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 finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie]

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MessageSujet: finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie]   finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie] EmptyJeu 4 Sep - 0:08

ϟ Yoshida Satoru


finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie] 1409781275-tumblr-mzimiua3al1rr1hxxo1-500
NOM • Yoshida
PRÉNOM(S) • Satoru
ÂGE • 19
SEXE •
ORIENTATION SEXUELLE • Bi'
GROUPE SANGUIN • AB
DATE DE NAISSANCE • 17/06
GROUPE • Akame Dan
CAPACITÉ • Fortune Eyes • Attire la chance
CAUSE DE MORT • Intoxication au monoxyde de carbone

 

Extérieur;

Satoru ? Qui est donc Satoru ?

Satoru est un jeune homme. Satoru est un peu plus grand qu’un japonais lambda, possédant 174 centimètres à son actif, un minimum pour la crédibilité. Enfin, Satoru ne connaît que très mal la crédibilité avec sn côté maigrelet, sans être frêle pour autant. C’est que Satoru est bien léger avec ses 58 kg. Mais il ne mange pas assez, alors c’est une conséquence peu étonnante. Satoru n’aime pas vraiment manger, tout est trop fade, alors il écope d’un sous-poids, pauvre petit. Et par la même occasion, le jeune homme n’est pas très musclé. Pourtant c’est important les muscles, ça sert beaucoup pour taper sur les gens. Enfin, dans le gars de Satoru le gringalet, la batte marche mieux, moins fatigant et plus pratique.

Que dire sur sa tête en général ? Satoru a une tignasse noire corbeau, noire ébène, naturellement des plus sombres. C’est normal pour un japonais après tout, et c’est bien parfois la normalité. Plus jeune, Satoru a voulu se démarquer, a voulu faire le con, mais Satoru s’est loupé en tentant de se décolorer les cheveux. Ça lui laisse une mèche blanche bien visible au-dessus des yeux, passant difficilement inaperçue. Ce sont des erreurs de jeunesse qu’on dit. Après quoi, Satoru ne sait pas se coiffer, et ça se voit vraiment très bien. On appellerait presque ça une bed-hair avec tous tes épis ici et là, formant un ensemble peu homogène. De toute façon, être bien coiffé et présentable n’est pas ce qui intéresse le garçon, loin de là. Enfin, le garçon prend quand même le temps d’assurer sa visibilité à l’aide de quelques épingles sur le côté, pour faire peut-être un minimum crédible. Surtout quand on a tendance à arranger ses cheveux de façon à ce qu’un seul œil soit visible. Satoru fait un peu comme il le sent en fait.

Satoru possède des yeux à la couleur également des plus sombres. Un sombre noir, sans reflets aucuns, rien pour égayer un peu de telles pupilles. Une certaine mélancolie s’en échappe, comme des sentiments divers et variés. Si son visage ne reflète pas toujours les émotions de la bonne façon, ses yeux rattrapent assez bien le coup. Un regard légèrement gênant mais pas extrêmement important vu de cette façon. Pas le genre de regard accrocheur. Sauf peut-être avec les pupilles rouges. Un autre conte moins édulcoré semblerait-il. Il abordera aussi toujours de beaux cernes, parce que Satoru a besoin de plus de sommeil qu'il n'en a actuellement, pas de chance.

Une peau bien clair pour faire ressortir toutes ces couleurs sombres, mais pas non plus transparente, n’abusons pas d’artifices ici. Constamment caché derrière capuches et vêtements ample, le fait qu’il ne prenne que peu le soleil n’est en soi que peu étonnant. C’est que Satoru ne le supporte pas très cet astre brillant, en plus de l’aveugler, il provoque des certains vertiges et ce genre de choses indésirables en plus d’être bien désagréables. Mais à part ce petit point, le jeune homme est plutôt endurant en résistant, malgré un certain manque de force dite brute. On ne peut pas tout avoir dans la vie cher petit.

Un visage légèrement juvénile, on peut difficilement cacher que Satoru paraît plus jeune que l’âge qu’il aborde. Un jeune de 17 ans, c’est ce à quoi il ressemble, légèrement désireux de changer ce point. Il a quand même 19 ans Satoru, ce serait bien qu’on le prenne un peu au sérieux de temps en temps.

Son style vestimentaire à Satoru est assez simple en y pensant simplement. Les vêtements amples avant tout, le garçon tient en horreur les habits dans lesquels il ne peut se sentir à l’aise, préférant un style simpliste, celui du sweat. Le tien, ou du moins ton favori, à pour seules particularités ses motifs sur le devant, et sa capuche dans une teinte plus sombre, entre noir et chocolat. Le reste est assez banal, si ce n’est cette manie de retrousser les bas de pantalons pour une obscure raison. Le tout assorti à des baskets, et voilà venir Satoru, pour dire plus franchement, avec un certain air d’emo. Chose qu’il fera mine de ne pas remarquer, ou plutôt le jeune homme ne le remarque pas. C’est que sans aimer particulièrement son apparence, il la trouve assez normale, assez banale.  
Intérieur;

Satoru, Satoru. A la fois simple, mais à la fois compliqué, résumé parfait des individus appartenant à l’espèce humaine. Intéressant ? Pas toujours, et il ne le montrera de toute façon pas, parce que Satoru est seul. Seul et incroyablement con.

