son âge, c'est extrêmement peu. D'ailleurs on peut très bien le voir sur son corps : ses membres sont fins comme des allumettes, ses côtes saillantes, et il n'a aucun muscle. Sa silhouette est donc fluette, comme celle d'un enfant d'une douzaine d'années, et il peut se glisser partout sans trop de problème. Hikaru est très souple et agile. Il déteste se découvrir car, en plus de sa maigreur, il porte des marques de coups indélébiles, ainsi que quelques cicatrices qui lui rappellent de mauvais souvenirs.
Il a le teint très pâle, presque exsangue. Ses cheveux, très fins, sont d'un marron si foncé qu'ils en paraissent noirs. Ils sont raides et légèrement fourchus sur la pointe, longs jusqu'aux omoplates environ. Il les attache habituellement en une queue de cheval négligée, si bien que quelques mèches dépassent de-ci de-là, tombant près de ses joues. La lumière s'y reflète très facilement, et lorsqu'ils sont propres, ils brillent beaucoup. En-dessous de son grand front, on trouve deux sourcils longs et fins, surmontant des yeux noirs semblables à des perles de charbon. Ils ne brillent pas vraiment, et ne reflètent pas grand chose, si ce n'est son air impassible. De forme assez ronde pour un Asiatique, ils paraissent grands et attirent parfois l'attention. Ses cils sont quasiment inexistants, aussi fins que petits. Il a un petit nez rond et légèrement retroussé, juste au-dessus d'une petite bouche aux lèvres sèches. Très souvent gercées, elles sont d'un rose pâle qui fait qu'on ne les remarque pas. De manière générale, ses traits sont fins, son allure androgyne, et on peut facilement le prendre pour une fille. Il ne cherche pas spécialement à ce que ce soit le cas, mais ne changera pas pour autant non plus.
Du côté des vêtements, le jeune homme n'a aucun style particulier. Tant qu'il a de quoi se couvrir, et si possible de sorte à ce qu'on voie le moins possible son corps, il s'en contentera. Ses vêtements sont donc très amples, avec des manches longues, et de couleur sombre, c'est moins salissant. Il ne les accorde pas toujours, la mode n'a aucun intérêt pour lui, et il préfère voir l'aspect pratique des choses. Il ne porte aucun accessoire particulier, si ce n'est une ceinture. Il n'aime pas du tout cet objet, mais il est obligé d'en porter une s'il veut cacher ses jambes. Son corps n'a ni tatouage, ni piercing. Ça ne lui plaît pas, et en plus il ne pourrait pas se les payer.