Satoru est froid, c’est sa caractéristique première, sa marque de fabrique. Il veut pas trop qu’on l’emmerde, qu’on lui cause, alors il toise, il fixe de façon agressive les gens, façon silencieuse de demander le calme de la solitude. Parce que parler aux autres, sembler être gentil et ce genre de chose, c’est trop fatigant pour le jeune homme, perte de temps injustifiée. Il y a nombre de meilleure façon de mettre son temps libre à profit. Comme par exemple, être désagréable dans ses propos, fermer la gueule des gens, faire partie d’un groupe terroriste, taper des gens, ce genre de choses qu’il considère simplement comme des moyens de tuer le temps. Et le pire, c’est avec les enfants qu’il ne supporte tout simplement pas du tout.

C’est que normalement ; Satoru apparaît comme quelqu’un de calme, quelqu’un que rien n’atteint, quelqu’un d’indifférent. Mais Satoru est froid, pas indifférent, il observe calmement ce qui se passe autour de lui, le visage impassible, une vague de sentiments dans ses yeux sombres. C’est que Satoru dit rarement ce qu’il ressent, ça lui fait perdre en crédibilité, et puis de toute façon, l’utilité d’une telle action est nulle. Il fait ressortir peu de chose ce garçon, l’agressivité, l’ironie, l’embarras. Garder sa crédibilité est important après tout, le jeune homme n’aimerait pas que les gens pensent faire face à quelqu’un de gentil et généreux. Parce que Satoru n’est ni gentil, ni généreux, et il ne l’a jamais vraiment été.  
Satoru est ironique, cynique. Il ne parle qu’en propos blessants, il est désagréable, et le pire, c’est qu’il ne fait même pas exprès. Il se fout simplement de ce que peut ressentir le gars à qui il parle, de sa vie. Il y a lui, et il y a les autres. Et entre les deux, il y a un gouffre, un gouffre tellement grand que rien ne pourra jamais le combler.

Satoru se fout des autres, Satoru ne croit pas au pouvoir des liens ou de l’amitié, préfère de très loin la solitude. Parce qu’il peut entendre le silence en étant seul, il peut voir le calme, il peut réfléchir. C’est beau le silence après tout, lui ça l’aide à faire le point sur ses rêves et aspirations inexistants. Même si Satoru n’a jamais été premier de sa classe ni en primaire, ni au collège, ni au lycée, et que même aujourd’hui inscrit à l’université et séchant la plupart du temps, il réfléchit beaucoup. Sur lui, sur les autres, sur la vie, sur la mort, se prêtant le rôle du philosophe. Mais réfléchir, ça donne des migraines aussi, et ça c’est pas génial pour le garçon, se plaignant ainsi souvent de maux de tête récurrents. En fait, pour dire vrai, ce n’est pas la réflexion qui fait ça, juste les gênes qu’il a hérité de ses parents.

Satoru est désintéressé par ce qui l’entoure, il se fiche un peu de la raison de sa présence ici, de celle des autres, de pourquoi il est dans l’Akame Dan, de pourquoi plein de gens autour de lui sont morts. Satoru voit seulement le résultat, pas les étapes pour y arriver. Il voit seulement qu’il a fait trop d’erreurs et qu’aujourd’hui, il est bien seul. Peut-être la raison de pourquoi il ne quitte pas le groupe, parce qu’il ne veut pas vraiment finir tout seul. Il est compliqué Satoru, à  ne jamais savoir ce qu’il veut. Indécis, laissant les autres faire les choix à sa place.

Satoru est facilement embarrassé, brisant l’image du garçon indifférent. On appellerait ça un côté "tsundere",  quelqu’un de froid extérieurement mais gentil au fond, avec cette capacité à être gêné facilement. Définition n’étant qu’à moitié vraie dans le cas du jeune homme, facilement gêné mais pas gentil pour autant, juste blasé de la vie, comme tout emo qui se respecte. Vraiment pas quelqu’un qui parait sympathique.

Satoru est violent, Satoru aime frapper. Satoru, malgré un côté légèrement paresseux, n’arrive parfois pas à rester en place, à supporter les fourmillements dans ses membres, alors il attrape une batte, ou un truc du genre, pour aller asséner quelques coups et se défouler gentiment, tout en adoptant l’expression qui correspond plus à son groupe, celle d’un gars se marrant de façon démente. Peut-être que c’est amusant, peut-être que c’est chiant. Satoru ne sait pas, il extériorise juste tout ce qu’il garde caché dans son petit cœur d’humain. Parce que les gens introvertis n’arrivent pas toujours à parler. Parce que Satoru est un peu brisé à l’intérieur aussi.