Mental

De manière générale, Hikaru est quelqu'un de renfermé, intelligent, et craintif.
Premièrement, la société et lui, ça fait deux. Il est timide, complexé par son apparence, et très peu bavard. S'il peut communiquer sans avoir à parler, il le fera. En règle générale, il évitera à tout prix d'avoir à communiquer, de toute façon. Très discret, il essaye toujours de se faire tout petit, voire invisible, et il faut vraiment insister pour qu'il s'ouvre à quelqu'un. Néanmoins il a moins de mal à se socialiser que lorsqu'il était plus jeune. Il ne supporte pas le contact physique, si jamais quelqu'un le touche il prend peur et se renferme directement sur lui-même. Pour lui, c'est comme une agression, un piétinement sur son espace vital. Ce n'est même pas sûr qu'il laisse les personnes de confiance le toucher. Mais déjà, il faut gagner sa confiance. Il l'accorde extrêmement difficilement, il faut vraiment qu'on lui prouve qu'il n'y a aucun danger. Mais une fois que c'est fait, elle est gagnée pour la vie, à moins d'une trahison, qui lui causera une douleur sans nom, pouvant aller jusqu'à la dépression.
Sous cette carapace se cache toutefois une personne attentive. Il a une très bonne mémoire, et est en règle générale assez perspicace. Des détails sans importance pour la plupart des gens peuvent l'affecter, en bien ou en mal. N'ayant pas eu une éducation "normale", il trouvera certaines choses, et certains codes sociaux étranges, mais essaiera vite de s'adapter pour ne pas décevoir ses proches. Il n'a pas de préjugés sur les enfants ou adolescents, mais déteste les adultes, la notion de "travail", et lui en parler peut vite l'énerver, bien qu'il soit de nature calme et discrète. À force de lire, même s'il n'a appris que tardivement, il manie plutôt bien les mots, et peut faire mal avec, notamment en disant tout haut ce qu'on ne veut pas admettre. Cependant, il ne le fera qu'en dernier recours, il déteste le faire.
Dernier trait de caractère vraiment représentatif du jeune homme : la crainte. Elle est presque permanente, et il a peur de beaucoup de choses. Il a appris à le masquer, mais si elle s'intensifie, il cherchera très vite à fuir.
Agoraphobie : Peur des lieux publics et des foules, des endroits où il est difficile de fuir. Pour lui, un autre être humain, en particulier les adultes, est synonyme de bourreau, de profiteur, de danger. Lorsqu'ils sont peu, il arrive à s'y accommoder, mais une foule est bien trop dense pour qu'il s'en approche. Il n'y a aucun point de repère, aucun moyen sûr de s'échapper, pas une vue dégagée. Ça parle, ça bouge, ça grouille, il panique très vite dans ce genre de situation.
Haptophobie : Peur d'être touché. Depuis qu'il est tout petit, le contact principal qu'il a avec sa mère est d'être battu. Il est donc victime d'un traumatisme, qui fait qu'il ne supporte pas qu'on le touche. Doublé d'un complexe par rapport à sa petite taille et sa maigreur.
Cheimophobie : Peur de l'orage, des tempêtes. C'est comme si les nuages qu'il aime tant l'attaquaient, c'est impossible pour lui. En plus d'être mal à l'aise avec les humains, l'une de ses seules sources de réconfort pourrait devenir violente ? Ça le terrorise.
Pornophobie : Peur de la sexualité. Pour sa mère, c'est devenu si banal que ça ne l'affecte plus, mais pour n'importe qui d'autre, il en a très peur. La nudité ou le sexe chez autrui l'effraie. L'idée qu'on essaie de le toucher, l'embrasser, ou plus, lui fait extrêmement peur, il ne veut pas finir comme sa mère.
Peur de l'abandon. Bien qu'il soit du genre solitaire, être abandonné par quelqu'un qui l'aime l'angoisse au plus haut point, car c'est synonyme de grande douleur. Même avec sa mère, il en a peur. Il la côtoie depuis trop longtemps, si elle partait, son quotidien serait bouleversé, et son sentiment de peur permanente ne ferait que s'agrandir.
Peur des adultes. Cette peur est moins intense que les autres, et passe au fur et à mesure qu'il grandit. Mais il considèrera toujours les adultes comme un danger potentiel, bien plus que les enfants.



Histoire

Des cris de plaisir, des craquements de lit. Une nuit torride. Certainement l'une des meilleures que cette jeune femme ait passées. Mais, à long terme, cette nuit ne lui attirera que des problèmes. Dont un, neuf mois plus tard, nommé Hikaru. Toi.

C'est ainsi que tu es né, comme qui dirait «par accident». Cette femme te désirait autant qu'un cancer. Et elle te l'a fait comprendre dès le début. Te donner le sein ? Pas son truc. Mais il fallait bien te nourrir. Car aussi détestable soit elle, elle n'est pas capable de tuer. Tu resteras donc en vie, même si ça doit être un enfer. Des biberons, donc. Jusque là ça allait, artificiels ou non, tu ne faisais pas la différence. Ce qui t'importait, c'était de ne pas être seul. N'importe quel nourrisson a besoin de sa mère. Mais certains ont plus de chance que d'autres. La tienne n'était jamais là. Le «travail». Ce travail, tu l'as vite détesté. Quand elle y allait, elle prenait l'habitude de te laisser enfermé à la maison, bâillonné pour éviter les soupçons des voisins. Quelle joie, d'avoir un bébé à la maison. Tu as mis du temps à la considérer comme ta mère, mais tu avais besoin d'elle. Elle ne te sortait jamais, ton monde se résumait à ce taudis de banlieue qui vous servait de maison, et à elle. Ton père ? Tu ne l'as jamais connu. Elle non plus d'ailleurs. Des hommes, elle en a vus des centaines. Plusieurs par jour, et toujours pour la même raison. Le «travail».