Satoru est à la fois chanceux, mais à la fois malchanceux. Le premier point de par sa capacité, le second de par le résultat que son utilisation engendre la plupart du temps. Perdre des gens à cause d’elle, il l’a déjà fait une fois, alors il devrait les détester ses yeux. Mais non, Satoru est au contraire plutôt reconnaissant, parce qu’il ne veut pas mourir, pas tout de suite, pas encore. C’est égoïste, mais Satoru est comme ça. C’est triste de ne penser qu’à soi.

Satoru aime trop les gâteaux et le sucre, et c’est à peu près tout ce qu’il mange. Le salé, il en veut pas, c’est trop proche du goût de la réalité, trop proche du goût des larmes. Le cheesecake et les cookies resteront toujours premiers de son classement. Mais Satoru aime beaucoup d’autres choses aussi. Il aime bien le baseball, qu’il a pratiqué, le kendo, qu’il a aussi pratiqué, et une multitude d’autres choses malgré son manque de muscle et son côté gringalet. La télé aussi c’est bien, mais pas les dramas à l’eau de rose qui passent tout le temps, les vraies séries policière, encore mieux si on ajoute l’ingrédient du glauque à la recette.

Satoru est étrange, Satoru ne changera pas. Par peur du changement, sûrement une des seules qu’il possède. Satoru restera Satoru, un jeune homme aux yeux cernés.
Derrière toi;

0 >> 3

Satoru est né, Satoru est un humain de plus sur Terre. Satoru respire, Satoru hurle, Satoru vit. C’est un bébé à la peau rosée prouvant au monde son existence entourée d’une mère, d’un père, de blouses blanches, dans une chambre d’hôpital à l’odeur d’antiseptique piquant le nez et dont le blanc, le pur blanc présent sur les nuages inspire à la fois vide et sérénité. Personne ne conserve de réels souvenirs de cette période, l’un trop petit, d’autres morts, et le reste ne s’en souciant que tellement peu, routine et quotidien. Ce n’est qu’une naissance parmi tant d’autre, qu’une nouvelle tête parmi déjà un bon paquet. C’est la normalité et la banalité, et d’un certain côté, c’est une bonne chose, c’est agréable. C’est le début d’une vie.
Satoru grandit, petit à petit, comme l’enfant qu’il est. Une touffe sombre servant de tignasse apparaît sur son crâne, et le développement suit. Des dents, avec un léger écart devant pour commencer, puis l’évolution naturelle du petit qui s’élève graduellement pour finir cloué au sol par ses deux pieds, deux attaches et points de repère. Satoru grandit sous l’œil attentif de ses parents, couple attentionné et entrant dans la norme sans même faire le quelconque effort. Un petit cocon, un petit nid douillet ou l’on s’aime, ou on rit sans plus de problèmes en tête, ou l’on rend visite aux grands-parents restants. C’est une gentille vie au goût plus sucré qu’un des gâteaux crémeux dans les vitrines des pâtisseries, vision de rêve pour certains.

Satoru a presque 3 ans, Satoru court partout dans l’appartement de ses parents, de taille moyenne. Deux chambres, un salon, une cuisine et une salle de bain, un loyer modéré pour une famille de trois, convenant parfaitement. Satoru parle aussi, un langage encore certes à parfaire encore et toujours, mais il connaît déjà les bases, et le bambin se plaît à dire tout et n’importe quoi à ses bien-aimés parents. Surtout n’importe quoi pour dire vrai. Il semblerait qu’en grandissant, Satoru ai perdu cette capacité à autant parler pour peu. Satoru est devenu adulte.

Satoru est joyeux, d’une joie communicative pour tout le monde, que ce soit père ou mère. Tous les matins, Satoru voit son père travailler de la maison, souvent reste près de lui un moment, source de question intarissable. On connait tous le fameux pourquoi des enfants, amenant à la fois un sourire et une certaine irritation pour les moins patients ou les moins doués avec les enfants. Satoru colle un peu trop son paternel, qui ne répond pas par l’agacement, désireux de rester bon père. Satoru voit tous les matins sa mère partir travailler également. Elle travaille dans une des tours qu’il voit quand l’envie lui prend de demander une balade en ville. C’est haut, brillant, se reflétant dans ses grands yeux noir semblables à des billes. Satoru est trop petit pour vraiment comprendre ce que fait sa mère, il ne semble pas vraiment comprendre à vrai dire, entraînant un nouveau flot de pourquoi. Et tous les matins, Satoru reste à la porte pour dire au revoir à sa mère, un mot signifiant pour lui de devoir attendre le soir pour qu’elle revienne. Sauf qu’un jour, elle ne revient pas.
Satoru ne comprend encore pas bien le concept de la mort. Même face à la tombe il ne comprend pas. Même face aux sombres tenues des gens l’entourant, il ne comprend pas. Même face aux larmes, il ne comprend. Il comprend juste que sa mère est partie, loin, tellement loin qu’il ne pourra jamais plus l’atteindre. C’est triste, froid, dur. Alors Satoru pleure, encore et encore, jusqu’à n’avoir plus rien à pleurer, jusqu’à n’avoir plus rien, juste une envie de dormir.

3 >>> 6

Satoru a grandi, Satoru parle bien, marche bien, se porte bien. Satoru vit encore avec son père dans le même appartement, ou l’atmosphère a changé, sans que personne ne puisse y faire quoi que ce soit. Satoru est un peu moins joyeux, un peu plus gêné. Son père a un air un peu triste sur le visage. Quand le jeune garçon va à l’école, rare sont les fois ou il ne se bat pas quand ses amis ou son cercle de connaissance commencent à évoquer le point des mères. Satoru est jaloux, jaloux à en crever. Il est couvert de pansements mais ne s’arrête pas pour autant, Satoru n’a de limites que celles qu’il s’impose. Ses limites n’existent pas, le gamin vit simplement pour vivre.


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Satoru a 5 ans quand son père ramène une femme à la maison. Elle ne ressemble pas à sa mère, ne possède pas sa tignasse brune ondulée ou les mêmes traits du visage. Elle est blonde, dynamique, s’appelle Chiharu et dégage un charisme fort. Le gamin peine légèrement à comprendre mais se rend vite à l’évidence, une nouvelle arrivante se fraye une place dans l’appartement auparavant occupé par deux. Son père lui raconte rapidement, ils se sont rencontrés en rendez-vous professionnel, un scénario bien banal. Mais Satoru n’est pas mécontent de cette rencontre. Il pourrait e vouloir à son père de tenter de remplacer comme dirait un enfant, sa mère par une autre, mais ne le fait pas, silencieux et calme pour une moment. C’est comme l’arrivée d’une seconde mère pour lui. C’est comme l’arrivée d’un nouvel espoir. C’est un raisonnement de gamin qui ne veut plus être mis à l’écart par un membre manquant dans sa petite famille.

Satoru a 6 ans, et sa vie se passe bien. Chiharu vient souvent le chercher à la sortie de l’école, sur son scooter qui crachote un peu, comme elle se plaît à la dire en riant. Alors Satoru se vante devant ses amis, adopte la démarche du fier conquérant avant de rejoindre sa « deuxième maman » comme il le dit si bien. La vie a bien changé à la maison, la tristesse et la mélancolie remisent à plus tard, pour adopter un dynamisme proche de celui de la blonde. C’est qu’elle en a opéré des changements dans ce petit appartement, allant du rachat de meubles jusqu’à repeindre certains murs. C’est amusant d’une certaine façon alors Satoru ne se plaint pas, Satoru rigole autant qu’il peut.

La même année, arrive encore un nouvel arrivant. Enfin, une nouvelle arrivante. Le garçon avait bien vu l’évidence notamment à la vision du ventre de sa seconde mère, gonflant plus de mois en mois. Et un bébé en sort, comme dans les cours de son professeur. Il est à l’hôpital quelques jours après la naissance, pour observer un bébé, lui semblant bien petit.

-Alors, comment tu la trouves ta petite sœur ?
-Ben… Elle est chauve c’est trop bizarre.

C’est l’innocence de l’enfance, l’innocence d’un garçon de 6 ans devenu grand frère et ne sachant pas encore trop quoi penser de tout ça. Fierté mais aussi peur de se faire détrôner par la nouvelle venue. Kobato, c’est son nom, une petite colombe attendant de prendre son envol, sous le regard attentif de trois autres personnes.

6 >>> 14

Satoru grandit, Kobato grandit aussi. Au soulagement du garçon, elle n’est pas chauve, mais présente les même mèches blondes que sa mère, mais aussi les yeux sombres de son père, les mêmes que son frère. Satoru n’est d’ailleurs pas très doué avec les enfants, il s’en rend rapidement compte mais fait mine de ne rien remarquer, bien trop fier pour cela. Puis fini la primaire pour Satoru, voici venir le temps du collège, et des uniformes à col comme ceux des héros d’animes. Ça n’est pas rien pour le garçon et sa fierté masculine, d’enfin se sentir grand et de se voir confier des responsabilités. Kobato entre en maternelle, malgré une timidité déjà trop apparente pour un enfant de son âge. Satoru a 12 ans.


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Satoru devient plus renfermé au collège, abandonnant sa façade de gentil garçon pour devenir plus froid, exprimant un certain côté qu’on pourrait qualifier sans peine de rebelle, moyen déployé exclusivement pour ne pas paraître ridicule face à sa classe. Satoru ne veut pas devenir la personne sans cesse mise à l’écart car pas aux goûts du jour, Satoru veut être accepté, alors Satoru se referme un peu sur lui-même.