Et puis, tu as commencé à grandir. Là, c'est devenu encore plus compliqué. À commencer par le fait de manger. Incapable de cuisiner, elle t'a toujours, aussi loin que tu t'en souviennes, «préparé» des plats en conserve de basse qualité, faute de pouvoir se payer mieux. Ces trucs malsains, trop salés, trop gras, trop sucrés. Parfois périmés, tu as été victime de plusieurs maladies à cause des repas. Ça t'a très vite dégoûté. Tu ne te nourrissais plus, ou à peine. Un repas par jour, au mieux deux, histoire de survivre. Au début, ça la fâchait, car elle prenait tout de même la peine de te nourrir ! Ah, elle t'a battu, pour ça, la folle. Plus tu criais, plus tu pleurais, plus elle frappait. Il ne fallait pas attirer l'attention, ou ça retomberait sur elle. Très vite, tu t'es mis à la craindre, à attendre avec une impatience obsessionnelle qu'elle aille travailler. Tu profitais du calme ambiant, sans jamais faire un seul bruit. Un comble, être silencieux quand elle n'est pas là. Tu regardais les nuages, dehors, le ciel. Ça t'a toujours fasciné, car ils sont si hauts, si hauts qu'elle ne pourra jamais les atteindre. Laissant ton imagination prendre le dessus, tu t'imaginais t'envoler, les rejoindre, et enfin vivre hors de cette crainte, de ce malaise permanent. Tu passais des heures à la fenêtre, sans pour autant oser sortir. Car tu voyais aussi la rue, le sol, les autres gens. Tu n'y connaissais rien, gamin que tu étais, tu les croyais tous comme elle. Dehors, ça te faisait peur, encore plus peur qu'elle. Quand elle rentrait, tu courais te planquer, et tu t'es très vite fait discret. Tu t'es effacé le plus possible. Elle semblait toujours fatiguée, tourmentée, elle t'adressait à peine la parole. Tant que tu ne faisais rien qui la dérangeait, elle te laissait plus ou moins tranquille. Elle voyait bien que tu ne mangeais presque pas, et elle s'est donc mise à faire des économies sur la nourriture. Parfois, elle te ramenait un fruit. Ça, tu as tout de suite aimé. Doux, tendre, tout ce dont tu avais besoin.

Tu t'es contenté de cette vie amère parfois ponctuée de douceur plusieurs années, ça t'allait. Tu ne connaissais rien du reste, après tout. Jusqu'à ce qu'un soir, puant l'alcool, elle ramène un homme à la maison. Particulièrement sévère, elle t'a ordonné de ne pas les déranger. Elle allait «travailler». Ce soir là, tu n'as pas pu dormir. Terré dans le placard sous l'évier, tu as tout entendu, tout vu. Les enfants de l'âge que tu avais se posent tous la question «Comment on fait les enfants ?», toi tu avais eu la réponse la plus explicite qui soit. Ça t'a empêché de dormir et de manger plusieurs jours, ça te hantait. À tel point que tu as voulu lui en parler. Très mauvaise idée. Elle t'a juste dit que ça se reproduirait, il lui fallait du fric. Ah, elle t'a battu, aussi, une fois de plus. Mais à force, tu avais pris l'habitude de retenir tes hurlements. Ce sujet est donc devenu tabou, bien qu'omniprésent dans vos vies. Tu ne t'en es jamais remis. Des plus en plus fréquemment, ta maison s'animait le soir, et tu étais obligé d'assister à tout. Encore quelque chose qui t'a vite dégoûté. C'était devenu une habitude, de voir les hommes défiler comme ça. Tu n'arrivais pas à croire que tu deviendrais comme ça en grandissant. Ces fragments du dehors, tu les haïssais tous plus les uns que les autres. Et pourtant tu passais toujours autant de temps à regarder les nuages. Eux, ils étaient beaux, apaisants. Tu essayais de te convaincre qu'il y avait un moyen de les atteindre, de les rejoindre. Qu'ils t'accueilleraient à bras ouverts. C'était certainement la seule raison pour laquelle tu aurais souhaité sortir. Parfois, tu voyais d'autres enfants dehors, qui rigolaient, qui jouaient. Ils avaient l'air contents, mais pourquoi ? Après tout, leurs parents devaient leur faire du mal aussi, non ? N'avaient-ils pas peur d'aller dehors ? Ça t'intriguait, mais tu n'osais pas sortir. Ils te faisaient peur, tu ne savais pas comment tu pourrais leur parler, de toute façon.