Satoru a un bon pote, dont le nom est simplement Koichi, avec qui il passe son temps après les cours, à discuter de tout et rien, à se faire gentiment railler sur son côté rebelle cherchant l’attention plus que tout, même si Satoru se fait déjà assez remarqué pour ses notes peu excellentes, aucune gloire dans un 36 ou 43. Et pourtant il étudie, mais le sens des questions lui échappe. Son ami prétend qu'un jour, une jolie fille l’abordera et lui fera perdre cette façade froide, ou du moins selon son expérience en matière de manga et animes. Satoru ne parvient qu’à soupirer face à un tel raisonnement. Satoru est un adolescent de 14 ans. Un adolescent qui par désir de se démarquer ira jusqu’à tenter de se décolorer les cheveux dans sa salle de bain, pour finir avec un échec sur les bras, une belle mèche blanche visible comme il faut. Ça attire l’attention pour sûr, et lui ça le fait soupirer, encore et toujours. Satoru a grandi.

15 >>> ???

Satoru grandit encore, Satoru a 15 ans. Kobato grandit aussi, pour ne réussir à affirmer que sa timidité. Pour autant, la blonde est sage et intelligente, contrairement à son frère à la mauvaise moyenne. Ils rentrent souvent ensemble après les cours, lui rentrant du collège, elle rentrant de la primaire. Sans trop parler, sans trop se regarder, sans trop oser. Leur quotidien consiste à s’installer dans la cuisine pour travailler pour la plus jeune, et envoyer des sms à son ami pour le plus vieux. La cuisine, c’est l’endroit le plus proche des gâteaux, et Satoru aime légèrement trop les gâteaux, alors Satoru reste dans la cuisine, raisonnement des plus logiques.

C'est un 15 août, en été, il fait chaud après une journée de travail.
Il a les yeux lourds Satoru dans cette cuisine de taille moyenne, et un léger mal de crâne qu’il attribue aux cours trop poussés pour son petit cerveau ou alors à la voix de Koichi, un peu trop forte, portant un peu trop. Satoru ne sait pas, mais Satoru a sommeil, tellement sommeil, qu’il finit simplement par s’endormir sur la table, comme sa sœur, sans se soucier du reste du monde, du temps, du lieu, sans se soucier de rien. Satoru ne sait pas qu’il vient de mourir, d’une cause plutôt répandue se nommant monoxyde de carbone, gaz s’échappant ici de la gazinière un peu trop âgée. Gaz inodore et incolore, gaz mortel, gaz responsable de la mort de deux enfants. Satoru ne sait pas non plus que ce n’est que la première mort d’une très longue liste.

Encore, encore et toujours. Il meurt, sans même le savoir quand il rentre chez lui, et dans le cas contraire fini toujours d’une façon peu glorieuse. Alors aujourd’hui, il ne rentre pas, reste sur le trottoir avec Kobato, le regard dans le vide, comprenant l’autre sans avoir besoin de la moindre parole.

-Dis, si je te donnais la chance de vivre Satoru, tu la prendrais ?
-Bien sûr.
-Très bien alors. ____________.

La gamine est courageuse, plus qu’il ne le sera jamais. Alors la gamine s’avance sur la route, sans regarder les voitures, un sourire mêlé à des larmes invisible au regard des autres. Et Satoru voit sa sœur la blondinette mourir sous ses yeux, sans rien faire, pour avoir répondu désirer une chance de vivre et n’avoir même pas entendu ni compris les derniers mots de la fillette.

Et Satoru se réveille, seul, sans personne, enfant unique, frère d’une disparue sans laisser de traces aucunes. Satoru se réveille d’un rêve tellement long qu’il en a tout oublié, autant le commencement que la fin. Satoru pleure un peu sans savoir, Satoru murmure.

« Vis. »

??? >>> 18

La suite est triste, bien triste et amère sur le sens de la vie. Chiharu est partie, à cause de la perte de sa fille, et des disputes engendrées par cette disparition soudaine. Des disputes allant crescendo, un espoir de rétablissement mais au final, une chute, encore. Un premier coup traître. Satoru est de nouveau seul dans l’appartement avec son père. La femme lui a adressé un dernier regard, un dernier regard triste, plein de pitié, avant de refermer la porte, à jamais. Le garçon baisse les yeux, ne sachant pas quoi penser de tout ça, ne sachant pas comment réagir face à quelque chose qu’il n’aurait même pas pu prévoir ou contrer d’aucunes façons. Mais Satoru est chanceux, il ramène de bonnes notes car les contrôles tombent comme par hasard sur les sujets qu’il apprend le mieux.