Le temps est passé, tu t'étais accoutumé à ce nouveau quotidien, et en grandissant tu devenais de plus en plus impassible. La douleur, la peur, le dégoût, plus rien n'apparaissait sur ton visage. Tu étais silencieux, invisible. Comme ça tu n'avais pas de problème. Tu n'étais pas perturbé, tu ne perturbais pas. Curieusement, un matin, très tôt, un des clients de ta mère t'a remarqué. Ça arrivait qu'ils dorment à la maison, mais jamais qu'ils s'intéressent à toi.

«Oh, bonjour. Tu vis ici ? Comment t'appelles-tu ?»

Cette simple question t'a fait sursauter. Paralysé, tu n'as pas pu répondre. Tremblant, mais surtout très surpris, tu as voulu fuir, l'éviter. Malheureusement, il a insisté. En voyant tes refus répétés, il a néanmoins fini par laisser tomber. Ça, c'était ce que tu croyais, du moins. Car il est devenu un client régulier. Et le matin, il essayait toujours de s'immiscer dans ta vie. Jamais il n'a abandonné.

«Peut-être aurais-je dû me présenter avant de te demander de le faire. Je m'appelle Hikaru.»

Tu n'en revenais pas. Cet homme, il portait le même nom que toi ! Sous le coup de la surprise, tu as complètement oublié ta peur, et bafouillé un «Moi aussi !», qui t'a vendu.

«C'est vrai ? C'est joli.», t'a-t-il souri. «Ça veut dire "briller, étinceler". Ce prénom promet un grand avenir à ceux qui le portent.», a-t-il gentiment expliqué.

Venant d'un type qui se paie une prostituée, c'est un peu moyen, mais il était plein de bonnes intentions. Et ça t'avait touché en plein dans le mille. Au fur et à mesure que les mois ont passé, tu t'es ouvert à cet homme. Plus vous parliez, et moins tu avais peur du dehors. Il t'a appris beaucoup de choses. L'existence de l'école, des avions pour aller dans le ciel, et même que la nourriture pouvait être bonne. Ça t'avait donné envie de sortir, et le jour de ton treizième anniversaire, alors que ta mère était absente, tu as enfin réussi à mettre les pieds dehors. En ce jour d'été, le ciel était beau, l'air agréable, bien que ton quartier soit un peu mal fréquenté. Tu n'allais pas bien loin, mais tu découvrais, avec un certain étonnement, que le monde était vaste. Cette ouverture sur celui-ci t'a changé, et tu appréciais ce changement. Tous les jours tu sortais, tous les jours un peu plus loin. Très discret, c'était à peine si on te remarquait. Mais toi, tu voyais tout, et tu mémorisais très bien tout ce que tu vivais au dehors.  En si peu de temps, tu en apprenais plus chaque jour, et chaque jour tu avais envie d'en découvrir plus. À côté de ces sorties, tu parlais avec Hikaru, qui t'en apprenait beaucoup lui aussi. Il t'a montré comment écrire et lire, et fut surpris de voir à quel point tu apprenais vite, car la langue japonaise n'est pas une des plus faciles. Il te répétait que tu avais du potentiel, et que c'était dommage que tu n'ailles pas à l'école. Certes, le monde te faisait moins peur, mais tu ne te sentais pas prêt. Les autres gens t'effrayaient encore, et tant qu'il était là pour t'apprendre, tu n'en voyais pas l'intérêt. Tant qu'il était là, ta vie était agréable.