Satoru passe au lycée par la même occasion, avec des notes passables. L’uniforme change aussi, sans vraiment qu’il y prête une quelconque attention, ce n’est qu’un habit parmi tant d’autres, qu’un moyen de plus pour se cacher et se soustraire de la vue des autres. Sans vraie surprise, il retrouve son pote le bavard, qui continue à lui sortir tout et n’importe quoi tant qu’il peut parler. Agaçant mais au moins, l’écouter fait passer le temps et donne l’impression d’avoir un minimum de vie sociale.  Satoru a 15 ans.


---


Et Satoru en parallèle perd ce qu’il possède. Il ne voit pas venir la vie, cachée en embuscade à chaque croisement, chaque chemin. Il a changé son quotidien, encore. Satoru est lycéen, passe son temps le regard perdu au loin, tellement loin qu’il ne semble même plus être là, Koichi lui fait remarquer en se moquant. Mais Koichi ne sait pas vraiment qu’il est une des rares personnes à qui Satoru parle encore. Il ne parle plus à son père, gentil père auparavant à l’écoute maintenant tellement plongé dans un travail insignifiant qu’il en oublie même son entourage. C’est triste.

Il perd son père, mort par surmenage. C’est la seconde fois qu’il enterre un de ses parents, mais aussi la dernière. C’est qu’il n’a plus ni père ni mère à enterrer. C’est triste, il pleure un peu, mais pas trop non plus. Satoru est devenu sombre, Satoru s’est renfermé sur lui-même. Satoru est parti vivre chez ses grands-parents, sans vraiment le vouloir, craintif à l’aspect de perdre encore quelqu’un, à l’aspect de causer du trouble à sa famille restante. Les deux vieillards ne sont pas méchants, d’une gentillesse extrême, presque comme poussés par la pitié. Le jeune homme ne peut que répondre par succession de sourires gênés. Il vit dans une maison maintenant, sorte de maison de famille, dans un style des plus traditionnels, clichés. Ce n’est pas un endroit désagréable, mais mettant mal à l’aise l’adolescent, changeant pour la première dois d’habitat. Parfois, Koichi vient passer le temps ici, en amenant de quoi grignoter et parler encore et toujours, avec un ami qui se contente de répondre presque sur la défensive, désagréable. Satoru a 16 ans.

Satoru a beaucoup de chance et ne croit plus au hasard, surtout quand il se voit gagner à la loterie plusieurs fois d’affilée, même si Koichi reçoit le plus souvent les prix gagnés.  Satoru ne croit plus au hasard quand il remarque ses iris rouges lors d’une grande chance. Un bien pour beaucoup de maux. Satoru est un aimant à chance. Ça ne lui déplait pas non plus, ça le rend peut-être légèrement intéressant même si il n’en parle à personne, même pas à son ombre ou son reflet dans le miroir. Il évite de se regarder dans les miroirs de toute façon, ses cernes faisant trop peine à voir, tout comme lui après tout.


---


Satoru a fini le lycée, Satoru passe à l’université. Il voulait faire une grande école, et pourquoi pas, devenir quelqu’un d’important. Mais il ne peut pas, à cause de ses notes trop médiocres sur l’ensemble de sa scolarité. Satoru s’est lui-même condamné, Satoru a fermé la porte d’un futur brillant de ses propres mains. L’université, ce n’est pas non plus le pire, il pourra toujours se rattraper sur quelque chose d’autre, pour travailler et faire plaisir à ses grands-parents, pas pour lui. Lui, il ne veut pas grand-chose.

Il veut voler de ses propres ailes et abandonne la résidence des grands-parents pour préférer un appartement en colocation avec d’autres étudiants. Plus petit mais accordant plus de liberté par la même occasion. Il est même légèrement anxieux au moment de les rencontrer pour la première fois. Avec un peu de chance, ils seront agréables à vivre. Avec un peu de chance. C’est la première fois qu’il prend une telle décision par lui-même, d’une certaine manière, Satoru est fier. Ils ne seront pas comme Koichi, il n’aura pas de bases, mais devra quand bien même se forcer un peu.


---


L’appartement n’est pas extrêmement grand, mais pas petit non plus. Il est lumineux, il est moderne malgré le bazar encombrant présent ici et là. Pas vraiment étonnant quand on y pense. Les habitants sont trois, et aucun ne ressemble à l’autre. Il y a un blond aux cheveux raides, grand, yeux rosés, un air gentil et niais sur le visage. Une couleur qui semble naturelle, il est étranger, ou du moins de moitié, c’est ce que pense Satoru. Il y a un autre gars, grand aussi, cheveux bruns courts ébouriffés, lunettes, air arrogant et supérieur, Satoru le trouve déjà chiant. Et pour finir le trio, une jeune fille, mince, frêle, aux cheveux sombres et ondulés, le regard perdu au loin indifférente. C’est le  blond qui prend la parole, un fait qui étonne peu.

Il est éloquent, il sourit tandis qu’il pose les conditions du contrat, en réalité moins sérieux que ce que les mots laissent paraître. Idéaliste, il espère déjà que tout se passera bien sans même connaître Satoru le renfermé.

-Moi c’est Ryuji, enchanté. Je crois qu’on a tous plus ou moins le même âge donc ce serait stupide qu’on ne s’entende pas, n’est-ce pas ?

Satoru répond à peine, assez concentré à ne pas passer pour quelqu’un de trop gentil non plus. La place du boute-en-train est déjà occupée par le blond dans cet habitacle. Le ravenet n’aurait pas pour autant prétendu pouvoir assurer un tel rôle, loin de la réalité, loin de la personnalité construite et adapter qu’il s’est façonné au fil du temps qui passe, encore et toujours. Ryuji présente lui-même les deux autres, l’un car semblant peu enclin à discuter de par son regard agressif et l’autre semblant au dessus de tout cela, indifférente. Le jeune homme à lunette menaçant est donc Ikaku, un nom lui convenant tellement bien que c’en devient risible, la petite Kat, au nom étrangère.

Ça semble étrange pour Satoru, mais il accepte, il veut faire quelque chose par lui-même, même si cela implique devoir vivre en communauté avec des gens parfois peu appréciable. Et le temps passe, inlassablement, long fleuve intarissable.


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Satoru se lie d’amitié avec les habitants, à l’université, en dehors. Ryuji est du même genre que Koichi, à la différence que beaucoup plus préoccupé par son entourage. Comme pensé par Satoru, il est à moitié étranger, de par une mère européenne. Agréable à vivre, supportant sans broncher la mauvaise humeur du brun. Ikaku est plus dans le genre agaçant, il ressemble trop à Satoru. Froid, blessant, désagréable sans avoir vraiment un mauvais fond pour autant. Et complètement myope aussi même si ce n’est qu’un détail, comme l’aspect fumeur du garçon. Et puis il y a Kat, d’origine anglaise et maniant les langues avec grande habilité malgré son masque froid. C’est qu’à part manger des gâteaux et quémander à manger, elle ne fait pas grand-chose. Parfois elle chante, mais rarement, comme si un tel chant ressasait de mauvais souvenirs.

Personne ne parle de son passé ici, personne ne sait que Satoru a perdu bon nombre de personne lui tenant à cœur une par une. Personne ne sait que Ryuji a passer son enfance dans le coin d’une petite pièce face à des parents enchaînant les disputes. Personne ne sait que Ikaku a vu son père mourir de la cigarette et qu’inconsciemment il reproduit le même schéma. Personne ne sait que Kat a perdu ses parents dans un crash aérien et n’a jamais été apréciée à l’école. Personne n’en parle, mais tout le monde sait que chacun est spécial, alors ils se rapprochent vite.

Satoru en quelque mois fait déjà partie de cette joyeuse famille, Satoru devient même un peu plus ouvert aux relations, souriant de temps à autre et étonnant les autres par sa chance, se faisant taper par Ikaku dès qu’une deuxième cannette tombe du distributeur. C’est amusant pour le jeune de découvrir un nouveau mode de vie, de découvrir les talents d’autres. Si Kat est faite pour la musique, Ikaku excelle dans la cuisine et Ryuji en art. Chacun apprend de l’autre, Satoru partage son expérience du baseball et autre. Satoru a toujours 18 ans, Satoru est heureux.


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-Quelqu’un va me chercher des clopes ?
-Faut descendre les poubelles aussi… On tire à la courte paille ?

Satoru malgré sa chance a perdu, avec soupir et en rechignant. C’est une des première fois qu’il doit effectuer une telle tâche après tout, peu habitué à être délaissé par la fortune et le destin. C’est un changement comme un autre, Satoru n’a rien à perdre à aller chercher quelque chose pour le bigleux ou descendre les poubelles, règles de savoir-vivre en communauté.

Satoru est revenu, il a traîné un peu, presque une heure, le temps de passer au supermarché pour du soda par la même occasion. Sauf que quand Satoru revient, il n’y a plus rien. Dans ses grands iris noirs se reflètent les montées rouges, les flammes d’un incendie. Alors qu’il n’était pas là, le destin se joue des vies humaines, lui accordant encore une fois une grande chance. Alors Satoru ne peut rien faire à part voir les langues flamboyante lécher les parois du bâtiments et entendre l’agitation autour de lui. Des pompiers, sirènes, corps extraits, en désordre. Satoru ne veut plus voir, plus rien.


---


Satoru n’a jamais vraiment su la cause de l’incendie. Peut-être une cigarette mal éteinte ou peut-être même la faute des voisins. Tous les jours, Satoru passe déposer des fleurs sur deux tombes en plus de celles de sa famille. Satoru visite trop de mort. Deux morts sur trois colocataires, c’est Kat, la plus frêle qui a été extraite des flammes à temps. Elle aussi a le regard bien triste, lointain. Elle parle un peu, mais peu. Elle est brûlée ici et là, respire difficilement, Satoru a pitié pour elle dans la blanche chambre d’hôpital qu’il visite tous les jours, espoir.