Tant qu'il était là… La séparation a été la plus grande souffrance que tu aies connue. Et pourtant, avant son arrivée, tu en avais vues des vertes et des pas mûres. Mais après plus de deux ans en sa compagnie, ça t'avait fait l'effet d'un poison qui se répandait dans tout ton corps, lentement, amèrement. Tu n'as jamais su ce qui s'est passé. Du jour au lendemain, il avait disparu, n'avait plus donné aucun signe de vie. Tu t'es dit qu'il avait dû s'absenter, qu'il reviendrait. Un jour, une semaine, un mois, rien. Volatilisé. Ta naïveté d'enfant disparue, grâce à lui en plus, tu l'as présumé mort, même si tu en as énormément souffert. C'était mieux ça que l'espoir vain de le voir revenir un jour. Tu pouvais passer à autre chose. Passer à autre chose… Ça t'a pris un moment. Quoique tu fasses, tu pensais à lui. Et pas question de demander à ta mère, non. Tu avais retenu la leçon. De toute façon, c'était comme si elle n'existait plus. S'était installée entre vous une ignorance mutuelle. Elle te logeait, te nourrissait, te battait parfois. Tu supportais. Point. Aucun dialogue, tu savais que tu perdrais ton temps. Et tu avais fini par apprendre qu'elle te gardait pour attirer les hommes, prétextant être veuve, avoir tout perdu en même temps que son mari. Ça marchait bien, d'ailleurs, alors tu laissais faire. Fallait bien manger, même si tu ne mangeais pas plus qu'avant.

Tu sortais toujours, connaissant maintenant bien Mekaku City, à force de t'y balader. C'est que tu avais le temps, tant que tu rentrais avant ta mère. Tu passais la plupart de ton temps dans les rues. Avant de découvrir la bibliothèque. D'après Hikaru, c'était un endroit calme, où tu pouvais lire tranquillement. Tu ne t'en étais rappelé qu'en arrivant devant. Et depuis, tu y passes tes journées. Lire te permet d'oublier, d'échapper à cette vie fondée sur la douleur, qui ne rime à rien. Comme regarder les nuages. Tes deux passes-temps préférés. C'est d'ailleurs ça qui rythme ton quotidien, désormais. Supporter ta mère, ton taudis, ta solitude, est devenu plus facile.


Et toi alors ?

La lumière parmi les nuages noirs. - Kurogumo Hikaru 1408036276048117000

Prénom/Pseudo : KFC
Sexe : Poulet
Âge : Cot cooot !
Comment as-tu découvert le forum ? Merci, moi ♥
Et tu le trouves comment ?
Expérience RP : Quelques mois
Un double compte ? KFC je vous dis !
Et le personnage sur ton avatar, c'est qui ? Shiro Yoshiwara, du manga Adekan
Autre chose à déclarer ?
Cliquez ici ♥


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MessageSujet: Re: La lumière parmi les nuages noirs. - Kurogumo Hikaru   La lumière parmi les nuages noirs. - Kurogumo Hikaru EmptyJeu 14 Aoû - 22:11

Re-bienvenuuuuuue!
(arf non pas la chicken song naaaaaaa *roule*)
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MessageSujet: Re: La lumière parmi les nuages noirs. - Kurogumo Hikaru   La lumière parmi les nuages noirs. - Kurogumo Hikaru EmptyJeu 14 Aoû - 22:32

Bon j'ai pas grand chose à dire huh, à part RE WELCOME TO MY WOMB :D ! La fiche est cool et tout et tout alors je te valide wow (quelle surprise, MOI faire ça) et bon, tu connais les bails cousin aight alors pas besoin de te dire
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MessageSujet: Re: La lumière parmi les nuages noirs. - Kurogumo Hikaru   La lumière parmi les nuages noirs. - Kurogumo Hikaru EmptyVen 15 Aoû - 7:20

MERCIIIIII ! Oui, je pars dans dvdlemhz 30min mais fallait que je vienne aujourd'hui. Le nouveau design sur Days est hyper cool et tout et j'adore les couleurs, bref GG, love everyone et je ferai tout ca qu'il faut la semaine prochaine ~ (Wowo ça tue tellement moins les yeux qu'avant)
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MessageSujet: Re: La lumière parmi les nuages noirs. - Kurogumo Hikaru   La lumière parmi les nuages noirs. - Kurogumo Hikaru Empty

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