-Quand je serai sortie, on ira poser des fleurs ensemble.
-Ouais.


---


Kat est morte, en pleine nuit, seule, cliché. Ça n’a étonné aucun membre du personnel soignant, chacun sachant très bien que la jeune fille ne se nourrissait guère plus. C’est triste, Satoru a pleuré encore, encore, mais il a ri aussi, démence. Beaucoup de tombes à visiter pour un seul garçon, tristesse dans un cœur pourri, bien qu’ayant fait des efforts pour se remettre à niveau des autres, d’une lumière ambiante.

Satoru sombre. Satoru ne passe que peu à l’université, se fichant bien d’être renvoyé ou de rester. Satoru est encore plus renfermé sur lui-même qu’avant, il n’écoute plus. Satoru sort le soir, une batte à la main, Satoru est violent. Satoru tue, Satoru ne sait plus quoi faire de sa vie, il a déjà trop perdu pour tenter d’entreprendre quelque chose de nouveau. Alors il frappe dans les rues à l’aveuglette, parfois accompagné du rire de ceux ayant déjà trop perdu.

Puis Satoru les rencontre, eux, le groupe dont tout le monde parle, celui qui fait des tags dans la rue. Des beaux tags d’après le jeune homme. Alors Satoru rejoint l’Akame Dan, il se fiche bien de l’aspect terroriste, parce qu’il est capable de s’adapter, encore une fois. Satoru traîne sa chance dans un groupe, Satoru se laisse faire par la vie, adoptant la façade froide qui lui sied le mieux, brisant son entourage encore et encore, en passant malgré tout visiter des tombes régulièrement. Satoru fait pâle figure face aux autres membres, mais Satoru n’a pas l’air gentil pour autant.

Satoru est Satoru, et Satoru est seul, Satoru a 19 ans.
ϟ ET TOI?


Emo-kun est dans la place bande de gens. Y a Kao qui répète son prénom de façon flippante, ça me fait peur. J'adore dire nimp ici. Donc voilà le AD parce que Reo ne souffre pas la médiocrité.
Le FC de ce bonhomme c'est Oreo Cheesecake-kun du Gay Dessert Anime et j'entend déjà des cris des fangirl. Ouais ça fait pas crédible.
Et j'ai Reli à côté de moi. Ce point est très important je précise. Très très.
Oh j'ai dit que moi chuis Misa au passage ? Non ? Ben c'est pas grave.
finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie] 1410526634-dfghjkl
© Rocky-BL pour KPRPG
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MessageSujet: Re: finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie]   finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie] EmptyLun 8 Sep - 21:07

arf ! il a l'air bien ce Emo kun !
gambatte pour la fiche !!
mort par cookies ? c'est vraiment possible ça ? XD
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MessageSujet: Re: finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie]   finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie] EmptyVen 12 Sep - 15:11

Bien sûr qu'il est bien emo-kun, il a la représentation du swag en FC après tout. uwu
Tout seul tu peux te tuer avec un cookie, mais à deux c'est genre impossible trop de coïncidences, malheureusement ;w;

Bref merchi Shinshin o/
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MessageSujet: Re: finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie]   finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie] EmptyJeu 18 Sep - 9:16

trop de swag en lui XDD

ouais ou genre ... "mon dieu il s'est étouffé avec son cookie ! puisque c'est ça je prend le reste et je me suiciiiiiide !"
c'est vrai ça ... y'a si peu de gens qui étaient aimés avant de creuver, ici ;-;

pas de quoi ~
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MessageSujet: Re: finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie]   finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie] EmptySam 20 Sep - 2:16

Bon ben voilà tout ça pour dire que j'ai fini, mais que j'avoir eu la flemme de relire et que doit y avoir des fautes partout. Beaucoup de noms aussi, choisis tous par la magie de wikipédia je l'avoue sans honte haha.

Des références au GDA ? Mais bien sûr que non monsieur, bien sûr que non.
Je suis désolée, vraiment c'est de la merde, c'est sadique par moment, mais voilà je voulais me débarrasser de l'histoire donc vous pouvez me dire peine de mort hein.

Bref je me tais, brique et tout. Je dis nimp wow
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Autres Comptes : mitsuhide bankichi & haruhira shige
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Hidefusa Akira

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MessageSujet: Re: finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie]   finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie] EmptySam 20 Sep - 8:57

bon bon, vais te valider parce que satoru est super cool et je veux un rp avec lui sur Akira uwu mais je vais te faire la même remarque que j'ai fait à Koyen: tuer tout le monde comme ça, c'est pas vraiment... génial? C'est lourd en fait :'D t'aurais du te contenter de tuer sa sœur & peut-être ses amis de l'université je pense mais voilà voilà sinon c'était super long wow et super cool uwu
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MessageSujet: Re: finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie]   finding oxygen once more -- satoru/emo-kun [finie] Empty

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